Mardi 6 mars 2 06 /03 /Mars 18:29

Timidement, je prends le bâton de chair de Marc en main et fais quelques va et vient. Je me surprends à en apprécier le contact. Son sexe est chaud, dur et doux à la fois et je prends plaisir à le masturber. Mon ami, à son tour, pose un main sur mon sexe qu'il flatte du bout des doigts, de la base au gland. Peu à peu, nos deux sexes se redressent sous nos caresses, pour le plus grand plaisir de ma femme :



- Vous voyez vous aimez ça, vous branler... allez-y mes petits chéris ! Branlez-vous !



Nos gestes sont maintenant plus francs, plus appuyés aussi et nous nous masturbons sans plus aucune retenue, y trouvant vite un plaisir insoupçonné.

Marc, m'allonge sur le dos, me chevauche et nous nous retrouvons en 69. Au-dessus de mon visage, les couilles de mon pote et sa queue tendue m'attirent irrésistiblement et, sans réfléchir une seconde, j'y pose les lèvres et embrasse les deux boules et la tige. Très vite, je gobe le gland et la bitte de Marc coulisse entre mes lèvres. Un gémissement m'encourage et je prends un vif plaisir à lui offrir ma première fellation.

Je sens à mon tour son souffle sur ma queue puis la chaleur de ses lèvres qui se referment sur moi. Cette fois, Léa est aux anges !



- Qu'est-ce que vous êtes mignons ainsi !!! Allez-y ! Pompez-vous la bitte ! Vous êtes excitants !!!



Les bruits de succion résonnent dans le salon, bientôt rejoints par les gémissements de mon amour qui, visiblement, se fait du bien toute seule.

Notre duo dure ainsi de longues minutes, jusqu'à ce que ma chérie, à priori en manque de caresses, ne le désunisse :



- Allez, à mon tour de jouer un peu !



Elle fait signe à Marc de se relever puis, d'un trait, vient s'empaler sur moi. Prenant appui sur mon torse, elle monte et descend, alternant va et vient rapides et pénétration plus lentes. Marc a saisi ses seins et la pelote, puis se penche sur elle et l'embrasse longuement.

Puis, excitée comme jamais, Léa fait s'allonger Marc et, m'abandonnant, s'empale sur lui, dans un long gémissement. Elle le chevauche quelques minutes avant de m'appeler :



- Mon amour, viens ! J'ai envie de vous sentir tous les deux en moi !



Comment résister à une telle demande ?

Je les rejoins ; Marc attire ma chérie contre lui et lui écarte les fesses, m'offrant son petit trou. J'appuie un peu et m'enfonce sans difficulté dans les reins de Léa. Lorsque nos corps se touchent, je reste immobile, la laissant s'habituer à ma présence puis, lentement, ressors avant de la réinvestir d'un poussée plus puissante.

Ce dernier coup de rein semble la déchainer, c'est presque en hurlant qu'elle nous intime l'ordre de la baiser « tous les deux bien fond » !



Marc et moi trouvons rapidement la cadence idéale et Léa reçoit nos coups de boutoir avec des gémissements, des cris, qui vont crescendo. Jamais je ne l'ai vue dans un tel état !



- Ah.... oui... salauds... vous me défoncez... je vais jouir... baisez-moi encore... ça y est... je viens... je jouis... aaahhhh !!



Malgré ce nouvel orgasme, nous ne ralentissons pas et poursuivons au contraire notre chevauchée de manière encore plus violente. Les fesses de ma chérie claquent contre mon bas-ventre ; ses seins ballotent, sa chatte, sans aucun doute ruisselante, fait des flocs aussi obscènes qu'excitants.

Nous la prenons ainsi de longues minutes puis, le premier, je sens le plaisir me submerger. D'un dernier coup de reins, je me fiche au fond d'elle et me répands longuement, dans un râle. Marc n'attendait-il que ce signal ? Il jouit à son tour, ayant à peine le temps de quitter le doux refuge pour exploser sur le ventre et les seins de Léa.

Ma belle, vaincue, s'effondre contre le torse de son amant, son cœur bat à tout rompre, les yeux mi-clos, elle semble presque ailleurs, dans un autre monde.

Lentement, je me relève et file boire une longue gorgée d'eau. Je suis en nage ! Je reviens vers le couple et constate qu'eux aussi ruissellent de sueur. Ma chérie me regarde et tend la main, quémandant la bouteille. Elle se redresse pour boire à son tour avant de la tendre à Marc.



Cela fait maintenant deux heures que notre soirée amicale s'est transformée en partie de jambes en l'air. Léa demande à notre hôte si elle peut aller prendre une douche et nous abandonne, Marc et moi, sagement assis dans le canapé.



- Si on m'avait dit...

- Et moi donc ! Jamais je n'aurais cru que Léa soit capable de la faire...

- Jamais je n'aurais cru non plus que je sucerais un mec...

- Tu as aimé ?

- Beaucoup et toi ?

- Hum... oui...

- J'aurais même bien voulu aller plus loin...

- Tu veux dire que tu aurais voulu que je t'encule ?

- T'aurais accepté ?

- Je pense, oui

- et maintenant ?

- Maintenant quoi ?

- Tu veux le faire ?

- Euh... laisse-moi reprendre un peu de force...



J'ai à peine terminé ma phrase que Marc pose la main sur mon sexe et le caresse.



- J'aime bien ta bitte... elle est douce... tu aimes ma main sur toi ?

- Oui...

- Je vois !



Effectivement, sous ses doigts, mon sexe réagit et grossit à nouveau. Encouragé, il remplace ses doigts par sa bouche et, de retour de la salle de bains, Léa nous découvre, moi allongé par terre, lui à genoux entre mes cuisses, ma bitte dans la bouche.

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