Une fin de soirée à la maison - suite

Vendredi 30 mai 5 30 /05 /Mai 14:23

Une fin de soirée à la maison - suite

Suite de cette histoire écrite à quatre mains. Le prochain épisode sera rédigé par Philippe. N'oubliez pas de nous dire si vous aimez toujours !

Je pénètre dans le salon, fait quelques pas et découvre le spectacle. Ma femme, le cul emplit d'un plug, en train de jouir face à la fenêtre ! Pour une surprise !
Ton cri de plaisir t'a empêché de nous entendre et tu te crois toujours seule. J'arrive face à toi. Tu ne penses même pas à refermer tes cuisses, au contraire, d'un air coquin tu dis :

- Oh, c'est toi mon chéri ! Tu arrives juste à temps pour me faire reluire.

Je tourne la tête. Mes amis sont dans l'encadrement de la porte. T'ont-ils entendue ?

- Allez ! Viens ! J'ai envie d'une bonne bitte dans la chatte ! Envie que tu me défonces tous les trous !

Cette fois, plus de doute ! Mes deux potes se sont avancés et peuvent maintenant admirer le spectacle que tu offres. Surprise par mon manque de réaction, tu me regardes l'œil interrogateur puis tu tournes la tête et aperçoit les deux amis.

- Merde alors ! T'aurais pu me prévenir !

Pourtant, tu ne changes pas de position, leur permettant ainsi de continuer à se rincer l'œil, ce dont ils ne se privent pas. Est-ce l'alcool ? Toujours est-il que la situation, pour aussi gênante qu'elle pourrait être, me parait pour le moins excitante. Elle le devient encore plus quand je t'entends t'exclamer :

- Trois queues rien que pour moi ! Je n'en demandais pas tant ! Chéri, sers donc un coup à boire qu'on arrose ça !

Je sors une bouteille de digestif et emplis 4 verres et nous trinquons :

- Dites les gars, vous pourriez vous mettre à l'aise ! Y'a que moi à poil !

Mes amis me jettent un œil interrogatif puis, voyant que je commence à me dessaper, en font de même et nous nous retrouvons rapidement nus, nos sexes à moitié dressés.

- Ben alors ? J'vous fais pas plus d'effet que ça ? J'ai envie de morceaux bien durs, pas de chiffes molles ! Tiens, toi, approche !

Armand, le plus jeune des deux s'approche de toi, presque timidement.

- N'aie pas peur ! Je ne vais pas te la bouffer !

Son sexe à quelques centimètres de ton visage, tu le prends dans ta main et le branle doucement, le faisant rapidement se redresser.
Je regarde l'immeuble en face et remarque que le voyeur est toujours en place. Il peut dire qu'il est gâté ce soir.

Tu as gobé le sexe d'Armand et tu le suces avec un réel plaisir. Le jeune homme, après une petite hésitation, a pris un de tes nichons dan sa main et te pelote assez vigoureusement, te faisant gémir de plaisir.

Jean, mon autre copain. se branle en vous regardant. Il s'approche enfin et s'empare de ton autre sein qui reçoit à son tour caresses puis rapidement baisers.

- Viens me bouffer la moule !

Il ne se fait pas prier, s'installe à genoux entre tes cuisses et plonge sur ta chatte, lui offrant de grands coups de langue qui te font gémir encore un peu plus. Je file chercher le caméscope et immortalise la scène.
Après quelques minutes, tu lâches la bitte d'Armand, tu repousses Jean et tu t'installes, les fesses juste au bord du fauteuil, les jambes écartées, chatte offerte. Tu regardes mon jeune pote et lui dit :

- Viens maintenant ! Viens me baiser !

Il ne se le fait pas dire deux fois et, d'un puissant coup de reins, t'investit, te tirant un cri de surprise. Il te baise comme tu l'aimes : à grands coups de bitte, faisant claquer tes fesses contre ses cuisses.

- Wouahh ! C'est bon ! Continue ! Bourre-moi bien ! OUIIIII ! Comme ça !

Jean te tenant par les cheveux, te fait tourner la tête. Tu te retrouves ainsi avec sa queue contre ta bouche.

- Allez ! Suce cochonne !

Il n'a pas besoin de le dire une seconde fois. Tu ouvres les lèvres et gobe son mandrin bien raide. Il empoigne tes nichons et te pelote avec vigueur, n'hésitant pas à tirer tes tétons.

- Ta femme est une sacrément bonne pompeuse ! Putain, c'qu'elle est douée !

Il ne faut que quelques minutes pour qu'une nouvelle fois, tu jouisses. Tu lâches le sexe que tu suces et pousse un long cri rauque. Armand, à son tour, succombe. Il sort de ta chatte et, visant ton visage, t'arrose abondamment. Son jus coule sur ton front, tes joues, colle tes cheveux.
Jean prend immédiatement sa place et, à son tour, te baise avec puissance, t'emmenant très vite vers un nouvel orgasme qui te laisse pantelante. Il ralentit un peu, te laissant savourer ta jouissance. Puis il pointe son gland contre ton cul et pousse. Il n'a aucun mal à prendre possession de tes reins et t'encule rapidement à grands coups de boutoir. Je zoome et filme en gros plan ton anus distendu par son mandrin.

- Viens me donner ta bitte mon chéri !

J'abandonne le caméscope à Armand et m'enfonce avec délice dans ta bouche. Tu serres ma hampe entre tes lèvres, tu titille mon méat du bout de la langue. Comme Jean tout à l'heure, je te pelote avec rudesse, pinçant tes tétons, malaxant tes seins sans douceur.

- Bouffe salope ! Avale ma bitte ! Allez Jean ! Baise-la bien ! Fais-la jouir du cul !
- T'inquiète pas mon ami ! Un telle cochonne, je vais en profiter un max... et lui en faire profiter aussi !