Vendredi 26 septembre 5 26 /09 /Sep 12:12
Deuxième contribution d'Olga et Philippe, couple libertin, et deuxième histoire, toujours aussi excitante.  Vous pouvez admirer de nouvelles photos de la belle dans l'album qui lui est consacré.

Je continue le récit de ma métamorphose d'épouse sage à une femme dominée par le plaisir charnel. Je vais parler de ma rencontre avec Rachid, l'homme qui m'a prise, par la suite, devant mon mari, réalisant le fantasme de Philippe, mon époux.

C'était en juillet 2007, une des rares journées d'été de ce mois là. Je faisais des courses au supermarché du quartier. Comme il faisait assez chaud ce jour-là, j'avais mis une jupe courte, un mini string blanc, des bas noirs. Je portais un chemisier décolleté, pas de soutien car j'aime que mes petits seins soient libres. Franchement, je ne m'étais pas rendue compte que ce chemisier était assez translucide et laissait voir mes seins sous le tissu.

J'avais remarqué ce jeune homme, un jeune beur qui me suivait. Il portait un jeans serré et un tee-shirt. C'était un des jeunes de la cité voisine.

Par la suite, il m'a expliqué qu'il m'avait remarquée d'autres fois quand je faisais mes courses à ce supermarché et qu'il avait parié avec ses amis que je serai à lui.

A un moment donné, nous étions seuls dans une allée. Il m'a fixé dans les yeux et il m'a dit :

  • Je suis certain que tu es une salope. Je m'appelle Rachid et je vais te baiser!

En même temps, il avait mis la main sur l'énorme bosse qui déformait son pantalon.

J'ai rougi, je ne lui ai rien dit alors que j'aurais du faire un scandale, le gifler ou appeler. Je me suis contentée de tourner les talons. Je n'avais plus rien connu depuis mon voyage au Brésil en mars et malgré l'attitude complice de mon mari, son insistance à me pousser à la débauche, j'étais bien décidée à ne plus recommencer. J'avais honte de ce que j'avais fait.

Je me suis donc empressée de payer mes quelques achats et de rentrer chez moi, sachant qu'une fois à la maison je regretterai de n'avoir pas dis oui à ce type et que je me branlerai le clito comme une folle en pensant à lui.

Dans la rue, je me suis rendue compte qu'il me suivait. Malgré moi, je n'ai pas pressé le pas pour essayer de le semer. Pire, une fois arrivée à mon immeuble, je n'ai pas refermé la porte d'entrée et naturellement il s'est engouffré derrière moi.

J'avais commandé l'ascenseur, il est entré avec moi puis a stoppé l'ascenseur entre deux étages.

Il a commencé à poser les mains sur mes seins et à me caresser. Mes seins se dressaient, mes tétons étaient durs. Je protestais :

  • Mais Monsieur, que faites vous? Vous êtes fou, laissez-moi! Je suis mariée, nous sommes dans mon immeuble. Je suis sérieuse et fidèle. Arrêtez, sinon je vais appeler, je vais crier pour appeler à l'aide!

  • Oui, tu vas crier, mais de plaisir. Arrête tes histoires ! Tu as envie, ça se voit. Ton mari, on va le faire cocu!

Il a continué et a commencé à ouvrir les boutons de mon chemisier, libérant me seins. Il a commencé à me sucer les tétons.

  • Oh non arrêtez, vous êtes fou ! On peut nous surprendre. Oh, oui, vas y continue, j'adore ça.

  • Je le savais. Tu m'as trop excité. Je te baiserai ici même, ma salope.

Il a enlevé ma jupe, a arraché mon mini string puis a commencé à me lécher longuement. Jamais je n'avais été léchée comme ça. Rachid avait gagné. Je ne pensais absolument plus à mes bonnes résolutions, à l'endroit où j'étais, qu'on pouvait nous entendre, nous surprendre. Heureusement, on était en périodes de vacances. Je ne retenais pas mes gémissements.

Rachid s'est redressé, m'a pris dans ses bras, ses lèvres ont pris possession des miennes et nous avons échangé un long baiser. Ses mains étaient sur mes fesses, je sentais contre moi son désir sauvage, sa verge en érection. J'avais trop envie de lui. Ce jeune mâle avait gagné : pourquoi résister plus longtemps à ma nature ?

  • Tu sens comme j'ai envie de toi, ma salope. Tu me veux? Je te préviens : je suis ton mâle désormais. Je te prends sans capote et je me vide en toi. Dis-moi que tu as envie!

  • Oui Rachid, je t'en prie, baise-moi, j'en meurs d'envie!

  • Oui je sens que tu es trempée et bien ouverte. Mets-toi à genoux ! Tu vas me tailler une pipe d'abord.

Je lui ai obéi et j'ai mis toute mon âme à le sucer. Ma bouche était déformée, je m'étouffais. Il était incroyablement résistant et n'avait pas l'intention pour le moment de se vider dans ma bouche. J'avais une envie folle qu'il me prenne. Jamais, même dans mes fantasmes les plus hard, je n'avais pensé à un tel scénario.


Il a fini par me faire relever et m'a dit de me pencher. Il m'a prise en levrette. Malgré la taille de son engin, j'étais tellement excitée que c'est entré sans problème. Il a commencé le coït :

  • Tu me sens bien?

  • Oh oui chéri. Jamais je n'ai été baisée comme ça. Vas y plus fort, plus profond !

  • Oui après je t'enculerai dans le lit conjugal, comme ça tu penseras à moi quand tu seras avec lui ce soir. Et un jour je te baiserai devant le cocu. Tu veux?

  • Oh oui, je veux. Oh ! Rachid encore!

Il m'a besogné un long moment. Je n'avais plus aucune retenue. Mes cris devaient s'entendre dans tout l'immeuble. Je pense que ça au moins duré 10 minutes avant que je ne jouisse sous ses coups de boutoir et qu'il ne se vide en moi par de longs et puissants jets. J'ai cru m'évanouir.


Quand j'ai repris mes esprits, Rachid m'a embrassé, m'a redonné ma jupe, mon chemiser avec lequel il s'était essuyé la verge et m'a dit :

  • On n'a pas fini. On va chez toi. Désormais je veux te baiser chaque fois que j'ai envie, si possible tous les jours!

Il a remis l'ascenseur en route. J'ai cru mourir de honte car le concierge était à mon étage. Il avait remarqué que l'ascenseur était bloqué, il avait surtout entendu les cris mais ne s'imaginait pas que ça pouvait être moi, d'habitude si réservée, si hautaine, qui me faisait baiser ainsi, sans retenue.


Rachid n'a rien fait pour être discret. De toute façon, je ne pouvais nier: cheveux en bataille, yeux cernés, chemisier taché et mal boutonné, le sperme qui coulait sur mes jambes. Et en plus Rachid qui posait ostensiblement les mains sur mes fesses.

Le concierge a fait un clin d'œil à Rachid et nous a dit :

  • Bonne journée, Madame T !

Quand nous sommes entrés dans l'appartement, j'ai dit à Rachid :

  • Tu es fou. Il va tout raconter.

  • Et alors? Je suis fier de moi, de ma conquête. Tu es à moi désormais. Tu diras tout à ton mari.

Sur ce, Rachid a arraché mes vêtements et m'a entraînée vers la chambre. Il m'a encore fait l'amour pendant des heures et m'a en particulier enculée et m'a fait avaler sa semence. A l'issue de cette journée, ma vie était définitivement changée. j'ai compris que je ne pouvais plus ni me priver de plaisir, ni me passer de Rachid.

Quand Philippe est rentré peu après le départ de Rachid. J'étais restée sur le lit, nue, portant sur mon corps et en moi les séquelles de mes ébats. J'ai tout raconté à Philippe et je dois dire que ce soir là, il m'a baisée comme il ne l'avait plus fait depuis longtemps.

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