Dimanche 24 mai 7 24 /05 /Mai 10:24
Voici donc la suite de ce récit qui j'espère vous aura plu autant qu'à moi. Encore un grand merci à Liberty76 pour cette contribution.

J’approche le gland de ma fente le guide et commence à introduire la verge entre les lèvres de mon sexe. L’homme m’attrape la taille à deux mains et m’empale de toute la longueur de son pieu. Je sens son membre m’envahir et il commence à me limer avec vigueur.


Il va et vient dans mon ventre, je tends ma croupe pour qu’il m’enfouisse sa grosse queue au plus profond de mon intimité. Il resserre mes cuisses afin de mieux sentir ma chatte se refermer sur son sexe et après quelques minutes, dans un dernier soubresaut, il décharge son foutre à l’assaut de mes ovaires. Je recule encore un peu afin de bien sentir sa chaude semence dans mon vagin

« Mais qu’est-ce que je suis en train de faire ! » Me dis-je dans un sursaut de lucidité et avant de jouir à mon tour, je me relève d’un bond et sors des toilettes sans que mon amant tente de me retenir.

En sortant, le cul à l’air, trempée comme une chienne, du sperme dégoulinant de mon sexe sur mes cuisses, je m'aperçois que cinq des hommes ont quitté la table commune, ils se sont attablés et discutent dans cette arrière salle toujours autour de plusieurs bouteilles d'alcool, je vois de même mon mari de dos qui parle et continue de boire avec les 2 autres de la troupe. Je réajuste ma jupette, essuie tant bien que mal le foutre qui me coule dessus et me dirige le plus rapidement possible ce qui est un euphémisme vu mon état, vers ma table, toujours en titubant et en me tenant, c’est alors que l'un des cinq hommes m'interpelle joyeusement et me demande de venir boire un dernier petit verre avec eux avant de rejoindre mon mari et partir au restaurant afin de donner quelques conseils féminins avertis au futur marié.

Devinant mon hésitation et sans attendre ma réponse le plus costaud de la bande m'attrape rapidement par le bras et me demande de m'asseoir. Forte de l’expérience des WC, j'hésite à rester ne sachant si je peux leur faire confiance mais la main ferme, mon équilibre précaire, mon esprit embrouillé et l’envie de ne pas passer pour une sainte-nitouche ont raison de mes réticences. Les autres chaises étant toutes retournées sur les tables ce galant homme m'installe donc sans plus de commentaire, sur sa jambe droite en me tenant par la taille.


« Cela ne vous gêne pas j'espère » finit-il par me dire. Il plaisante un peu, me sert à boire, détend l’atmosphère et se présente en me faisant un large sourire.
« Moi c’est Denis »

« Moi c’est Annie » répondis-je en rigolant, oubliant promptement l’épisode qui vient de m’arriver.

Nous discutons des femmes en général, surtout de moi, et abordons les conseils au futur marié notamment sur la fidélité qui ne doit jamais trahie en me donnant en exemple avec fierté et conspuant les époux infidèles, toujours en sirotant le cocktail et en oubliant promptement la brève et récente aventure des toilettes

« Mon verre doit être magique, je n'arrête pas de boire et il est toujours aussi rempli » dis-je en m'esclaffant.

J’ai de plus en plus chaud mais me sens bien avec toujours la vue sur mon mari de dos. Je suis bien calée, les deux cuisses écartées autour du genou (qui n'arrête pas de bouger) avec la main droite de mon chevalier servant qui a lâché la taille pour la fesse droite (qu’il caresse doucement) afin que je ne glisse pas. Je sens des petits frissons me parcourir le corps


De voir mon époux me rassure et je me redis que je l’aime vraiment.

« Vous avez une poitrine superbe » me dit le plus jeune en face de moi.

Je baisse la tête et me souviens que mon sein droit est sorti du balconnet et darde fièrement sa pointe sous l’étoffe transparente de mon body. Je rougis un peu et entreprends de remettre le téton récalcitrant à sa place, mais avant que j’aie pu mettre la main sur ma poitrine pour mener à bien la remise en place, Denis me précède, passe la sienne sous le body et attrape la mamelle.

« Laissez je vais faire » dit-il.

Je suis de plus en plus gênée et mes joues virent à l’écarlate «  Euh… beuh … ». Je bafouille et attrape vainement le bras de Denis qui a sorti le sein complètement, le soupèse, le caresse délicatement et titille la pointe. Absolument pas perturbé, il me complimente sur ma poitrine, sort le second nichon qui subit le même traitement.


« Ne soyez pas timide, vous avez des seins magnifiques, laissez les respirer, on voyait déjà presque tout avant, alors un peu plus ! »

Peu convaincue par l’argumentation, je me redresse d’un coup mais ma tête me tourne de plus en plus et Denis me rattrape in-extremis m’évitant de tomber, il me prend la taille à deux mains et me remet en position stable sur sa jambe.

« Pour les seins, cela restera notre petit secret » me murmure t’il à l’oreille en y plaçant un petit bisou et en mordillant le lobe tout en continuant de me peloter par dessus l’étoffe. Je suis déconcertée, et ne sachant plus vraiment que dire ou faire, répond en bégayant «  Bon d’ac…d’accord, mais c’est tout » et je reprend mon verre.

« Ne craignez rien votre mari est là, nous l’avons prévenu que nous vous dirions au revoir avant que vous ne partiez, il est d’accord ! »

Denis me cale de nouveau avec sa main sur la fesse droite et sa main gauche sur mes seins. Je sens sa main qui me caresse de nouveau la fesse mais sous ma jupe, il l’a relevée lorsqu’il m’attrapée et a dévoilé ainsi, mon intimité et les autres hommes regarde mon minou avec insistance je sens encore la douce chaleur envahir mon bas ventre


« N’est-ce pas qu’elle est belle » dit-il à ses amis

« C’est sûr » répondent en cœur ses camarades.

« Je dois y aller maintenant, on doit partir au restaurant »

« C’est dommage » me dit Denis » on est bien ensemble.

La main gauche de Denis lâche ma poitrine pour venir pétrir mon sexe trempé, j’écarte machinalement les cuisses afin de lui faciliter la tache. Il passe lentement son doigt entre les deux lèvres mouillées et caresse le clitoris déjà sensibilisé par les doigts du patron, mes yeux se ferment et je me laisse aller et appuie mon dos sur son torse.


Une main vient à nouveau caresser un téton, j’entrouvre les yeux et vois le plus jeune de la troupe à coté de moi, il relève le body et pétrit ma poitrine à deux mains. Denis m’embrasse à pleine bouche, un autre larron s’agenouille devant moi dit :

« Elle est toute épilée cette petite salope, j’adore ça ! »

Denis écarte mon sexe et laisse apparaître mes chairs roses et humides facilitant le passage de la langue de l’homme installé entre mes cuisses qui commence à me brouter le minou avec vigueur. et me malaxe les fesses, la langue explore l’entrée de mon intimité complètement trempée et joue aussi avec mon clitoris et mon anus. Mes seins, pendant ce temps, passent dans toutes les mains.

Sentant ma volonté vaciller, je tente une nouvelle fois de me lever un peu pour tirer ma jupe sur mes cuisses et stopper cet enchaînement que je ne voulais pas. En vain les mains qui m’enserrent les cuisses, les fesses, les seins ne me laissent aucune chance sans présumer de ma capacité à tenir debout seule et ma folle envie de me faire pénétrer. Je regarde dans la direction de mon mari pour chercher de l'aide mais il a l’air de s’être endormi sur la table.


« Non, s'il vous plait laissez-moi ».


Ces paroles à peine terminée, le brouteur de minou se retire, ma foufoune est trempée, Denis me soulève un peu ajuste son sexe avec une main sur l’entrée du mien, Je sens le gland écarter les lèvres de ma chatte. Je l’implore d’arrêter mais en même temps j’écarte les cuisses, pour qu’il me laboure les entrailles, puis il me relâche et m'enfile d'un seul coup, je sens son gros membre chaud progresser en écartant les parois de mon vagin et envahir ce qui n’avait appartenu qu’à mon mari et un peu au patron du bar. Je lâche un râle de plaisir.


J’écarte les jambes au maximum et me laisse aller à la copulation, j‘attrape la bouche de Denis pour sentir sa langue contre la mienne et mélanger notre salive. Denis me possède totalement, son pieu s’est enfoncé jusqu ‘aux testicules. Je me trémousse le derrière pour mieux sentir la pénétration.

Les autres enlèvent leur pantalon et s'approchent. On m’attrape par les cheveux et un autre sexe de bon calibre force ma bouche. Je le suce avec vigueur.

D’autres verges entourent ma bouche et je suce tout ce que je peux, enfournant parfois deux bites en même temps. Denis s’applique à me faire des suçons dans le coup et un autre sur la poitrine. J’ai envie qu’ils me défoncent comme une pute, je veux être une vraie salope et j’ai envie que mon mari me voit me faire violer.


Malgré moi, je sens le désir monter de plus en plus et continue à sucer et branler plusieurs bites avec passion pendant que Denis me lime comme un malade et pendant que les autres me caressent tout le corps. Luc, je crois que c’est son prénom, va et vient lentement, je me délecte de sa grosse queue qui envahit ma cavité buccale, ma langue joue avec son méat et son prépuce puis il accélère et éjacule dans ma bouche, j’avale toute sa purée avec délectation lui suçant la dernière goutte jusqu’à la retombée du sexe.

« T’es vraiment une grosse pute sous tes airs de bourgeoise » me dit Luc pendant qu’un autre prend sa place. Je sens à l’explosion de chaleur qui envahit mon ventre que Denis vient de jouir à son tour j’écarte les cuisses au maximum et lève légèrement les jambes afin de sentir au mieux l’homme qui est en train de me souiller. Je suis inondée de foutre et j’en veux encore. Deux autres m'attrapent, m’enlèvent body et soutien gorge, me mettent sur le ventre sur la table me lubrifie l’anus avec leur salive, ils commencent à forcer l’entrée avec la langue puis avec leurs doigts. L’un d’eux se présente derrière moi et ajuste son sexe. Je relève et tend ma croupe tant j’ai hâte qu’il m’enfile. Il passe ses pouces entre mes fesses qu’il écarte et commence sa lente progression dans mon trou du cul. Chaque centimètre enfoncé dans le fondement me procure douleur et jouissance mais une fois la verge totalement enfouie dans mes intestins et après quelques allez retours, la douleur s’estompe pour ne laisser qu’un immense plaisir encore jamais ressenti jusqu’à ce jour. Ensuite c’est un tourbillon de bonheur, ils m'enculent à tour de rôle en me pelotant les seins, c'est la première fois que cela m'arrive ; Mon mari a toujours voulu me posséder par derrière mais j’ai toujours refusé. Qu’est ce que j’aimerai qu’il puisse me voir prendre autant de plaisir.


Tous viennent tour à tour, remplir mon petit trou. On me retourne à nouveau et mes trois orifices sont pris en même temps. Jamais je n’ai joui autant. Je suis remplie de foutre et bizarrement je m’imagine comme une dinde farcie …au jus d’homme.

Une fois que tous ont profité de moi, on m’attrape, me retourne de nouveau et m'attache à la table sur laquelle dort à moitié mon mari, face à lui. Il à l’air complètement groggy, les yeux hagards, il nous regarde mais ne réagit pas. On m’installe les fesses en l’air et l’on m’introduit un légume plutôt volumineux dans la chatte.


« Chéri » dis-je à mon époux

« J’suis pas bien » répondit-il les yeux vitreux.


On m’enfonce ensuite le même légume dans la bouche et je me mets à sucer


Après plusieurs allers-retours du concombre, le patron du bar que j’ai planté aux toilettes et que je ne voyais plus arrive et me dit :


« Ecoute poulette ton mari ne va pas très bien, ce qui n'est pas anormal avec les hypnotiques que nous avons mis dans sa boisson. Nous allons le ramener chez lui et nous nous occuperons bien de toi. Pendant que tu t’éclatais comme une bête j’ai pris un bon nombre de photos, tu auras beaucoup de mal à faire croire à qui que ce soit que tu n’étais pas consentante. Alors on va continuer à s’amuser puis on te ramènera chez toi, mais tu as encore du temps devant toi. En plus de fermer ta gueule et tu viendras une fois par semaine vider nos couilles »


Il me balance deux bonnes claques en pleine figure et je me mets à pleurer. Pas très longtemps car le patron s'empare d'une bouteille de bière l'ouvre et me l'enfonce dans l'anus déjà dilaté.



Sous la poussée anale, l’objet déjà enfoncé dans mon vagin est expulsé ; Drôle de sensation que me procure cette bière froide qui envahit mes intestins. Il s’applique à de long va et vient, j’écarte de nouveau les jambes au maximum, au début pour limiter la souffrance, ensuite pour qu’il puisse l’enfoncer complètement dans le cul, à chaque aller et retour la bière gicle, puis il alterne avec mon sexe, jette la bouteille et me sodomise à son tour pendant que les autres réinvestissent ma bouche et me voila repartie avec un désir fou que je ne peux réprimer.


Bien que toujours saoule, l’effet de l’alcool se dissipe un peu et je mesure un peu mieux la réalité de la situation. Les hommes me laissent un peu et vont se resservir quelques cocktails. Une bonne demi-heure se passe avant que la joyeuse troupe ne s’intéresse de nouveau à moi. Maintenant j’ai peur, j’ai affreusement honte et n’ose rien dire. Je pense à mon mari étalé sur la table et que j’ai trahi de la façon la plus odieuse, je pense à la jouissance que j’ai eu et me sens coupable.

On recommence à me caresser délicatement l’entre jambes et les seins ; Broute minou repasse à l’action et me lèche alternativement minou et anus. Je sens malgré moi le désir monter à nouveau, mes cuisses s’écartent et mon sexe béant est prêt à accueillir de nouveau. On me détache, me met au sol à quatre pattes et le patron du bar arrive avec ses deux dobermans. Il ordonne à l’un de ses chiens de se coucher devant moi et me dit :


« Suce salope, t’es juste bonne à soulager mes chiens ».


Devant mes faibles protestations je reçois une nouvelle paire de claques. Ecœurée, c’est en larmes que je m’exécute.


Le sexe moyen du chien commence à gonfler dans ma bouche pour devenir d’une taille plus que respectable. Le patron me besogne par derrière pendant ce temps, je sens la jouissance monter, la verge du chien est devenue énorme et rouge, je m’active de plus en plus sur la bite et c’est avec bonheur que j’avale la purée de « Médor » qui gémit de bonheur, je le maintiens le plus longtemps en bouche possible en espérant en vain de lui redonner vigueur. Puis c'est au tour du second chien de venir remplir mon anatomie, à la place de son maître qui vient de se répandre dans mes entrailles. Le chien s’active bestialement et je l’aide dans son mouvement en rythmant ma croupe à ses assauts et c’est avec lui que j’explose d’un plaisir encore inconnu à ce jour. Le chien se retire et s’applique à me lécher longuement le sexe et l’anus qui dégoulinent.


Je constate que l'on ne cesse de me prendre en photo.

Les festivités terminées, les deux compères qui n'ont pas participé aux festivités m'attrapent sans ménagement et m'entraînent nue à l'exception de mes bas, dans leur voiture. Quelques kilomètres plus loin et nous arrivons sur un parking réputé pour son activité sexuelle durant la nuit. Pendant tout le parcours celui qui était monté à l’arrière du véhicule avec moi a maintenu la pression sexuelle en me caressant sans jamais me faire jouir et c’est excitée comme une chienne en chaleur que je suis offerte comme une putain.


Moyennant quelques Euros la passe, je me fais reprendre par tous les trous. Petits, grands, gros, maigres, beaux, laids, j'ai eu le droit à tout, même un collègue de bureau vicelard à souhait qui m’a prise par devant et par derrière avec la satisfaction de me donner un nouvel orgasme. Il me pelotait déjà les fesses dés qu'il le pouvait au bureau et ne s’en privera plus désormais. La cerise sur le gâteau : Deux clochards me saute en même temps à titre gracieux.

Suite à cela les deux hommes me raccompagnent chez moi. Arrivés, ils vont voir si mon mari, que l’on a effectivement raccompagné, dort toujours. Dans notre lit, pas très en forme dans un semi-sommeil à moitié shooté, à moitié conscient, il nous regarde en disant des choses incompréhensibles. Il se fait déposer gentiment par terre.

« Boum ! » et les deux hommes investissent notre lit, ils m’attrapent et me violent à leur tour, m'embrassant à pleine bouche, me pétrissant sexe et seins, me pénétrant encore et encore devant mon homme qui nous regarde l’air hébété. Ils m’obligent à me coucher sur lui, en faisant en même temps une fellation à l’un de mes tortionnaires pendant que l’autre continue à prendre des photos, Ils m’enculent à tour de rôle et pour finir en m'urinent dans la bouche pendant que je crie de jouissance.


 

« Bon Anniversaire de mariage chérie » me disent ils.

« T’es une baiseuse de première », « A l’avenir, évite de te faire sucer le nougat devant les bars, ça t’évitera des ennuis », « Pour ton mari, t’inquiètes pas, demain il aura la gueule de bois mais ne se rappellera pas de tout, débrouilles-toi pour t’inventer une histoire »


Et ils disparurent.

Tout c’est passé comme ils me l’avaient dit, mon mari ne se rappelle plus de ce qui c’est vraiment passé après le troisième verre, hormis un vilain cauchemar dans lequel je me faisais violer devant lui sans qu’il puisse intervenir, mais ce n’était heureusement qu’un mauvais rêve argumente t’il !

Je me rends régulièrement au bar « chez ROBERT «   ou je me fais défoncer tout aussi régulièrement, bouche, anus et sexe avec de nouvelles variantes : lesbiennes, fisting, hommes de couleurs, gang bang organisés, pipes aux clients sous la table et bien d’autres asservissements.


A chaque fois je récupère une photo.


« Quand tu auras récupéré toutes les photos tu seras libre poulette » me dit le patron, « A moins que tu n’aime ça »


Quant à mon collègue de travail, il expérimente avec moi tout ce que sa femme n’accepte pas. Je ne compte plus les fois qu’il me prend dans les toilettes de l’entreprise parfois avec d’autres collègues qu’il a mis au courant. Il ne se passe plus un jour sans qu’on me touche les fesses sous ma jupe, même une collègue lesbienne profite de la situation.

Ne pouvant ne me confier ni à mon mari ni à la police, je suis allé voir un « psy » Je me suis confié à lui, lui ai narré mon aventure telle que je viens de le faire. Il m’a écoutée, et m’a déclaré froidement qu’il n’avait jamais entendu d’histoire aussi bandante.

Il se rend maintenant régulièrement au bar « CHEZ ROBERT » et me baise à chaque occasion.

Mon mari n’est au courant de rien, je l’aime toujours autant et lui aussi même s’il se plaint de temps en temps de ma moindre disponibilité sexuelle.

Vous avez aimé ? Alors, envoyez-le un petit mail de remerciement !

Liberti76@noos.fr

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