Jeudi 15 février 4 15 /02 /Fév 08:20
Encore et toujours plus de plaisir lors de cette mémorable soirée...

Je jette un œil vers Anne qui me paraît bien excitée de me voir ainsi embroché ! Sa main va et vient sur sa fente tandis qu'elle se fait peloter par Martine.

Doucement, Karl ressort, presque complètement, puis me réinvestit. Je ne peux étouffer un râle de plaisir en le sentant à nouveau s'enfoncer et, rassuré, il se met à aller et venir un peu plus vite.

Karl ne met guère de temps à jouir. Sortant de mon cul ses giclées m'arrosent le ventre, atteignant même mon menton.


Anne vient vers moi, m'embrasse très tendrement et me demande :


- C'était bon ? Tu as aimé ?

- Oui… ça fait bizarre, surtout au début, mais c'est plus qu'agréable…

- Je vois, dit-elle en baissant les yeux vers mon sexe à nouveau en érection.


Martine et elle éclatent de rire, vite suivies par Karl et moi. Nous nous rhabillons et quittons ce charmant endroit. Au lieu de prendre la direction de la salle, Martine file vers la gauche. Nous la suivons et découvrons une pièce beaucoup plus grande, où le sol n'est qu'un immense matelas. Plusieurs couples s'y ébattent, à deux, trois ou quatre. Notre amie ôte ses vêtements et, sans hésiter, rejoint le trio le plus proche de nous : deux hommes, plutôt jeunes, et une femme assez forte, paraissant au moins cinquante ans, et qui subit les assauts de l'un en suçant l'autre. Karl regarde sa femme s'emparer des seins de la femme et les peloter assez rudement.


- C'est une amie. Elle adore se faire un peu maltraiter… surtout par Martine pour qui elle a un petit faible.


Il se met nu puis entreprend de dévêtir Anne. Celle-ci se laisse faire et, lorsqu'il lui prend la main, le suit sans l'ombre d'une hésitation. Je me mets à mon tour dans le plus simple appareil et, sur un signe de Karl, les rejoins. Anne, allongée sur le dos, jambes écartées, yeux fermés, reçoit l'hommage de nos mains et de nos lèvres. Pas une partie de son corps qui ne soit embrassée ou caressée ! Ses gémissements nous prouvent, s'il en était besoin, le plaisir que nous lui donnons. Son corps est parfois comme parcouru par des décharges électriques.

Un autre homme se joint à nous après être resté spectateur. Nous amenons ma femme à l'orgasme rapidement ; elle jouit bruyamment, deux doigts lui fouillant le vagin, deux son derrière, une bouche sur chaque sein et un doigt titillant son bouton. Karl, décidément en forme, ne lui laisse pas le temps de redescendre de son orgasme et s'enfonce en elle d'un puissant coup de rein. Quelques va et vient lui suffisent pour la faire à nouveau grimper aux rideaux. L'homme qui nous a rejoint en profite et pose son sexe sur sa bouche. Tout naturellement, elle le gobe et le suce tandis qu'il lui caresse les seins. Je la regarde subir les assauts de ses deux amants puis, tournant la tête, je vois non loin de nous un couple qui regarde, un peu éberlué, ce qui se passe dans la pièce. Visiblement, ils sont néophytes et n'osent guère entrer dans la danse. Je les rejoins et pose une main sur la cuisse de madame. Elle se retourne et me sourit timidement mais ne fait aucun geste de recul. J'en profite donc et mes doigts caressent sa jambe, remontant lentement mais sûrement mais cet endroit magique où elles se joignent. Son mari regarde ma main progresser et je constate que plus elle remonte plus son sexe se redresse. J'atteins l'intimité, déjà mouillée.


- Allongez-vous !


Elle m'obéit et écarte les jambes, offerte. Je plonge alors vers sa fourche et embrasse sa fente, lui donnant des frissons. Mes mains remontent vers sa poitrine que je masse lentement, sentant sous mes doigts les bourgeons grossir et s'allonger.

Son compagnon l'embrasse tendrement, comme pour la rassurer par sa présence. Je la vois qui le caresse lentement. Sous mes baisers et mes caresses, elle ne tarde pas à se tordre de plaisir et j'ai le plus grand mal à poursuivre mon cunnilingus. Je la saisis par les fesses et la maintiens plaquée contre moi. Soudain, son ventre se tend, ses mains agrippent mes cheveux et je reçois une véritable éjaculation sur le visage. Une femme fontaine ! Moi qui croyais que cette appellation était exagérée ! J'ai l'impression qu'elle me pisse littéralement dessus ! Enfin, la source se tarit. Gentiment, mais fermement, elle me repousse. Son mari, sitôt que je suis relevé, s'installe sur elle et la pénètre. Elle me sourit et sa main, un peu hésitante, prend ma verge et me caresse.


- Merci… c'était très bon… vous désirez… enfin… je veux dire… vous voulez que je vous suce ?

- Uniquement si vous en avez envie…

- Approchez !

 

Je me mets contre elle et, d'abord du bout de la langue puis plus franchement, elle m'embrasse le gland. Je lui caresse la poitrine, doucement. Elle ouvre alors la bouche et me fait coulisser entre ses lèvres. Tout près, après quelques va et vient, son ami jouit, lui maculant le ventre. Elle semble ne même pas s'en apercevoir, concentrée sur sa fellation. Timide peut-être mais extrêmement douée ! Plus les minutes passent, plus elle s'enhardit, me prenant totalement, massant mes couilles, ressortant parfois en ne gardant que mon gland entre ses lèvres pour le lécher en abondance. Heureusement que j'ai déjà joui plusieurs fois, ce qui permet de tenir ! Elle me lâche soudain et, d'une petite voix, me demande :


- J'ai envie de te sentir en moi… tu veux bien me prendre ?


Comment refuser une telle offre ? Elle s'installe à quatre pattes, les reins cambrés. Je me mets derrière elle et, d'un coup de rein, investis sa grotte, accueilli par un 'ah' de plaisir. Je prends mon temps, la limant profondément. Mes mains écartent ses fesses, dévoilant son petit trou. J'ose y aventurer un doigt curieux mais la sens se raidir. Je n'insiste pas et poursuis dans sa chatte. Très vite, elle crie une nouvelle fois. Je ne m'arrête pas et retente une incursion vers sa petite entrée. Pas de réaction cette fois. Je mouille mon index et pèse sur l'œillet. Doucement, il franchit l'étroit passage sans que ma partenaire ne m'arrête. Je le fais aller et venir au même rythme que ma queue dans son vagin et par moments, c'est elle-même qui tend son cul, m'invitant à entrer plus loin. Je tente un second doigt et un gémissement un peu plus fort me rassure.


- Viens mais doucement, parvient-elle à murmurer.


Je quitte son chaton et pose mon gland contre son petit trou. Je pousse un peu et force le passage.


- Détends-toi !


J'écarte franchement ses fesses et regarde mon pieu écarteler son trou, vision ô combien excitante !

Peu à peu, je m'enfonce dans le fourreau serré, encouragé par ma partenaire qui, tout en me demandant d'aller doucement, tend les fesses au devant de ma queue. Enfin, je suis entièrement en elle.


- Ça y est ! Ça va ?

- Hum… oui… ça fait bizarre… reste un peu comme ça… sans bouger…

 

Immobile, j'attends qu'elle s'habitue à ma présence. J'en profite pour jeter un œil vers ma chérie. Elle chevauche Karl tout en suçant son nouveau partenaire. Visiblement, mon absence ne la trouble guère.

Je ressors lentement, ne laissant que le gland puis la réinvestit. Cette fois, elle apprécie et écarte elle-même ses fesses, comme pour mieux me sentir.


- Oh… oui… vas-y… c'est bon…


Mes coups de reins se font plus puissants, plus rapides et ses gémissements vont crescendo. Je sens une de ses mains me caresser les bourses et lui dit de se masturber. Ma sodomie semble maintenant la combler et elle ne cesse de gémir, criant même parfois. Son compagnon nous regarde, souriant, visiblement heureux de voir sa femme prendre ainsi son pied. Subitement, elle pousse un long cri et je sens ses muscles serrer un peu plus fort ma queue.


- Ah… oui… je jouis… c'est… ahhhhhhhh.


Son orgasme déclenche mon éjaculation et, sortant de son cul, je lui arrose le dos. Épuisée, elle s'affale sur le ventre, cherchant à reprendre son souffle. Après quelques minutes, elle se retourne et me sourit :


- C'était la première fois…

- J'avais deviné… tu as aimé…

- Oui… tu as été très doux… merci. Je ne voulais pas trop venir ici mais je ne le regrette pas du tout…

- Je suis très heureux de t'avoir rencontrée… Je m'appelle Marc

- Moi Véro. C'est ta femme ?

- Oui.

- J'aimerais bien …

- Vas-y ! Je suis certain que tu vas lui plaire.


Elle se lève, rejoint le trio et reste un peu immobile, regardant le trio. Puis, un peu timidement, elle avance une main vers la poitrine et empaume un sein. Anne la regarde et, sans hésiter, lâche le membre qu'elle suce et l'attire contre elle pour lui rouler une pelle. Ma chérie semble prendre goût aux plaisirs de Lesbos !

Celui qu'elle vient d'abandonner caresse alors le dos de la nouvelle venue, descend lui flatter les fesses et je devine qu'il lui enfonce un doigt dans le cul. Cette fois, elle ne se crispe pas et se cambre, s'offrant au doigt inquisiteur. C'est le moment que choisit Karl pour jouir. Il soulève un peu Anne et ses jets s'écrasent sur son ventre. Ma chérie en profite alors pour s'allonger et attirer sa nouvelle amie sur elle en 69.

Le troisième larron ne désarme pas, bien au contraire, et, profitant de sa position, enfile son mandrin dans le cul de Véro qui subit, en moins de dix minutes sa seconde sodomie, se faisant vigoureusement ramonée.

Karl me rejoint dans mon rôle de voyeur pendant quelques instants puis jette un œil sur la salle pour y trouver la trace de sa femme.

Martine est joyeusement en train de se faire prendre par deux hommes, chevauchant l'un, se faisant enculer par le second.

Tout près, ma récente partenaire, sous les baisers d'Anne et les coups de reins de l'homme, crie à nouveau. À mon avis, elle ne regrette absolument plus sa venue !

L'homme sort de ses reins et lui fourre sa queue dans la bouche. Sans hésitation, elle l'avale et, rapidement, il lui jouit sur le visage et les cheveux. Elle peut alors se concentrer sur la chatte de ma chérie qu'elle lèche avec un plaisir non dissimulé. Anne apprécie ses baisers et, les jambes totalement écartées, s'offre sans retenue. Leur partenaire les abandonne et quitte la pièce, nous adressant un grand sourire en passant près de nous, satisfait du plaisir obtenu.

Véro ne tarde guère à emmener Anne au septième ciel. Dans un cri rauque, ma chérie jouit et l'abreuve de son jus qu'elle déguste à grands coups de langue.


 

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