Dimanche 21 juin 7 21 /06 /Juin 09:48
Suite de cette soirée chez notre ami Réunionnais

Un sourire éclaire le visage de notre hôte. Il se tourne vers ma femme et, très doucement, comme pour ne pas l'effaroucher, pose les lèvres sur les siennes.
Catherine ne refuse pas ce bisou et entrouvre même la bouche, offrant ainsi un véritable baiser à notre ami.
Cette première étreinte est très courte ; un peu comme un test.
Test pour eux deux mais aussi vis à vis moi. En effet, quand ils se séparent, Catherine se retourne vers moi et demande d'une voix mal assurée :

- Tu n'es pas fâché ?
- Non, pas du tout.

Germain fait s'allonger Catherine sur le canapé, la tête sur ses genoux, les pieds sur mes jambes. Il se penche sur elle et l'embrasse à nouveau, cette fois plus longuement, plus passionnément.
Il se redresse ensuite et, les yeux rivés à ceux de Catherine, lui caresse doucement le visage puis l'épaule, glissant la main sous le chemisier.
Lentement, il déboutonne le vêtement, prenant tout son temps, comme s'il craignait de rompre le charme par des gestes trop brusques mais aussi comme s'il voulait profiter au maximum de chaque seconde.
Yeux mi-clos, ma chérie reste immobile, seule sa respiration un peu plus rapide indique son émoi.

Après quelques minutes, Germain écarte les pans du chemisier, dévoilant le ventre et le torse. Je distingue nettement les tétons qui tendent la fine dentelle du soutien-gorge, signe de l'excitation bien réelle de Catherine.

- J'avais raison, dit Germain d'une voix douce, tu es très attirante.

Un nouveau baiser puis une main glisse sous le sous-vêtement et empaume un sein. Sous cette caresse, Catherine ne peut réprimer un léger gémissement.
L'autre sein reçoit ensuite la même attention puis, d'un geste précis, Germain fait sauter l'agrafe et met la poitrine à nu. Il caresse avec une tendresse tout particulière les deux seins, les massant doucement, étirant les tétons. Il se penche ensuite pour les embrasser tour à tour, s'attardant sur les aréoles, tirant quelques soupirs d'aise à ma chérie.

Je le regarde, ou plutôt les regarde. Lui caressant ma femme et elle recevant ces caresses d'autres mains que les miennes sur son corps et y prenant plaisir. L'excitation que me procure ce spectacle est plus grande que j'aurai pu l'imaginer : mon sexe me fait presque mal tant il est tendu et à l'étroit dans mon pantalon. Je pose une main sur la cheville de Catherine et la caresse doucement. Elle ouvre les yeux, me regarde, sourit et m'envoie un baiser. Définitivement rassurée par mon large sourire, elle se laisse totalement aller et s'abandonne au bonheur d'être ainsi le centre de nos attentions. Germain, tout en poursuivant ses caresses et baisers sur les seins, promène l'autre main sur le ventre, s'arrêtant pour l'instant à l'élastique de la jupe.

- Ta peau est douce, lui murmure t-il.
- Tes doigts le sont également, répond-elle sur le même ton.

Je me force à concentrer mes caresses sur le bas de ses jambes, malgré mon envie de remonter plus haut. Je veux laisser à notre ami le plaisir de poursuivre la découverte de ce corps. Je remarque alors, au dessus du sac de Catherine, notre appareil photo numérique. Je le prends et, en quelques clichés, immortalise ce délicieux moment.

Germain toujours avec aussi peu d'empressement, promène maintenant ses doigts sur les cuisses. Parvenu aux genoux, il remonte, entrainant avec lui le fin tissu de la jupe. Bientôt, Catherine, n'est plus vêtue que de son slip.
Slip qui fait l'objet de toute l'attention de Germain dont les doigts passent et repassent dessus, le faisant peu à peu pénétrer dans la fente, le faisant, au fil des minutes, prendre l'aspect d'une éponge tant ma chérie mouille. Ses gémissements se font plus sonores et son ventre a quelques contractions, signes de son plaisir.
Germain me regarde et, d'un signe, m'invite à retirer ce dernier vêtement. Ce que je fais, ayant ainsi l'impression de lui offrir totalement, par ce geste symbolique, le corps de ma femme.

Les cuisses maintenant totalement ouvertes, l'intimité offerte sans pudeur aucune, Catherine savoure les aller et retour d'un index le long de sa fente, du bouton à l'entrée de sa grotte d'où coule un délicieux nectar que Germain s'empresse de goûter. Après un long moment, Catherine semble sur le point d'exploser ; Germain cesse alors ses caresses, la laissant frustrée, au bord de l'orgasme, et lui dit :

- Retourne-toi ! J'ai envie d'admirer ton joli cul !

Obéissante, ma femme se retrouve sur le ventre, les fesses offertes au regard et aux caresses de notre ami.

- Hum... il est superbe !
- Elle le trouve trop gros, ne puis-je m'empêcher d'ajouter.
- Absolument pas ! Je devrais te fesser pour penser ça de ton charmant popotin !

Joignant le geste à la parole, il fait claquer sa main sur les fesses, tirant un Catherine une petit cri de surprise.

- Alors ? Il est comment ton cul ?
- Gros, insiste ma chérie d'une petite voix.
- Mais elle insiste ma parole !

Une nouvelle fois, sa main claque, sans que Catherine fasse un geste ni ne dise un mot pour se dérober. Ma femme prendrait-elle du plaisir à se faire ainsi fesser ?

- Et maintenant ?
- Toujours aussi gros...
- Cette fois, c'est dix que tu vas recevoir !

En effet, dix fois, la main tombe sur le cul, passant d'une fesse à l'autre. À la fin de cette séance, elles ont pris une adorable teinte rosée. Germain passe un doigt le long de la fente et s'écrie :

- Mais tu es trempée ! Ça t'a plu cette petite punition ?
- Oui...

Germain décide de mettre un terme à cette "punition" et, toute douceur retrouvée, se penche sur le cul rougi et l'embrasse tendrement.

- Ta peau est toute chaude... et délicieuse.

Ces baisers font vite renaître le plaisir et les gémissements de Catherine retentissent à nouveau dans la pièce. Je prends à nouveau quelques photos, notamment lorsque Germain, du bout de la langue titille le petit trou encore clos.
Tout en embrassant et léchant le derrière de Catherine, Germain a passé une main sous le ventre et caresse la fente, pour le plus grand plaisir de ma femme qui, après quelques minutes, est à nouveau au bord de l'explosion. Soudain, elle pousse un long feulement, son corps se tend, ses fesses se contractent et elle jouit, longuement, agitée de soubresauts.

Germain ôte sa main. Il embrasse le dos nu, lui laissant le temps de reprendre ses esprits ; ce qu'elle met quelques minutes à faire. Elle se rassied alors et me jette un regard où se mêlent bonheur et anxiété. Mon sourire, s'il la rassure, n'empêche pas une larme de couler le long de sa joue.

- Oh, j'ai honte... je me suis conduite contre une vraie salope.
- Mais non mon amour, tu étais superbe... et te voir succomber aux caresses de Germain m'a excité à un point que tu ne peux imaginer.

Elle esquisse un léger sourire puis, se tournant vers notre ami, lui dit :

- Tu es le diable en personne !

Elle remarque alors la bosse, pour le moins importante, qui déforme le short de notre ami.  Presque négligemment, elle pose une main dessus, comme pour en mesurer la taille, la faisant encore grossier un peu plus. Enfin, elle baisse la fermeture éclair, défait le bouton et fait glisser le vêtement le long des jambes. Elle reprend ses caresses puis fait subir au sous-vêtement le même sort. Le sexe de Germain jaillit, tel un diable de sa boîte, tirant un "oh" de surprise à ma chérie.

- Elle te plait la queue du diable ?
- Hum... il faudrait être difficile.

Elle reprend ses caresses, titillant du pouce le gland, griffant délicatement les bourses, flattant la longue et épaisse tige.
Après un moment, elle approche la bouche et dépose de légers baisers sur la hampe et le gland puis, ouvrant les lèvres, elle gobe, centimètre après centimètre, la queue de son amant. Elle entame alors une fellation que je devine gourmande, salivant beaucoup, faisant son possible pour avaler le plus loin possible cette barre de chair ne parvenant pourtant qu'à en prendre un peu plus de la moitié en bouche.
Germain apprécie le lui fait savoir :

- C'est bon... oui... avale-la bien... elle est bonne hein ? Tu aimes la pomper la grosse bitte noire !
- Hum... oui, parvient juste à bafouiller ma femme, la bouche pleine.

À suivre ?
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Commentaires

tres belle suite  elle est au ange devant Germain
commentaire n° :1 posté par : romain57 le: 21/06/2009 à 16h40
Et oui... un ange chez le diable... les inverses s'attirent.
réponse de : Chris le: 04/07/2009 à 09h46
un ange qui veux le diable.. HUmmm

le danger est toujours bon..

Bon mercredi

Kiss

petitelfe
commentaire n° :2 posté par : petitelfe le: 01/07/2009 à 18h18
D'autant meilleur que le danger est partagé...

@mitiés
réponse de : Chris le: 04/07/2009 à 09h48

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