Jeudi 1 février 4 01 /02 /Fév 13:33
Notre dernier déménagement m'avait inspiré cette histoire :

Cela fait trois jours que nous avons emménagé dans ce lotissement. Emménagement sous la chaleur étouffante de ce début août qui a accompagné nos premiers jours ici. Ce soir, après une nouvelle journée de rangement, nous profitons de la relative tiédeur de la nuit tombante en dégustant une coupe de champagne sur la terrasse. Je suis en slip et, surprenant, Catherine a elle aussi laissé tomber tee-shirt et soutien-gorge et, comme moi, seul un léger slip la vêt. Tout est calme, Catherine me dit son bonheur d'avoir retrouvé ce département qu'elle aime tant après deux années, longues, insiste t-elle, au beau milieu des champs. Soudain, la lumière de la terrasse de nos voisins s'allume.

- Ils ont envie de prendre un peu l'air, eux aussi…

- Oui, on dirait. Tu les as vu ?

- Aperçus seulement. Ils ont à peu près notre âge.

Catherine allume deux cigarettes et m'en tend une. Assis côte à côte, ma main se promène sur sa cuisse. De chez nos voisins parvient une conversation étouffée puis, après quelques minutes de silence, de légers gémissements se font entendre. Catherine se tourne vers moi :

- Tu entends ?

- Euh, oui… tu penses à la même chose que moi ?

- On dirait bien, non ?

- Chut !

Plus de doute sur la nature des bruits que nous entendons ! Un moment même, la voix de la voisine est un peu plus forte et nous comprenons très distinctement :

- Pince-les un peu plus fort !

Paroles suivies d'un soupir qui ne laisse plus aucun doute sur les activités de protagonistes.

- Tu crois qu'ils se croient seuls ?

- Je ne sais pas. Notre terrasse est pourtant éclairée.

- En tout cas, notre présence ne semble pas les gêner…

- Choquée ?

- Ce n'est pas le mot que je choisirais, répond-elle avec un large sourire."

Ma main remonte vers son unique vêtement que je découvre quelque peu humide.

- Tu as raison, ce n'est pas le mot correct…

- On peut voir chez eux, tu crois ?

- Je ne sais pas. Attends, je vais voir…

En silence, je me lève et m'approche de la haie. Un espace providentiel m'offre une vue chez eux et je les découvre, elle allongée sur le dos sur une serviette, lui, de côté, les mains lui caressant la poitrine. Je me retourne et fait signe à Catherine de me rejoindre. Comme moi, elle observe la scène avec attention. J'en profite et baisse doucement son slip sans qu'elle ne s'y oppose. Il atterrit sur ses chevilles et, sans quitter des yeux nos voisins, elle l'enjambe, s'en débarrassant complètement. Je recule un peu et profite du spectacle de ses fesses, rondes et fermes dont, depuis la vingtaine d'années que nous sommes ensemble, je ne me suis jamais lassé et que je caresse furtivement, lui donnant la chair de poule. Ma main descend et je trouve sa fente déjà trempée. Elle écarte les jambes, m'offrant son intimité puis, d'un signe, m'indique de regarder à côté. Notre voisine est maintenant à genoux, le membre de son mari allant et venant dans sa bouche. Leur position, de profil par rapport à nous, nous permet de ne rien perdre de leurs ébats. Le font-ils exprès ? Ce qui est sûr, c'est qu'ils ne font rien pour passer inaperçus. L'homme commente même la fellation de sa femme sans prendre soin de parler bas :

- Oui… comme ça… avale-la toute… hum… c'est bon…

Catherine tourne le visage vers moi et, tout naturellement, nos lèvres se soudent pour un profond baiser. Nous dévisageons ensuite plus attentivement le couple. Lui, mince sans être maigre, la poitrine couverte par d'épais poils noirs, le ventre plat, un membre plus fin que le mien mais plus long, les cuisses musclées. Elle, la poitrine assez imposante mais ferme, le ventre plat également, des cuisses rondes mais musclées. Nous n'avons pas encore eu la chance de découvrir ni son sexe, ni ses fesses.

Je caresse toujours les fesses de ma femme et appuie un doigt sur sa rondelle dont l'accès ne m'est que très, trop à mon goût, rarement autorisé. Catherine n'est pas une fervente de la sodomie et je n'ai pu qu'en de rares occasions, découvrir la douceur et l'étroitesse de son cul. Néanmoins, elle n'est pas contre une feuille de rose ni l'exploration par un doigt curieux, à condition de l'introduire en douceur. Ce soir, elle se cambre, m'invitant à lui caresser l'œillet, ce dont je ne me prive pas.

Nos voisins ont une nouvelle fois changer de position. Allongé sur le dos, il lèche la fente de sa femme qui, sur lui en 69, a repris ses caresses buccales sur son membre. Les bruits de succion nous parviennent distinctement et, il faut bien l'avouer, entretiennent notre excitation.

La main de Catherine me masse le sexe à travers le slip puis descend celui-ci.
Nous sommes nus tous les deux, nous caressant mutuellement en contemplant nos voisins faire l'amour.

À côté, notre voisine est maintenant à quatre pattes et son mari présente son sexe à l'entrée de sa grotte.

- Vas-y ! Bien à fond !

Sans hésiter, il la pénètre d'une poussée énergique et elle ne peut contenir un petit cri. Un instant, il me semble qu'ils regardent dans notre direction.
Catherine s'agenouille alors et je sens son souffle sur ma verge tendue puis ses lèvres se referment sur moi et elle me fait aller et venir dans sa bouche. Je remarque qu'elle ne fait rien non plus pour étouffer les bruits de succion et même qu'elle en rajoute. Tournant la tête, je vois alors que les voisins regardent cette fois franchement dans notre direction. C'est l'heure de vérité : ou ils se croyaient seuls et vont rentrer poursuivre leur séance à l'intérieur, ou ils connaissaient notre présence et…


Pour l'instant, ils gardent la même position et l'homme poursuit ses va et vient comme si de rien n'était.

Je suis de plus en plus excité, à la fois par la situation et la fellation de ma chérie. Ne désirant pas jouir trop rapidement, je la fais se relever et, m'agenouillant à son tour, me régale de sa fente pratiquement inondée, cette soirée semble l'exciter autant que moi. Ses mains sur ma tête me plaquent contre elle et ma langue explore son intimité, du bouton saillant à l'anus. Sa position, face à la haie, lui permet de contempler nos voisins et, rapidement, ses gémissements se joignent aux leurs.

La connaissant parfaitement, je devine le moment où elle atteint le point de non retour et accentue mes caresses. Ses mains me maintiennent fermement, je sens ses jambes trembler et soudain, un flot de mouille arrose ma bouche tandis qu'elle pousse un long feulement. Je m'abreuve avec toujours le même plaisir à sa source, dégustant le fruit de son plaisir et entends la voix de notre voisine dire :

- Hum… vous avez bien joui semble t-il ?

- Oui, répond simplement Catherine.

- À mon tour maintenant…


À suivre...

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Commentaires

moi je veux bien etre vos voisins!et savoir la suite aussi, on adore!tu as vraiment beaucoup de talent!!ca manque de photos mais le plaisir est vraiment là malgré ca!!!
bisous   lucie
commentaire n° :1 posté par : letl le: 01/02/2007 à 13h43
Chère Lucie,

Merci, c'est ma modestie, légendaire, qui va en prendre un coup !!! ;-)

Pour les photos, je n'en ai malheureusement pas beaucoup mais, comme je viens de le rajouter, si vous désirez m'en envoyer pour illustrer mes histoires, cela sera avec plaisir.

En attendant, je rajoute tout de suite un lien vers votre blog dont j'apprécie énormément les photos...

Bises
Chris
commentaire n° :2 posté par : Chris le: 01/02/2007 à 14h31

Humm, la suite devrait être croustillante !!!


Amitiés

commentaire n° :3 posté par : Lionel le: 02/02/2007 à 16h16

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