Samedi 3 février 6 03 /02 /Fév 16:44
Fin de cette soirée...


- Si ça ne te plaît pas, j'arrête immédiatement et on n'en parle plus, d'accord ?
- Pourquoi pas !


Comme sa femme, il s'agenouille face à moi, la tête entre mes cuisses et je sens son souffle sur mon sexe. Tournant les yeux, je remarque Catherine, qui semble avoir entendu notre dialogue, nous regarde et, au moment où Stéphane m'avale, qui me lance un nouveau clin d'œil.

Je baisse les yeux et regarde mon membre aller et venir, pour la première fois dans la bouche d'un homme. Je dois reconnaître que Stéphane est très doué et que sa pipe est magistrale. Sa langue virevolte autour de ma hampe et ses mains, loin de rester inactives, me flattent les bourses, s'aventurant même parfois plus bas, me procurant des sensations aussi agréables qu'inédites. Mes yeux vont de lui à nos épouses et je remarque que Catherine flatte maintenant la poitrine de Muriel, pinçant légèrement les tétons et les étirant, encouragée par les gémissements de notre voisine.

Qui aurait cru, à peine une heure plus tôt, que nous serions, Catherine et moi, en train de se faire sucer par nos voisins, qui plus est par la personne du même sexe ? La vie est décidément pleine de surprises et celle-ci n'est pas la plus désagréable !

Je me surprends à caresser les cheveux de Stéphane, le faisant relever la tête :

- Tu aimes ?
- Hum… tu suces divinement bien…
- Allonge-toi par terre !



Je me retrouve sur le dos et il me reprend vite en bouche. Notre nouvelle position, tête bêche, lui à côté de moi, me fait comprendre ce qu'il attend de moi. J'hésite un peu, n'ayant, à part le mien, jamais caresser un sexe masculin puis, timidement, j'avance la main et mes doigts caressent le long bâton de chair, le faisant tressauter. Je m'enhardis et referme la main avant d'entamer de lents va et vient qui, à en juger par les gémissements étouffés par mon propre sexe, sont appréciés. Je le masturbe longuement et, peu à peu, son corps se rapproche du mien et donc, son sexe de mes lèvres.


À nos côtés, Catherine est en train de jouir sous les coups de langue de Muriel. Celle-ci s'exclame :


- C'est dingue ! Jamais je n'ai vu quelqu'un mouiller autant… on dirait qu'elle éjacule ! Et quel goût délicieux !


Moi aussi, je suis proche de l'orgasme. Stéphane, aux soubresauts de ma verge, doit s'en rendre compte car ses mouvements de succion s'accélèrent. Très vite, je le préviens que je vais venir. Il sort mon sexe, le masturbe et, en trois aller et retour, me fait jouir. Mes jets s'écrasent sur sa poitrine, la zébrant de traînées blanchâtres. Les yeux fermés, je reste quelques instants, le souffle court, reprenant mes esprits. Puis, tournant la tête, je me retrouve la bouche à quelques millimètres de sa queue raide. Sans plus réfléchir, mes lèvres s'ouvrent et j'avale lentement son gland, goûtant pour la première fois une queue. Un long "hum" accueille mon initiative et m'encourage. Je le fais aller et venir en moi comme j'aime que Catherine me le fasse, sans oublier de flatter les bourses qu'aucun poil ne recouvre. Concentré sur ma fellation, j'entends comme dans un brouillard la voix de Catherine :


- Vas-y mon chéri ! Pompe-le bien…


Je n'en reviens pas ! Ma propre femme m'encourage à sucer la bitte d'un autre homme ! Cette soirée semble avoir un effet des plus inattendu chez elle ! Toujours est-il que je m'applique à sucer du mieux que je peux cette verge au goût il est vrai très agréable.
Je sens bientôt que Stéphane parvient au nirvana. Gentiment, il me prévient et, comme lui tout à l'heure, je sors son sexe de ma bouche et le caresse. Rapidement, il jouit et son sperme épais arrose ma poitrine. Je ne cesse mes caresses que lorsque sa queue est molle et il me félicite alors :


- Pour quelqu'un dont c'est la première fois… tu es réellement doué…
- Merci… je dois avouer que j'y ai pris un certain plaisir.


Muriel, la seule à ne pas avoir encore pris son pied, s'approche de moi et s'exclame :


- Ça vous dérange si je m'occupe un peu de moi ?"

Sans autre forme de procès, elle me prend entre ses lèvres et me suce avec appétit. Il ne me faut guère de temps pour afficher à nouveau une érection digne de ce nom. Elle lâche mon sexe maintenant tendu et le maintenant à la verticale, le présente à l'entrée de sa grotte. Elle descend lentement, mon sexe étant plus épais que celui de son mari. Avec quelques minutes, nos deux ventres se touchent enfin. Elle commence alors à monter et descendre sur moi, s'empalant chaque fois jusqu'à la garde en poussant de légers gémissements. Je tourne la tête et vois Catherine qui nous regarde, souriante, la main négligemment posée sur sa fente. Stéphane la regarde également à ce moment et, voyant qu'elle semble bien esseulée, s'approche d'elle. Presque naturellement, Catherine pose la main sur la verge encore au repos et la caresse lentement, la faisant petit à petit se redresser. Je n'aurais jamais imaginé que voir ma femme caresser un autre homme puisse autant m'exciter ! J'entends Stéphane lui dire :


- Mets-toi à quatre pattes !


Je tourne à nouveau la tête et le regarde s'enfoncer dans la chatte de ma chérie, qui l'accueille d'un long soupir.


Muriel continue ses va et vient sur moi, ses gémissements s'amplifiant au fil des minutes. Soudain, elle s'affale contre mon torse, s'empare de ma bouche et, m'embrassant voracement, jouis. Je sens ses muscles se contracter sur ma verge et sa liqueur couler le long de ma hampe. Assez vite, elle se relève, me laissant quelque peu frustré et, s'allongeant face à Catherine, tend sa chatte vers son visage. Après quelques secondes, la bouche de ma femme se pose, d'abord timidement, sur la fente offerte puis les coups de langue se font plus francs et elle suce le sexe de Muriel avec application, la faisant gémir.

Je regarde le trio ainsi formé, le sexe toujours tendu. M'approchant, j'admire la verge de Stéphane qui va et vient profondément dans le vagin de ma femme. Ses mains, fermement agrippées aux hanches, écartent les fesses, dévoilant son petit œillet sombre. Je ne résiste pas au plaisir de le caresser, parvenant même à y enfoncer une phalange que je fais aller et venir, d'abord lentement puis de plus en plus rapidement. Contre toute attente, Catherine, non seulement gémit, par m'incite à poursuivre la caresse :


- Hum… mon chéri… c'est bon ton doigt dans mon cul…"


Je lui masturbe le cul quelques minutes puis Stéphane demande :


- Catherine, tu ne préférerais pas quelque chose de plus consistant ?
- Si tu veux… mais doucement, je n'ai pas l'habitude…
- Sois sans crainte !

Je retire mon doigt et empoigne moi-même la verge de notre voisin. Je présente le gland contre la rondelle et il pousse doucement. Je regarde le gland écarteler le muscle pour s'enfoncer dans l'étroit écrin. Il faut quelques minutes pour qu'enfin ses bourses butent contre Catherine qui, en nage, semble supporter cette délicate pénétration. Je me penche vers elle et, lui caressant les seins, lui demande si elle ne souffre pas trop :

- Non… c'est moins pire que je ne le craignais… ça me donne de drôles de sensations… assez agréables… tu ne m'en veux pas ?
- Tu es folle ! Depuis le temps que je rêvais de te regarder te faire prendre par un autre homme… je suis ravi !"


Elle me tend ses lèvres et m'offre un baiser.


Stéphane commence à aller et venir en elle plus franchement, s'enfonçant à fond entre ses fesses et, après quelques temps, lui arrachant des soupirs d'aise.
À côté de moi, Muriel regarde elle aussi son mari sodomiser, maintenant vigoureusement, ma femme et me propose de lui offrir le même traitement. Comment lui refuser cela ?
Elle s'installe face à ma femme, le visage à quelques centimètres du sien et, se cambrant, me lance :


    - Vas-y ! Prends-moi le cul ! Et n'aie pas peur, Stéphane m'encule souvent."

Effectivement, mon sexe la pénètre sans aucun problème et je la pilonne avec ardeur, sous les yeux de son mari qui, très volubile, ne peut s'empêcher de dire :


    - Elles sont bonnes du cul nos deux chéries, pas vrai ?
    - Oh que oui…
    - Catherine est toute serrée et j'adore cela… et moi ma chérie, tu aimes la bitte de Didier dans tes fesses ?
    - Oh oui… il est un peu plus gros que toi et me remplis bien…


Notre séance dure de longues minutes puis Stéphane, le premier, parvient à l'orgasme. Dans un râle, il se fiche au fond de Catherine et se déverse en elle, le corps tendu. Son éjaculation provoque le plaisir de ma femme qui crie à son tour et jouit bruyamment avant de s'affaler, presque inerte, sur le ventre, faisant sortir le sexe de son amant de son derrière.


Muriel, elle aussi, sent monter une vague de plaisir :

- Vas-y Didier ! Bourre-moi bien à fond ! Je vais venir ! Oh oui !!! Ça y est… je jouis !!


Sous l'effet le l'orgasme, son cul serre ma verge et déclenche mon éjaculation. Je me vide à longs jets en elle, lui provoquant, c'est la première fois que je vis cela, un second orgasme. Je fais encore quelques va et vient puis sors, admirant son anus d'où coulent des filets de sperme.


Une pause est la bienvenue et Stéphane file chez eux, revenant bien vite avec une bouteille.


- Je crois que cette soirée mérite d'être arrosée !!


En effet, en l'espace de deux heures, nous avons, ma femme et moi découvert bien des choses ! Nul doute que nous n'en resterons pas là ! Je suis certain qu'on va se plaire dans notre nouvelle maison...

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