Lundi 24 mars 1 24 /03 /Mars 10:13
Et oui ! Tout a une fin ! Même les meilleurs choses. Voici donc la fin de ce trio. Fin provisoire, peut-être...

Elle se tourne vers Marc, lui demande de s'allonger puis, sans autre forme de procès, s'empale sur son sexe à nouveau dressé.

  • - Hum... comme j'aime ta bitte mon salaud... regarde-nous Franck ! Vois comme il me baise bien la chatte ! Tout à l'heure, quand tu auras retrouvé la forme, tu le remplaceras... ou tu viendras me baiser avec lui... comme tu voudras... Oh, mon amour ! Vas-y ! Bourre-moi bien ! Ah oui ! C'est bon !

Me voici donc à nouveau dans ce rôle de voyeur ; je les regarde faire l'amour, je devrais plus simplement dire "baiser" tant leur étreinte est passionnée, presque animale. Leurs soupirs et autres gémissements font écho aux floc de la chatte d'Annie. Rapidement, devant un tel spectacle, je retrouve une érection maximale. Annie, tournant la tête s'en aperçoit et s'écrie :

  • - Oh, mon chéri ! Je crois que je vais connaître mon premier sandwich ! Viens Franck ! Viens me perforer le cul pendant que mon chéri me baise la chatte !

À défaut d'être complètement poétique, sa demande n'en est pas moins intéressante. Je rejoins donc le couple et parviens, après quelques contorsions, à m'installer derrière elle, le gland tout contre son oeillet. Marc a cessé tout mouvement et je commence à pénétrer le cul de ma jolie voisine. La facilité avec laquelle je m'introduis en elle me prouve que la coquine s'adonne régulièrement à la sodomie, ce qu'elle me confirme d'ailleurs :

  • - Vas-y petit salaud ! N'aie pas peur ! Encule-moi bien à fond !

Comment résister ? D'un puissant coup de rein, je la pourfends et me retrouve tout en elle, les couilles contre son adorable popotin. J'entame de lents va et vient, savourant chaque minute de ma première sodomie, et oui ! Sous Annie, Marc reprend lui aussi sa "chevauchée fantastique" et, très vite, nous faisons grimper aux rideaux notre charmante cavalière !

  • - Oh oui... mes amours... bourrez-moi bien... j'aime vos deux queues... ah c'est trop bon... je vais jouir... je... je viens... oui... ça y est... ahhhhh

Elle hurle presque tant son orgasme est puissant. Elle s'affale contre le torse de son mari sans que ni lui ni moi ne cessions nos coups de reins. Les mains fermement accrochées à ses hanches, je la pilonne régulièrement, prenant un plaisir inouï. J'aimerais que cette séance n'en finisse pas tant je prends mon pied à aller et venir dans les reins de ma chère voisine.

Notre folle chevauchée dure de longues minutes puis, à bout de résistance, Marc, le premier succombe et jouit longuement dans la chatte de sa femme. Je peux presque sentir ses jets fuser tant nos deux sexes sont proches l'un de l'autre. Son plaisir déclenche le mien et, à mon tour, je me laisse aller. Je sors du délicieux écrin et, dans une longue plainte, arrose copieusement le dos de ma partenaire.
Nous nous séparons, en nage, le souffle court. Annie nous embrasse à tour de rôle avant de déclarer :

  • - Je viens de vivre des minutes que je ne n'oublierai pas de sitôt ! Vous m'avez fait jouir comme jamais !
  • - Ça a été super pour nous aussi, n'est-ce pas Franck ?
  • - Oh que oui. Et, comme toi, cela restera un super souvenir !

Nous trinquons une nouvelle fois puis, l'heure avançant, mes voisins m'invitent à rester dîner. J'espère que la soirée sera aussi torride que l'après-midi !!

Marc prépare le barbecue pendant que je donne un coup de main à sa femme pour préparer la salade. La cuisine n'est pas spécialement petite mais cette coquine ne peut passer près de moi sans effleurer mes fesses, mon sexe. J'entre dans son jeu et, à mon tour, profite de chaque croisement pour envoyer une main baladeuse sur une cuisse, le ventre, un sein. L'humeur reste à la fois au beau fixe et surtout à la gaudriole !

Nous dinons assez rapidement puis rentrons boire un café au salon. La lumière tamisée et la musique douce entretiennent l'ambiance érotique de la soirée. Nous discutons de tout, de rien mais surtout de sexe. J'apprends, non sans surprise, qu'il s'agit de leur première aventure "hors norme", selon les mots de Marc.

  • - On t'a remarqué dès qu'on a emménagé mais on ne pensait pas avoir l'occasion de réaliser notre fantasme avec toi.
  • - Surtout TON fantasme, ma chérie.
  • - Oui, je te l'accorde... même s'il me semble que tout à l'heure, tu ne t'es pas privé...
  • - J'avoue... je n'ai pas pu résister aux adorables petites fesses de Franck... Tu as aimé au moins ?
  • - Hum... j'avais un peu peur mais tu as su être très doux et patient et j'ai passé un moment aussi agréable qu'inattendu.

Assise entre nous, Annie a posé une main sur chacun de nos sexes et les caresse doucement, tout en nous écoutant. Je me tourne vers elle et pose mes lèvres sur les siennes. Nous échangeons un long baiser puis la belle lâche ma queue, regarde son mari en souriant et dit :

  • - Mon petit chéri, j'aimerais énormément te regarder sucer une bitte... et je suis certaine que notre ami ne te refusera pas la sienne. N'est-ce pas Franck ?
  • - Hum... si Marc est aussi doué avec sa bouche qu'avec son sexe... je lui offre volontiers le mien.
  • - Je vois qu'il ne me reste plus qu'à obéir...

Il s'agenouille face à moi et commence par caresser mes bourses, puis ma tige. Il y dépose de délicieux bisous, très doux. Ma verge est maintenant bien raide ; il m'embrasse le gland puis, enfin, ouvre la bouche et m'avale, me faisant coulisser lentement entre ses lèvres, entamant une fellation ma foi bien agréable.

Annie se penche sur moi et me roule une pelle, visiblement excitée par le spectacle qui lui offre son mari.

  • - Il te suce bien ?
  • - Oui... il est plutôt doué.
  • - Je suis sûre qu'il en mourrait d'envie... vas-y mon chéri ! Pompe-le bien !

Je ne sais pas si c'est la première que mon cher voisin suce une bitte mais il se débrouille comme un habitué ! Sa langue s'enroule autour de mon gland, ses lèvres aspirent littéralement ma tige, comme s'il me trayait et ses mains, loin d'être inactives, caressent mes bourses et mon anus, qu'il sait réceptif. Annie me laisse et je la vois s'agenouiller derrière son mari. Une main disparaît, elle me regarde en souriant et dit :

  • - Je lui prépare le cul. Tu vas lui offrir ce qu'il t'a si bien offert tout à l'heure...

À ces paroles, Marc serre un peu plus mon sexe entre ses lèvres, comme pour me signifier son excitation et son accord. Après quelques minutes, à l'invitation de sa femme, il abandonne sa fellation et s'installe à quatre pattes, jambes écartées, reins cambrés.

  • - Allez ! Viens ! Mets-lui ta bitte ! Il n'attend que cela.

Je m'installe derrière lui. Annie s'empare de ma queue qu'elle positionne contre la rondelle.

  • - Vas-y ! Appuie ! Encule-le bien !

Le muscle cède lentement et mon gland disparait entre les fesses de mon ami.

  • - Ça va ? tu n'as pas trop mal ?
  • - C'est supportable. Continue à y aller doucement !

Comme pour moi cet après-midi, Annie caresse le sexe de son mari, pour l'aider à supporter mon intromission. Après un moment plus court que je n'aurais cru nécessaire, mon ventre rejoint ses fesses.

  • - Je suis tout en toi, Marc. Ça va toujours ?
  • Oh oui... c'est même plutôt agréable
  • - Mieux que quand je te le fais avec un gode ?
  • - Oui... c'est chaud... vivant...

Je comprends maintenant la relative facilité avec laquelle j'ai pris possession de ce cul. Rassuré sur ces "capacités", j'entame de puissants va et vient qui le font tout de suite gémir d'aise. Ses fesses claquent contre mon ventre, mes "han" se mêlent à ces soupirs. Annie, tout contre moi, les yeux baissés vers les fesses de son chéri, regarde ma queue aller et venir, écartant sa rondelle. Elle passe une main sous son ventre, reprend son sexe en main et le masturbe vivement. soudain, il tend ses fesses vers moi, comme pour mieux s'empaler sur ma queue, pousse un long feulement rauque et jouit, arrosant la main d'Annie de son jus. il s'effondre sur la moquette, m'éjectant, et reste inerte, vaincu par le plaisir.

La belle coquine, voyant là l'occasion de profiter à nouveau de mes bonnes dispositions, me pousse sur le dos et, sans autre forme de procès, s'empale sur mon sexe. À peine sorti du cul du mari que je prends possession de celui de la femme. Annie monte et descend sur moi. Je m'empare de sa poitrine que je masse, parfois assez fermement, la faisant gémir de bonheur. Elle se penche sur moi, m'offre ses seins à embrasser puis sa bouche que je dévore avec plaisir.

Après quelques minutes, je suis sur le point de venir et lui en fais part :

  • - Viens ! Jouis dans mon cul ! Arrose-moi !

Je ne me retiens plus et, fiché au plus profond de ses reins, explose en longs jets. Elle me laisse me déverser en elle puis se lève et vient s'accroupir au-dessus de mon visage :

  • - Fais-moi jouir avec ta langue !

Le genre de proposition à laquelle j'ai toujours été incapable de dire non ! Je fouille son intimité ruisselante, titille son clito gonflé à souhait et, à son tour, la belle me fait l'offrande du fruit de son plaisir. Plaisir qu'elle exprime sans retenue :

  • - Ahhhh... Ouiiii... C'est bon ! bois mon jus ! Comme ça ! Ouiiii ! Enfonce ta langue...

Je déguste cette potion magique, ne voulant en perdre aucune goutte mais, le sexe trop sensible, Annie se relève vivement avant de s'effondrer dans le canapé, les joues rouges, le souffle court, des gouttes de sueur baignant son front.

Marc revient de la cuisine, une bouteille de jus d'orange et trois verres à la main.

Il me semble que tout le monde en a besoin !

Nous rions tous les trois, heureux de cette soirée, et apprécions ce rafraichissement.

Voilà, cette journée est terminée. Mais peut-être nos trois amis se retrouveront-ils ! Je ne le sais pas encore.
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