Lundi 27 avril 1 27 /04 /Avr 18:41
Pleine de surprises...

Ses doigts sur promènent lentement sur son sexe, flattent sa fente, remontent et s'attardent sur le bouton, s'enfoncent dans la grotte. Parfois même, coquins, vont agacer le petit oeil fripé. Les soupirs, légers mais bien réels, nous indiquent que ma petite chérie apprécie de se donner ainsi du bien. Peu à peu, ce charmant spectacle fait son petit effet sur nos virilités qui retrouvent toute leur arrogance.

- Hum... voici deux beaux sucres d'orge bien appétissants ! Approchez donc mes chéris !

Nous nous installons chacun d'un côté et Cathy, abandonnant son sexe, prend les nôtres et les flatte, comme si elle les découvrait. Les doigts de Pascal ont remplacé les siens sur sa fente pendant que, de mon côté, je prends possession de sa poitrine que je pelote amoureusement.
Nous la caressons ainsi quelques minutes puis notre ami s'allonge sur le dos et, attirant Cathy sur lui, la fait s'empaler sur son membre tendu. Il la lime un peu puis lui demande :

- Je suis sûr que tu n'as jamais eu la chatte remplie par deux queues...
- Tu es fou ! Vous allez me déchirer !
- Mais non... tu vas voir... tu vas adorer...

D'un signe, il m'invite à me joindre à eux. J'avoue avoir une légère appréhension mais bon, si jamais, Cathy n'apprécie pas, on arrêtera ! Je pose mon gland tout contre le sexe de Pascal et pousse. Je regarde la chatte de ma chérie qui se distend sous cette double pénétration. Contrairement à mes craintes, je m'enfonce relativement facilement. Cathy, immobile, reçoit ce double hommage sans visiblement en souffrir.

- Oh... oh... c'est... hum... putain... deux bittes dans ma chatte... j'y aurais jamais pensé... ahhhh!!
- Alors ? Tu aimes ? demande Pascal.
- Hum... c'est... comment dire... inracontable...

Nous entamons de lents va et vient. Jamais je n'ai été aussi serré. Sentir la verge de mon ami contre la mienne renforce s'il le fallait mon excitation et les soupirs, de moins en moins discrets de ma petite épouse chérie indiquent que je ne suis pas le seul à apprécier cette nouvelle figure.
Quelques minutes de cette inédite chevauchée suffisent à amener une nouvelle fois Cathy au paradis et c'est dans un véritable hurlement qu'elle jouit, prisonnière de nos deux corps, de nos deux sexes.
Elle met de longues minutes à reprendre conscience et, cette fois, crie grâce. Grâce que nous lui accordons, heureux d'avoir eu assez de forces pour lui offrir ce dernier orgasme.

Après un dernier verre, nous décidons d'aller nous coucher et, nous naturellement, invitons Pascal à partager notre lit, ce qu'il accepte bien volontiers.


Ce la fait déjà quelques semaines que cette soirée a eu lieu. Nous en avons bien entendu reparler, Cathy et moi ; elle craignait que, passée l'excitation du moment, je lui en veuille de s'être ainsi comportée. Je l'ai rassurée : lui redisant combien je l'avais trouvée belle, combien j'avais été excité de la voir se faire baiser par Pascal, combien j'avais aimé qu'elle se laisse aller et prenne le plus de plaisir possible.
Depuis, j'ai l'impression que notre couple a retrouvé une seconde jeunesse. Nous avons toujours eu des rapports réguliers et qui nous donnent chaque fois du plaisir mais il me semble que ma chérie soit devenue un peu plus coquine encore, n'hésitant plus à se promener nue dans la maison, ce qu'elle ne faisait plus depuis des lustres, et, plus surprenant encore, me permettant de la regarder faire pipi, ce qu'elle m'avait toujours refusé. Bref, si la vie était belle, elle est aujourd'hui merveilleuse !
Aussi, lorsque, rentrant du boulot, je trouve ma chérie, particulièrement souriante, vêtue d'un chemisier qui laisse deviner sans mal ses tétons sombres et d'une jupe qui a le plus grand mal à masquer son popotin, je devine qu'elle me réserve une petite surprise des plus agréables. En effet :

- Mon chéri, Pascal a appelé toute à l'heure et nous invite à diner... je n'ai pas osé refuser... conclut-elle avec une moue coquine.
- Tu as bien fait !

Une heure plus tard, nous arrivons chez notre hôte qui nous accueille avec le sourire. Sourire qui s'élargit un peu plus lorsqu'il découvre la tenue de Cathy.

- Humm... tu es... très en beauté... très appétissante !
- Merci. J'espère donc que tu auras très faim.

Le ton est donné ! Si Pascal avait un doute sur l'envie de ma chérie de revivre l'expérience passée, il est fixé ! Son visage s'éclaire et, à la place de la traditionnelle bise, il lui offre un vrai et profond baiser qu'elle ne refuse pas, bien au contraire ! Et c'est en la tenant par la taille qu'il nous invite à entrer.

La surprise arrive quand nous pénétrons au salon. Un des canapés est en effet occupé par un couple et Cathy, en l'apercevant, a comme un mouvement de recul et Pascal qui a senti ce sursaut, s'empresse de faire les présentations :

- Voici mes amis Cathy et Pierre, dont je vous ai parlé. Et voici Martine et Serge, un couple d'amis... intimes eux aussi.

Un silence suit ces présentations. Cathy est sans doute déçue de ne pouvoir profiter d'une nouvelle soirée excitante et, pour ma part, je m'interroge : et si Pascal avait programmé une "petite partouze entre amis" avec nos deux couples ?

C'est donc dans une ambiance quelque peu bizarre que nous nous installons dans le canapé qui leur fait face, Cathy entre Pascal et moi.
Notre hôte nous propose de porter un toast "à l'amitié qui nous lie... et plus si affinité". Mes doutes sur son projet s'estompent un peu et je porte sur l'autre couple un nouveau regard.

Visiblement du même âge que nous, Martine est une jolie rousse aux formes pulpeuses particulièrement mises en valeur par un chemisier assez léger, et quelque peu transparent, et une jupe qui, sans être mini, peine à couvrir ses cuisses. Son mari est assez mince et un visage sympathique. Une petite soirée coquine tous les cinq ne serait donc pas désagréables, loin de là.

Peu à peu, l'ambiance se réchauffe et, tout en parlant de choses futiles, nous faisons connaissance. Le courant passe bien et je ne peux pas ne pas remarquer quelques regards de Serge sur les cuisses de ma chérie. Cathy ne les ignore pas non plus et, à peine surpris, je la vois croiser et décroiser les jambes, les laissant parfois un peu écartées quelques secondes.
Pascal, qui nous a laissé pour mettre la dernière main au repas, nous invite à passer à table.
Le repas est l'occasion d'échanges de plaisanteries qui, après quelques verres de bon vin, ne tournent plus qu'autour du sexe, tout en restant, pour le moment, relativement sages.

Nous retournons au salon pour le café et, cette fois, toute gêne a disparu, au point que Pascal ne se gêne absolument pas pour caresser les cuisses de ma chérie, les offrant ainsi à la vue de nos amies. Cathy ne s'en émeut pas du tout, bien au contraire et, lorsqu'il attire son visage contre le sien, elle répond sans hésitation aucune à son baiser. Serge se lève et vient s'agenouiller face à Cathy. Lentement, il lui écarte les jambes tout en lui caressant les cuisses, remontant centimètre par centimètre. Martine me sourit puis, se levant à son tour, vient s'installer sur mes genoux. Tout naturellement, ma main se retrouve sur sa cuisse à qui j'offre la même caresse. La soirée vient de prendre une tournure des plus excitantes !

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