Dimanche 14 juin 7 14 /06 /Juin 17:10
Catherine va découvrir l'amour à plusieurs, avec un pote des îles.

-Tu n'as jamais connu d'homme de couleur ?
- Et non !
- Rassure-moi ! Tu n'es pas raciste au moins ?
- Idiot ! Nous serions ici ce soir ?

C'est par cette conversation, somme toute banale, que tout a commencé.

Germain nous a invités, Catherine et moi, à l'occasion de son anniversaire.
D'abord collègue de bureau, nous avons rapidement sympathisé et, dès  leur première  rencontre, il a su plaire à ma petite femme et est vite devenu l'ami de notre couple.
Plutôt réservé, voire timide, loin de son île natale, ce Dyonisien, même s'il s'en défend, doit souvent regretter le soleil et la chaleur de l'Océan Indien, surtout depuis que sa femme, après trois ans de vie commune, s'en soit allée un beau matin sans explication.

La soirée s'est, comme toujours lorsque nous sommes ensemble, super bien passée. Le repas, préparé par ce véritable cordon bleu, finement épicé sans pour autant être immangeable, était un régal et les quelques punchs servis en apéritif puis en dessert ont achevé de faire de cet anniversaire une réussite totale.
Nous sommes donc installés dans le canapé, Catherine entre Germain et moi, parlant de tout et de rien, riant surtout beaucoup. Tout au moins jusqu'à cette question lancée par notre hôte à ma femme.
Catherine, elle me l'a dit, trouve Germain bel homme.  Il faudrait, c'est vrai, être difficile pour ne pas apprécier cet homme qui, la pratique du sport aidant, a un physique particulièrement agréable. Mais cet appréciation n'est jamais allée au delà et je ne pense d'ailleurs pas que ma femme ait pu imaginer une relation intime avec lui.
D'autre part, et je dois dire à mon grand regret, ma chérie n'a jamais accepté l'idée qu'un autre homme pourrait se joindre à nous. Plus jeune, j'ai vainement tenté de l'y amener mais sans succès et, ma foi, je me suis fait une raison.
Et le bougre insiste !

- C'est donc par manque d'occasion ?
- Euh... oui... sans doute... mais je te trouve bien curieux mon cher !
- Je te prie de m'excuser si je t'ai froissée, je ne voulais pas...
- Rassure-toi ! Je ne suis pas vexée.

Et il en remet une couche !

- Et si l'occasion s'était présentée ?
- Je ne sais pas... peut-être... je ne me souviens pas m'être faite draguer par un noir... non... vraiment... j'en suis certaine.
- Mes amis blacks seraient-ils donc tous aveugles !

J'écoute, amusée, leur conversation. Catherine sourit à ce dernier compliment, ce qui semble encourager notre ami.

- Et si l'occasion se présentait ?

Un silence s'installe. A 45 ans, ma femme n'a plus la même silhouette qu'à 20 et je sais qu'elle n'aime guère son corps.


- Une, je suis mariée et deux, à mon âge et avec mon physique, je doute fort que je puisse encore séduire quelqu'un.
- Pour la première, admettons ! Par contre, permets-moi de ne pas être, mais alors pas du tout, d'accord avec toi : tu es loin d'être une antiquité et ton physique est loin, mais très loin, d'être un obstacle à ton charme !

À nouveau, Catherine sourit.

- Quel flatteur ! Tu entends ça mon chéri ?
- J'entends oui, avec plaisir d'ailleurs... et je partage tout à fait l'avis de Germain concernant ton physique. Tu sais d'ailleurs comme j'adore ta plastique.
- Tu vois ! S'exclame notre ami.
- Soit ! Sourit ma chérie. Mais je te rappelle que mariée, ça je le suis !
- OK. Et fidèle je présume?
- Tu présumes bien. Fidèle, en effet.
- Jamais eu de tentation ?
- Comme tout le monde je présume, j'ai trouvé certains types pas mal mais jamais au point d'envisager de coucher avec eux...
- Et bien ! Tu as de la chance, mon cher Franck. Tu n'as aucune raison d'être jaloux !
- De toute façon, je ne l'ai jamais été.
- Ah bon ! Et si Catherine avait une aventure, tu réagirais comment ?
- Je ne sais pas, j'avoue. En fait, ça dépendrait des circonstances...
- Ah bon !? S'étonne ma chérie.
- Et bien oui. Si tu avais une relation suivie, je serais sans doute très jaloux... et très malheureux mais si c'était, comme on dit, un "coup de canif", une histoire sans lendemain, je te pardonnerai sans problème.
- Et si elle le faisait en ta présence ?

Nouveau silence. Je devine où Germain veut en venir mais n'ose répondre, de peur de mettre Catherine dans l'embarras. Pourtant, l'envie est forte de lui dire combien une telle situation m'exciterait !
Quelques secondes passent, me paraissant une éternité, et, contre toute attente, c'est ma femme qui rompt le silence :

- Et bien, réponds ! Tu réagirais comment si je baisais avec une autre homme devant toi ?

Les bras m'en tombent !
Il n'est pas dans les habitudes de Catherine de s'exprimer ainsi et surtout, je me demande si elle se rend bien compte de ce qu'implique ce qu'elle vient de dire ? Je la regarde et, devant mon air ahuri, un sourire se dessine sur son visage.

- Pour être franc, une telle situation m'exciterait... au moins autant qu'elle m'embarrasserait.

L'atmosphère, soudainement, s'est alourdie. Germain, qui se rend compte de l'ambiguïté de l'attitude de ma femme, lui demande alors :

- Il ne reste donc plus qu'à trouver un homme qui te plaise ?
- Comme tu y vas ! Il faudrait également que je plaise à cet homme.
- Pour ma part, c'est le cas !

Et boum !
Notre ami vient de lâcher une petite bombe ! Que va t-il se passer ?
Je suis très excité à l'idée que ce soir, mon fantasme le plus fou va peut-être se réaliser mais tout aussi anxieux à l'idée que Catherine, se rendant compte de la situation, fasse marche arrière ou pire, en veuille à Germain pour cette remarque qui n'est rien de moins qu'une proposition !

- Tu ne me déplais pas non plus... répond Catherine, d'une voix tremblante.

Cette fois, les dés sont jetés !

Ce début, très sage, n'est bien entendu qu'une mise en bouche. La suite arrivera... plus ou moins vite selon vos comm !
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Vendredi 29 mai 5 29 /05 /Mai 18:29
Voici donc la suite et la fin de cette histoire. Une nouvelle verra sans doute le jour... bientôt. En l'attendant bonne lecture et, n'oubliez pas ! Je compte sur vos comm !!

Pascal a abandonné les jambes de ma chérie à son ami et, pour sa part, entreprend de déboutonner le chemisier, dévoilant un soutien gorge arachnéen, qui dévoile plus qu'il cache la poitrine lourde mais ferme, aux tétons déjà bien érigés.

Martine et moi regardons le trio, mes doigts lui caressent doucement les cuisses, comme par inadvertance, mais non sans, comme son mari tout à l'heure, remonter lentement vers leur intersection. Elle ne reste pas inactive et passe et repasse la main sur ma braguette, faisant enfler mon sexe prisonnier.

J'ai moi aussi très envie de découvrir la poitrine de ma partenaire et la débarrasse de son chemisier, mettant sa poitrine à nu. Ses tétons sont déjà tout durs  et ses aréoles foncées grumeleuses. Je la pelote un peu, lui tirant quelques soupirs, puis me penche et embrasse les deux petites fraises. Mon autre main ne reste pas inactive ; parvenue à la fourche, elle caresse un slip qui a une fâcheuse mais ô combien excitante tendance à se prendre pour une éponge tant il est trempé !
Je passe et repasse un doigt le long de la fente, faisant gémir Martine et soudain, d'une façon parfaitement imprévisible, elle pousse une cri et jouit sous ma caresse, pourtant pas très appuyée.

Rouvrant les yeux, elle me sourit et dit :

- C'est la première fois que ça m'arrive... aussi vite...
- Il faut croire que l'ambiance y est pour quelque chose...
- Oui, sans doute. À ton tour maintenant !

Sans que j'ai le temps de réagir, elle ouvrte ma braguette, sort, avec quelque difficulté, mon membre tendu et, sans autre forme de procès, le gobe entièrement. Je savoure comme il se doit cette fellation particulièrement gourmande, non sans jeter un œil curieux vers ma femme et ses partenaire. Eux non plus n'ont pas perdu de temps : Pascal, agenouillé sur le canapé, offre son sexe à déguster à Cathy pendant que Serge va et vient dans son vagin à puissants coups de reins.

- Elle a l'air d'aimer ! Je la comprends, moi aussi je raffole de la bitte de mon mari... mais je suis certaine que je vais apprécier la tienne aussi !

Ce disant, elle s'installe sur moi et, pointant mon gland à l'entrée de sa grotte, s'empale dans un râle.

- Hum... j'étais sûre qu'elle était bonne...

Elle monte et descend, variant le rythme de ses va et vient, la profondeur de la pénétration. Ses gémissements vont crescendo et nous échangeons des baisers passionnés, gourmands. Ses seins ballotent au gré de la chevauchée et je ne résiste pas à les embrasser, à pincer les tétons entre mes lèvres.

- Ah oui ! C'est bon ! Vas-y ! Pince-les fort ! AHHHH

Elle jouit pour la seconde fois, et toujours aussi fort. Tout à coté, Cathy atteint elle aussi le nirvana et, dans une longue plainte, le corps tendu, jouit bruyamment.

Ses partenaires ne lui laissent guère le temps de récupérer : Serge la fait s'installer à quatre pattes, les reins cambrées, croupe offerte et, lui écartant les fesses, dit à Pascal :

- Allez mon ami ! À ton tour de la faire reluire !

Quel homme normalement constitué pourrait refuser pareille invitation ? Certainement pas notre ami Pascal ! Il saisit Cathy par les hanches et, d'un puissant coup de boutoir, s'enfonce en elle, lui tirant un cri de plaisir. Il entame une série de puissants va et vient, faisant claquer les fesses de ma chérie contre son bas-ventre.

Serge nous rejoint et Martine, mon sexe toujours fiché en elle, tourne la tête pour s'emparer de son membre turgescent. Elle l'avale puis le fait aller et venir entre ses lèvres gourmandes pour le plus grand plaisir de son homme. En même temps, elle reprend de légers mouvements du bassin, me massant le sexe. Ma main reprend possession de ses seins que je masse, à sa demande fermement, n'hésitant plus à pincer et étirer ses tétons. Son visage n'est qu'à quelques centimètres du mien et, en conséquence, la sexe de son mari guère plus éloigné. De façon parfaitement naturelle, Martine lâche le membre et le présente à mes lèvres. Après une seconde d'hésitation, je devrais plutôt un dixième de seconde, je dépose un baiser sur le gland puis, ouvrant la bouche, le gobe sans autre forme de procès. Martine sourit tout en massant les couilles de son mari, osant parfois un doigt curieux plus bas, entre ses fesses.

Après quelques minutes durant lesquelles Martine et moi partageons le sexe de Serge, ce dernier met fin au trio en déclarant :

- Tu suces très bien Pierre, mais je meurs d'envie de m'enfoncer dans le cul ô combien accueillant de ma chère épouse...
- À ton bon plaisir !

J'attire Martine tout contre moi et, des deux mains, lui écarte les fesses : lui offrant on petit œillet fripé.

- Merci mon cher, me dit-il en appuyant son gland contre l'anneau foncé.

Il s'enfonce lentement en elle et je suis sa progression à travers la fine membrane qui sépare nos deux sexes.
Le visage de Martine trahit le plaisir ressenti par cette double intromission. Les yeux fermés, la bouche entrouverte, un long râle s'échappe d'entre ses lèvres.

Il suffit de quelques aller et retour à Serge pour parvenir au plaisir. D'un dernier coup de rein, il se plante au fond du cul de Martine et, dans un râle, déverse sa semence, déclenchant un nouvel orgasme chez sa femme qui pousse un long cri et jouit, compressant mon sexe entre ses muscles intimes. C'en est trop pour moi et je n'ai que le temps de sortir de son délicieux écrin avant de me répandre à mon tour sur son ventre et le mien.
Notre trio se désunit, une petite pause est la bienvenue. Tout naturellement, nos yeux se tournent vers l'autre couple : Pascal lime Cathy avec une ardeur sans faille, la faisant gémir sans discontinuer.

- Pour une chevauchée fantastique, c'est une chevauchée fantastique ! S'exclame Serge.
- Tu l'as dit ! Et cette petite Cathy semble aimer la bitte, renchérit Martine, une vraie cochonne !

L'entendre parler ainsi de ma femme, loin de m'offusquer, m'excite énormément, au point que j'en remets une couche, m'exprimant moi aussi en des termes que je n'ai pas l'habitude d'employer en évoquant Cathy :

- Tu as raison Martine, elle adore se faire ramoner par une bonne bitte !
- C'est vrai que tu aimes ça, les coups de queue ? Demande t-elle à Cathy
- Oh oui ! C'est bon ! Se contente de répondre ma femme entre deux gémissements.
- Elle est bonne la bitte de Pascal, pas vrai ?
- Hum... si...
- Dis-lui comme tu aimes qu'il te ramone la chatte !
- Oh... oui ! Vas-y Pascal ! Bourre-moi bien ! Baise-moi bien fort ! Ah, oui ! Comme ça ! Ahhh !


Serge se joint à la conversation, dans les mêmes termes :

- Allez Pascal ! Défonce-la comme elle te le demande ! Fais-la reluire ! Montre-lui comme tu aimes son fion !

Pascal accélère un peu plus le rythme de ses va et vient et, après une poignée de secondes, amène une nouvelle fois Cathy au septième ciel.

- Ahhhh ! Salaud ! C'est bon ! Je... je jouis !!!

Dans une longue plainte, ma chérie prend son pied, vaincue par les coups de boutoir de son amant qui, à son tour, atteint le plaisir et lui arrose le dos de ses jets laiteux.
À leur tour, il font une pause et c'est heureux et souriant que, tous les cinq, trinquons à cette
soirée, et surtout à cette "bonne partie de jambes en l'air" comme le précise si poétiquement Martine.
Un quart d'heure se passe, pendant lequel nous parlons de tout et de rien, comme si nous vivions un moment des plus ordinaires, lorsque Martine déclenche à nouveau les hostilités en demandant à Cathy si elle a déjà goûté aux joies de Lesbos.

- Une fois, ado, avec ma meilleure copine, nous avons échangé quelques caresses mais rien de bien méchant : juste quelques bisous sur la bouche et une masturbation réciproque.
- Et tu as aimé ?
- Hum... oui... plutôt...
- Tu aimerais goûter mon petit minou ?
- Pourquoi pas ?
- Allez viens !

Les deux femmes s'enlacent et échangent d'abord un long baiser puis Martine s'allonge sur le dos, les jambes ouvertes et repliées, les genoux sur la poitrine, dans une posture des plus impudiques.

-Viens vite me bouffer la chatte, petite salope !

Docile, mais je la devine également très excitée, ma chérie s'installe à quatre pattes entre les cuisses et commence un cunnilingus qui, rapidement, fait se pâmer sa partenaire.

- Waouh ! Tu es une lécheuse de première ! Ah cochonne, ta langue est délicieuse ! Oui ! C'est bon ! N'arrête pas ! Ah la salope, elle me lèche la rondelle !! Oh ouiiii ! Continue !!

Pascal se penche sur elle et s'empare de ses seins qu'il caresse avec fermeté, étirant les tétons, les pinçant à la limite de la douleur. Martine ne se dérobe pourtant pas, bien au contraire, et l'encourage presque :

- Aïe salaud ! Ça t'excite hein de me peloter comme ça ! De me tirer les bouts !

Serge, pour sa part, ne résiste pas au spectacle des fesses de ma femme ainsi offertes. Il se penche, les écarte viens embrasse avec appétit le petit anneau sombre, pour le plus grand plaisir de Cathy qui écarte un peu plus les jambes.

- Tu as un cul délicieux ma chère Cathy ! Et une paire de fesses à damner un saint ! Un fessier qui appelle la fessée !

Comme pour lui prouver qu'il pense ce qu'il dit, il abat sa main sur le cul de Cathy, lui tirant un léger cri, plus de surprise que de douleur. Un seconde puis une troisème claque font légèrement rosir les fesses de ma chérie qui, loin de s'offusquer de ce traitement, se cambre un peu plus.

- Et en plus, tu aimes ça ! Ajoute Serge en faisant une nouvelle fois claquer sa main sur le postérieur.

Il la fesse ainsi quelques minutes puis cesse et embrasse la peau rosie et chauffée. Ma chérie peut alors se concentrer à nouveau sur ses baisers à Martine et bientôt, cette dernière crie à nouveau, les mains agrippés aux cheveux de Cathy, lui plaquant le visage contre sa fente.
Elle met quelques minutes à reprendre ses esprits puis approche son visage de celui de Cathy et les deux complices échangent un nouveau baiser.

-C'était... for mi da ble ! s'exclame Martine en détachant bien chaque syllabe.

La soirée s'est poursuivie très tard et nos deux adorables garces ont chacune eu droit à une triple pénétration, bouche, sexe et cul, pour leur plus grand bonheur.
Nous nous sommes promis de remettre ça et Cathy comme moi sommes impatients de nos prochaines retrouvailles.
FIN
Pour vous récompenser de votre fidélité, je viens de publier un nouvel photo, uniquement constitué de photo dont je suis l'auteur.
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