Dimanche 24 mai 7 24 /05 /Mai 10:04
En attendant de retrouver nos amis, ce qui, je vous rassure, ne devrait tarder, je vous propose de découvrir ce récit, illustré qui plus est, qui m'a été envoyé par Liberty 76.

Baisée comme une chienne (1)

Ce soir c’est la fête. Nous fêtons nos vingt ans de mariage, vingt ans de vie très agréable et sans nuage. Les enfants sont partis chez leurs amis et mon mari m’offre le restaurant. Je suis allée faire quelques achats, une mini jupe en cuir rouge, un body transparent en dentelles ainsi qu’un string ridiculement petit, un soutien gorge pigeonnant qui fait gonfler mes seins et cache difficilement leurs pointes, ainsi que des bas. Le grand jeu quoi ! Vingt ans c’est quelque chose et mon mari est adorable.

Le seul point qui nous distingue vraiment est qu’il aime tout ce qui touche au sexe alors que je suis moi-même un peu coincée sur le sujet mais j’ai décidé pour notre anniversaire de lui faire plaisir.

Je suis BCBG, plutôt jolie, pas très grande, svelte, des seins encore fermes et bien proportionnés, un fessier plutôt coquin, un sexe bien lisse et rond, des jambes galbées et un visage d’ange, c’est ce qu’on me dit en tout cas.


Nous sommes partis assez tôt et sommes bien trop en avance pour le restaurant, mon époux qui déteste arriver en retard, prend souvent des marges trop importantes. C’est l’inverse pour moi qui suis assez souvent en retard.

Après avoir roulé un petit bout de temps sur des routes de campagne, temps pendant lequel il n’a cessé de me caresser amoureusement les cuisses et l’entre cuisses, mon compagnon aperçoit un petit bar, il ralentit et arrête notre voiture sur le parking situé en face du bistrot. Il m’attrape par les épaules et m’embrasse langoureusement.

Je suis assez fière de mon mari. Malgré une surcharge pondérale, il est beau, il possède de plus une intelligence au dessus de la moyenne, il est drôle et est toujours attentionné à mon égard et celui de nos enfants.

Il n’est pas de jour où il ne m’embrasse et ne me dise des mots doux.

C’est vraiment le compagnon idéal. De mon côté, j’avoue avoir un caractère un peu lunatique mais j’essaie de m’améliorer. Quoiqu’il en soit, j’adore mon mari et je me dis fréquemment que je devrais lui prouver plus souvent.

« Je t’aime » me dit-il.

« Moi aussi comme au premier jour »

« Nous sommes en avance, je t’offre l’apéritif ici » reprit-il.

Il m’embrasse de nouveau et en relevant mon body, sort mes seins de mon soutien gorge. Il les caresse délicatement en s’attardant sur les pointes qui ne tardent pas à s’ériger et durcir.

Puis il continue ses investigations en promenant sa main sur mon sexe qui continue de s’humidifier tout doucement. Il relève mes jambes, m’enlève le string et pose avec amour ses lèvres sur le mont de vénus pendant que ses mains se baladent sur mes fesses et titille mon anus avec un doigt. Il joue un peu avec mon clitoris de quelques coup de langues puis se relève brusquement, me met une petite claque sur les fesses et me dit :

« Reste comme ça! Allons voir ce petit bar, nous avons le temps et le resto n’est plus très loin, nous finirons cette discussion après le dîner. » Dit-il avec un large sourire coquin en mettant mon slip dans la boite à gant.

Il m’embrasse à nouveau et sort de la voiture.


Je remets de l’ordre dans ma tenue vestimentaire, sors de la voiture et vois ce qui devait être le patron du bar s’éloigner en hâte de la fenêtre. A priori il n’avait rien raté du spectacle.

Peut être à tort, je ne dis rien à mon mari qui n’avait pas l’air d’avoir remarqué le voyeur d’autant qu’il n’aime pas trop ce genre de situation. Le bonhomme n’avait peut être pas tout vu et n’importe comment, nous n’avions pas poussé la chose trop loin. Et puis comme j’avais décidé ce soir d’être coquine, et que sincèrement, j’étais déjà bien excitée des attouchements de mon amour, cela me donnait ma première expérience d’exhibitionniste bien que ce fut involontaire.

Cela me choquait d’ailleurs, beaucoup moins que j’aurais pu le penser.

« Bonsoir m'sieu-dames » nous lance t’il en matant ma poitrine généreuse à peine cachée par le soutien-gorge sous le chemisier transparent, que j’exhibe volontairement, forte de ma première expérience d’exib et de mon petit minou encore tout mouillé.



« Bienvenue chez « ROBERT », installez-vous, ce n’est pas la place qui manque »


Le patron est seul avec ses deux dobermans, c'est un gros bonhomme jovial presque chauve qui nous félicite après que mon mari lui ait expliqué le pourquoi de notre présence. Je le sens très heureux et guilleret et il donne l’impression de vouloir que tout le monde partage notre bonheur.

Nous nous installons, commandons nos boissons, trinquons à notre santé et commençons à siroter nos verres tout en discutant de choses et d’autres et plus particulièrement de ma tenue sexy que mon mari trouve tout à fait à son goût.

« J’aimerai bien que tu t’habilles toujours comme ça » me dit-il.

« On verra » répondis-je en lui attrapant la main au creux de la mienne.

La soirée s’annonçait bien et je me sentais d’humeur charmante. J’étais vraiment heureuse et prête à tout, pour que mon époux le soit aussi.


J’aurai préféré rester seule avec mon mari pour discuter tranquillement mais peu de temps après que nous nous soyons installés, un groupe d'hommes arrive, perturbant ainsi notre intimité.

Ils s'installent bruyamment à coté de nous, nous saluent, commandent plusieurs bouteilles d’alcool, discutent avec le patron qu’ils semblent connaître puis composent leurs cocktails eux même dans un joyeux brouhaha.

Mon mari, déçu lui aussi par cette intrusion, interpelle le patron et commande une seconde tournée avant de partir, j’en profite pour tirer sur ma jupe qui décidément vraiment très courte, découvre mes cuisses presque jusqu’au sexe. Cela attire visiblement le regard du petit groupe d’à côté. Que l’on voit mes cuisses ou le bas des fesses passe et m’excite même un peu, pour le sexe c’est autre chose. De plus, je leurs trouve un air pas très catholique malgré qu’ils soient rieurs et chahuteurs.


Voyant que je les observe, l’un d’eux se lève, se dirige vers notre table et nous interpelle.

« J’espère que nous ne vous dérangeons pas trop » nous dit-il en regardant furtivement ma poitrine.

Il me sourit et nous précise qu'ils sont là pour enterrer la vie de garçon de l'un d'eux et s’excuse du bruit occasionné.

Nous lui répondons cordialement qu’il n’y a aucun problème, que nous n’avons pas le monopole de ce petit bar et que nous-même sommes ici pour notre anniversaire de mariage, nous mentionnons que nous leur laisserons la place libre rapidement pour aller au restaurant.

« Cela sera bientôt au tour du futur marié de compter les années de vie commune » nous dit l’un du groupe et il nous propose gentiment de trinquer avec eux.

Sans attendre mon avis mon époux accepte et nous levons tous nos verres au futur marié et à nous même. Nous entamons une discussion courtoise avec ces hommes qui, somme toute, paraissent plutôt sympathiques. Constatant nos verres vides, ils nous proposent de goûter à leur mixture. Sans attendre notre réponse le même homme qui s’était déplacé la première fois, se lève à nouveau et remplit nos verres.

Bien que fort en alcool leur cocktail est bon et nous commençons à philosopher sur le mariage, ses joies et ses contraintes.

Le temps passe et les verres se vident et se remplissent, mon mari regarde sa montre et me fait signe de la tête qu’il va être l’heure d’y aller.


Constatant que nous nous préparons à partir, ils insistent pour nous offrir une dernière tournée et joignant le geste à la parole, nous proposent de réunir nos tables.

Nous souhaitions être tranquilles mais la troupe est joyeuse et nous avons envie de passer une bonne soirée, alors un peu d’animation avant le dîner est la bienvenue et le restaurant attendra bien un peu.

Mon mari semble ravi, la soirée commence bien, il raconte ses dernières petites histoires assez salaces, et écoutons les leurs pendant qu’ils nous resservent au fur et à mesure que nous vidons nos verres. Nous n’avons pas l’habitude de boire autant et commençons à avoir la tête qui tourne, Je me sens pour ma part sur un petit nuage, euphorique !

Je remarque à plusieurs occasions que des regards se portent sur mes seins et mes cuisses que je croise et décroise maintenant volontairement, dévoilant sans pudeur mon petit sexe épilé j’ai envie de continuer l’exhib commencée sur le parking et d’exciter ces mâles avant de partir. Je garde même les jambes bien écartées afin que mes admirateurs puissent contempler sans encombre mon entrejambes


« Nous allons vous laisser maintenant » leur dit mon mari qui n’a pas l’air d’aller très bien non plus.

« Attends cinq minutes » lui dis-je, « je vais me refaire une beauté ». A vrai dire une petite envie m'oblige à avoir recours aux toilettes avant de partir.

Je me lève, tire à peine sur ma jupe arrivée aux fesses, embrasse tendrement mon époux d’un baiser torride en me penchant bien en avant afin que chacun puisse profiter de mon arrière train, traverse en titubant l'arrière salle, m’agrippe aux tables et chaise pour ne pas tomber et trouve les sanitaires.

Le patron du bar est en train de se laver les mains dans le lavabo.

« Vous vous trompez de WC » dit-il en m’indiquant ceux réservés aux femmes

« Oh excusez-moi, je suis un peu pompette et je commence voir trouble » dis-je en riant.

« Ce n’est pas bien grave mais les toilettes femmes ont une petite poubelle pour mettre ce que vous savez et surtout les toilettes hommes sont des WC turcs »

Je passe à côté de lui et il en profite pour me bloquer.

« Vous as t’on déjà dit que vous êtes superbe » Me dit il.

Je suis flattée et remercie l’homme de ces gentils compliments. Sous prétexte de me poser une bise sur la joue, il m’attrape par la taille et me rapproche de lui.

Il couvre mes joues de petits bisous, exactement comme le fait d’habitude mon mari. Petit à petit, ses baisers se rapprochent de mes lèvres pour continuer sur celles-ci. Les baisers se font de plus en plus pressants.

J’ai fermé les yeux et me suis appuyée sur le mur de crainte de perdre mon équilibre plutôt mis à mal par l’alcool.

Il enfonce d’autorité sa langue dans ma bouche et va chercher ma langue qui lui répond et se mélange avec la sienne.

Il passe une main sous la jupe et l’autre sur les seins. Il malaxe longuement mes fesses avant de caresser ma fente et avant d’introduire son doigt entre les lèvres qu’il a doucement écartée afin de titiller le clitoris. Sentant le désir monter en moi je m’échappe de son étreinte, entre dans les WC et ferme la porte à clef.


« Les hommes sont vraiment des coquins » me dis-je en souriant et bizarrement pas choquée par le comportement cavalier du patron. Je m’assieds ou plutôt tombe maladroitement sur la cuvette des water et fait mon petit besoin… à côté, sur le sol.

« Houlala, je suis vraiment pompette » dis-je


Je profite malgré tout de ce moment d’intimité pour me remettre un peu de rouge à lèvres et réajuster mes seins dans les balconnets qui ont bien du mal à accomplir leur mission d’autant que le patron du bar les a copieusement pelotés. Ceci explique aussi les yeux fixés sur ma poitrine durant tout l’apéritif. Mais vu mon état, moi qui suis plutôt timide et réservée d’habitude, souris avec une pointe de fierté à l’attention que l’on me porte. Je ressors d’autorité un sein du soutien gorge et sort dans la partie commune pour trouver une serpillière pour essuyer par terre et aussi me laver les mains.

Le patron est toujours là.


« Je ne vous ai pas choquée ?» me dit il.

« Non, non mais j’ai fait des petites bêtises » lui dis-je en montrant le plancher autour du bidet.

« Auriez vous quelque chose pour essuyer ? »

« Prenez du papier essuie-mains, il ne faut pas laisser cet endroit dans cet état » me répondit-il sèchement.

Et me voilà à quatre pattes en train d’essuyer ma maladresse.

Prétextant m’aider le patron se met à coté de moi, s’accroupit puis passe à nouveau sa main par derrière jusqu’à la fente de mon sexe qu’il caresse. Je me laisse faire et il y introduit à nouveau quelques doigts et joue avec mon clitoris qui continue de s’ériger.

Je sens mon sexe redevenir humide et j’écarte les jambes machinalement tout en finissant d’éponger le sol.

La seconde main écarte les lèvres de mon sexe pendant que la première laisse mon clitoris, il est à genoux derrière moi. Je sens sa virilité se frotter contre la raie de mon petit cul. Je passe ma main entre mes cuisses pour attraper sa verge gonflée avant de la guider moi-même vers l’entrée de mon intimité.

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Lundi 27 avril 1 27 /04 /Avr 18:41
Pleine de surprises...

Ses doigts sur promènent lentement sur son sexe, flattent sa fente, remontent et s'attardent sur le bouton, s'enfoncent dans la grotte. Parfois même, coquins, vont agacer le petit oeil fripé. Les soupirs, légers mais bien réels, nous indiquent que ma petite chérie apprécie de se donner ainsi du bien. Peu à peu, ce charmant spectacle fait son petit effet sur nos virilités qui retrouvent toute leur arrogance.

- Hum... voici deux beaux sucres d'orge bien appétissants ! Approchez donc mes chéris !

Nous nous installons chacun d'un côté et Cathy, abandonnant son sexe, prend les nôtres et les flatte, comme si elle les découvrait. Les doigts de Pascal ont remplacé les siens sur sa fente pendant que, de mon côté, je prends possession de sa poitrine que je pelote amoureusement.
Nous la caressons ainsi quelques minutes puis notre ami s'allonge sur le dos et, attirant Cathy sur lui, la fait s'empaler sur son membre tendu. Il la lime un peu puis lui demande :

- Je suis sûr que tu n'as jamais eu la chatte remplie par deux queues...
- Tu es fou ! Vous allez me déchirer !
- Mais non... tu vas voir... tu vas adorer...

D'un signe, il m'invite à me joindre à eux. J'avoue avoir une légère appréhension mais bon, si jamais, Cathy n'apprécie pas, on arrêtera ! Je pose mon gland tout contre le sexe de Pascal et pousse. Je regarde la chatte de ma chérie qui se distend sous cette double pénétration. Contrairement à mes craintes, je m'enfonce relativement facilement. Cathy, immobile, reçoit ce double hommage sans visiblement en souffrir.

- Oh... oh... c'est... hum... putain... deux bittes dans ma chatte... j'y aurais jamais pensé... ahhhh!!
- Alors ? Tu aimes ? demande Pascal.
- Hum... c'est... comment dire... inracontable...

Nous entamons de lents va et vient. Jamais je n'ai été aussi serré. Sentir la verge de mon ami contre la mienne renforce s'il le fallait mon excitation et les soupirs, de moins en moins discrets de ma petite épouse chérie indiquent que je ne suis pas le seul à apprécier cette nouvelle figure.
Quelques minutes de cette inédite chevauchée suffisent à amener une nouvelle fois Cathy au paradis et c'est dans un véritable hurlement qu'elle jouit, prisonnière de nos deux corps, de nos deux sexes.
Elle met de longues minutes à reprendre conscience et, cette fois, crie grâce. Grâce que nous lui accordons, heureux d'avoir eu assez de forces pour lui offrir ce dernier orgasme.

Après un dernier verre, nous décidons d'aller nous coucher et, nous naturellement, invitons Pascal à partager notre lit, ce qu'il accepte bien volontiers.


Ce la fait déjà quelques semaines que cette soirée a eu lieu. Nous en avons bien entendu reparler, Cathy et moi ; elle craignait que, passée l'excitation du moment, je lui en veuille de s'être ainsi comportée. Je l'ai rassurée : lui redisant combien je l'avais trouvée belle, combien j'avais été excité de la voir se faire baiser par Pascal, combien j'avais aimé qu'elle se laisse aller et prenne le plus de plaisir possible.
Depuis, j'ai l'impression que notre couple a retrouvé une seconde jeunesse. Nous avons toujours eu des rapports réguliers et qui nous donnent chaque fois du plaisir mais il me semble que ma chérie soit devenue un peu plus coquine encore, n'hésitant plus à se promener nue dans la maison, ce qu'elle ne faisait plus depuis des lustres, et, plus surprenant encore, me permettant de la regarder faire pipi, ce qu'elle m'avait toujours refusé. Bref, si la vie était belle, elle est aujourd'hui merveilleuse !
Aussi, lorsque, rentrant du boulot, je trouve ma chérie, particulièrement souriante, vêtue d'un chemisier qui laisse deviner sans mal ses tétons sombres et d'une jupe qui a le plus grand mal à masquer son popotin, je devine qu'elle me réserve une petite surprise des plus agréables. En effet :

- Mon chéri, Pascal a appelé toute à l'heure et nous invite à diner... je n'ai pas osé refuser... conclut-elle avec une moue coquine.
- Tu as bien fait !

Une heure plus tard, nous arrivons chez notre hôte qui nous accueille avec le sourire. Sourire qui s'élargit un peu plus lorsqu'il découvre la tenue de Cathy.

- Humm... tu es... très en beauté... très appétissante !
- Merci. J'espère donc que tu auras très faim.

Le ton est donné ! Si Pascal avait un doute sur l'envie de ma chérie de revivre l'expérience passée, il est fixé ! Son visage s'éclaire et, à la place de la traditionnelle bise, il lui offre un vrai et profond baiser qu'elle ne refuse pas, bien au contraire ! Et c'est en la tenant par la taille qu'il nous invite à entrer.

La surprise arrive quand nous pénétrons au salon. Un des canapés est en effet occupé par un couple et Cathy, en l'apercevant, a comme un mouvement de recul et Pascal qui a senti ce sursaut, s'empresse de faire les présentations :

- Voici mes amis Cathy et Pierre, dont je vous ai parlé. Et voici Martine et Serge, un couple d'amis... intimes eux aussi.

Un silence suit ces présentations. Cathy est sans doute déçue de ne pouvoir profiter d'une nouvelle soirée excitante et, pour ma part, je m'interroge : et si Pascal avait programmé une "petite partouze entre amis" avec nos deux couples ?

C'est donc dans une ambiance quelque peu bizarre que nous nous installons dans le canapé qui leur fait face, Cathy entre Pascal et moi.
Notre hôte nous propose de porter un toast "à l'amitié qui nous lie... et plus si affinité". Mes doutes sur son projet s'estompent un peu et je porte sur l'autre couple un nouveau regard.

Visiblement du même âge que nous, Martine est une jolie rousse aux formes pulpeuses particulièrement mises en valeur par un chemisier assez léger, et quelque peu transparent, et une jupe qui, sans être mini, peine à couvrir ses cuisses. Son mari est assez mince et un visage sympathique. Une petite soirée coquine tous les cinq ne serait donc pas désagréables, loin de là.

Peu à peu, l'ambiance se réchauffe et, tout en parlant de choses futiles, nous faisons connaissance. Le courant passe bien et je ne peux pas ne pas remarquer quelques regards de Serge sur les cuisses de ma chérie. Cathy ne les ignore pas non plus et, à peine surpris, je la vois croiser et décroiser les jambes, les laissant parfois un peu écartées quelques secondes.
Pascal, qui nous a laissé pour mettre la dernière main au repas, nous invite à passer à table.
Le repas est l'occasion d'échanges de plaisanteries qui, après quelques verres de bon vin, ne tournent plus qu'autour du sexe, tout en restant, pour le moment, relativement sages.

Nous retournons au salon pour le café et, cette fois, toute gêne a disparu, au point que Pascal ne se gêne absolument pas pour caresser les cuisses de ma chérie, les offrant ainsi à la vue de nos amies. Cathy ne s'en émeut pas du tout, bien au contraire et, lorsqu'il attire son visage contre le sien, elle répond sans hésitation aucune à son baiser. Serge se lève et vient s'agenouiller face à Cathy. Lentement, il lui écarte les jambes tout en lui caressant les cuisses, remontant centimètre par centimètre. Martine me sourit puis, se levant à son tour, vient s'installer sur mes genoux. Tout naturellement, ma main se retrouve sur sa cuisse à qui j'offre la même caresse. La soirée vient de prendre une tournure des plus excitantes !

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