Dimanche 30 août 7 30 /08 /Août 17:51
Suite de cette soirée... Catherine va t-elle permettre aux deux hommes de concrétiser leur fantasme ?

Le samedi arrive. Vu le beau temps, nous avons décidé de faire des grillades et, pendant que je prépare le barbecue, ma femme monte se préparer. Je suis agréablement surpris en la découvrant quand elle redescend. Elle d'ordinaire plus que classique a ce soir revêtu un léger chemisier qui met particulièrement en valeur sa poitrine dont d'ailleurs on peut admirer la naissance, Catherine n'ayant pas fermé les deux premiers boutons. Mais c'est surtout le bas qui me surprend le plus ! Les occasions de la voir autrement qu'en pantalon sont particulièrement rares, pour ne pas dire inexistantes et c'est donc avec des yeux ébahis que je découvre cette jupe légère qui la met particulièrement en valeur.

- Ma chérie, tu es superbe ! J'en serais presque jaloux !
- Idiot ! Je me suis dit que c'était l'occasion : on reçoit rarement des hommes seuls, répond-elle avec un sourire malicieux.

"Si tu savais !" Ne puis-je m'empêcher de penser.

Il est pile dix neuf heures quand la sonnette retentit. Prenant ma femme par la main, nous allons accueillir notre invité. Nous ouvrons la porte et nous trouvons nez à nez avec une énorme bouquet de fleurs !

- Bonsoir ! S'exclame Stéphane, en tendant le bouquet. Pierrot, tu m'as menti grave : ta femme n'est pas jolie... elle est... mer vei lleuse !
- Vous êtes trop aimable, répond, timide Catherine.
- Allons ma chérie ! Pas de fausse modestie ! Et, de grâce, pas de "vous" entre nous.
- Tu as raison, Pierre ! Tenez, j'ai apporté l'apéritif, fait-il en me donnant une bouteille de Champagne.
- Vous... euh... tu n'aurais pas dû.
- Ça me fait plaisir et je dois bien cela à ceux qui vont me faire oublier ma solitude ce soir.

Nous nous installons sur la terrasse et je sers une première tournée. Nous trinquons à nos retrouvailles et dégustons cette première coupe. Stéphane, comme prévu, raconte à ma femme comment, après nous être perdus de vue, le hasard nous a remis en présence l'un de l'autre puis il enchaine, cette fois de façon totalement improvisée, sur nos supposées aventures de jeunesse. J'apprends ainsi que j'étais un fieffé dragueur et que Stéphane enviait parfois mes réussites auprès de la gent féminine. Cette discussion semble amuser Catherine qui me regarde avec une drôle de regard :

- Je n'aurais pas cru ça de toi mon chéri.
- Et pourtant, renchérit notre ami. Il en a fait tourner des têtes !
- Si je comprends bien, j'ai de la chance que son choix se soit arrêté sur moi.
- Je dirais plutôt qu'il a de la chance. De celles qu'il a connues, tu es, et de loin, la plus mignonne.
- Flatteur, va !

Sur cette dernière remarque souriante, Catherine nous abandonne pour aller dans la cuisine. Curieux de savoir ce qu'elle pense de notre ami, je l'y rejoins.

- Ne l'écoute pas ! Il a toujours eu tendance à exagérer.
- Ne t'inquiète pas ! En tout cas, il est drôlement sympa... et plutôt dragueur, non ?
- Ça te gêne ? Tu veux que je lui dises de se calmer ?
- Ne sois pas bête ! J'ai passé l'âge de m'offusquer pour si peu et... ce n'est pas si désagréable !

Tiens donc !

Nous retournons sur la terrasse et, après un deuxième apéritif, passons au repas. Durant celui-ci, Stéphane se charge de l'ambiance, et y réussit fort bien. Il ose même parfois certaines remarques ou allusions qui, en temps normal, auraient sans doute déplu à Catherine mais qui ce soir, la font sourire, parfois même rire.

Après le dessert, la température baissant, nous rentrons nous installer au salon. Je mets un peu de musique puis, comme j'en ai l'habitude, vais préparer le café. À retour, Catherine et Stéphane sont assis l'un contre l'autre dans le canapé. La jupe de ma femme est remontée et dévoile une bonne partie de ses cuisses, pour le plus grand plaisir de son voisin dont je vois les coups d'œil fréquents dans cette direction.
Catherine ne semble pas s'être rendu compte du spectacle qu'elle offre et, installé dans le fauteuil qui leur fait face, je profite à mon tour de cette si charmante vision.

- Me permets-tu d'inviter ton adorable épouse à danser ce slow ?
- Mais bien entendu mon ami

Galant, il se penche sur Catherine et lui tend une main qu'elle ne refuse pas et c'est ainsi que ma femme et mon ami se retrouvent enlacés, dansant au milieu de la pièce, sur les rythmes langoureux d'Amérique du Sud. Je les regarde, n'osant imaginer comment se comporterait ma femme si elle connaissait la nature de ma liaison avec son cavalier ou si elle se doutait des projets que nous avons lui et moi pour ce soir !

Après deux ou trois danses, il reviennent s'asseoir et je ne peux m'empêcher de remarquer la bosse conséquente qui déforme le pantalon de Stéphane. Ma petite femme ne le laisse visiblement pas insensible ! J'invite à mon tour Catherine pendant que Stéphane sort fumer une cigarette. Ma femme profite de son absence pour me glisser à l'oreille :

- Tu sais quoi ? Stéphane m'a serré contre lui et...
- Oui ?
- Ben c'était tout dur ! Il bandait !
- Remarque, tenir une belle femme comme toi dans ses bras, je peux le comprendre. Ça t'a choquée ?
- Non... ça m'a fait bizarre...
- Excitée ?
- Oui, avoue t-elle timidement, un peu.

Je n'ose y croire ! Je passe une main sous sa jupe sans qu'elle m'en empêche. Je glisse un doigt sous le tissu et constate que son petit chaton est tout trempé. Sous cette brève caresse, Catherine lâche un léger gémissement et appuie son bas-ventre contre le mien. Je retire le doigt, le porte à mes lèvres et, la fixant, le lèche, avec une moue gourmande puis m'empresse de le reposer sur sa fente, par-dessus son slip, la caressant légèrement.

- Tu as envie de plus ?
- C'est à dire ?
- Je ne sais pas, mentais-je. Calmer Stéphane par exemple ?
- Tu aimerais que je le caresse ?
- Tu n'aimerais pas ?

Elle ne répond pas mais appuie sa bouche contre la mienne et m'embrasse voracement.

Stéphane, sa cigarette terminée, revient dans le salon et nous trouve donc ainsi, la jupe de Catherine remontée, ma main sous le tissu, nous roulant une pelle gourmande.

- Qu'ils sont mignons les amoureux ! S'exclame t-il.

Nos lèvres se séparent en l'entendant mais, étrangement, Catherine ne fait rien pour ôter ma main et s'appuie même un peu plus contre moi. J'en profite, passe la seconde main sous sa jupe, la relève et lui caresse les fesses. Stéphane apprécie de pouvoir admirer le fessier ainsi découvert et me le fait savoir d'un large sourire. D'un signe, je l'invite à nous rejoindre, ce qu'il fait sans hésiter et ma chérie se retrouve ainsi coincée entre nous deux.
Pendant quelques instants, nous restons tous trois immobiles. Contre mon torse, la poitrine de Catherine se soulève plus rapidement. Je lève les yeux vers son visage : ses joues ont rosi et ses yeux semblent chercher dans les miens un quelconque encouragement. Je pose mes lèvres sur les siennes, elle ouvre la bouche et répond à mon baiser.
Visiblement rassuré par sa réaction, Stéphane pose une main sur son épaule qu'il caresse doucement, tout en lui donnant de légers bisous dans le cou, ce qui la fait frémir.
 
À la fin de notre baiser, je fais doucement se retourner Catherine qui se retrouve dans les bras de Stéphane. Il la regarde puis approche son visage du sien. Il dépose de légers baisers sur son front, ses paupières, ses joues puis, enfin, sa bouche.
Ma chérie cède et, entrouvrant les lèvres, répond à son baiser pendant que je caresse ses cuisses, ses fesses, lui donnant la chair de poule. Les mains de Stéphane courent, elles, sur ses bras, sur ses flancs, hésitant visiblement encore à lui offrir des caresses plus précises.
Après ce premier et long baiser, Stéphane entraine Catherine vers le canapé. Il la fait s'allonger, et, s'agenouillant, lui caresse à son tour les jambes, des mollets au début des cuisses, prenant tout son temps. Je regarde ma chérie, qui, les yeux mi-clos, se laisse aller, offerte aux mains de cet homme qu'elle ne connaissait pas il y a encore quelques heures.

Peu à peu, les mains remontent le long des cuisses, dévoilant celles-ci. Parvenues au slip, elles s'attardent un peu sur les aines, endroit magique où la peau, plus fine, est aussi plus sensible. Stéphane saisit l'élastique de la jupe et la fait glisser, aidé par Catherine qui soulève les reins. Il reste quelques secondes les yeux rivés au sous-vêtement qui a toutes les peines du monde, tant il est léger, à cacher l'intimité qu'il recouvre. Mon ami reprend ensuite ses caresses sur le ventre, déboutonnant le chemisier au fur et à mesure de son parcours. Le chemisier retrouve la jupe par terre et voici ma chérie, uniquement vêtue de ses sous-vêtements. Stéphane caresse la poitrine par dessus la dentelle, faisant grossir un peu plus les tétons, tirant quelques légers soupirs de plaisir à Catherine, puis glisse une main et empaume un sein puis l'autre.

- Ils sont doux... et chauds...

L'agrafe ne résiste pas et la poitrine ainsi libérée s'offre à nos regards excités. Stéphane se penche et l'embrasse avec tendresse puis reprend ses baisers, cette fois en redescendant vers le ventre. Arrivé au slip, il lui fait suivre le même chemin que la jupe tout à l'heure.

@ suivre...
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