- Je vois qu'on ne s'ennuie pas !! Dites-donc mes deux petits chéris, on prend goût à jouer les homos !!

- Marc meurt d'envie de prendre ma bitte dans le derrière... il fait donc tout pour me remettre en forme...

- Et on dirait qu'il y réussit plutôt bien...

- Approche-toi ma chérie, j'ai envie de déguster ton coquillage.

-Voilà une parole qu'elle est bonne !!

Elle me chevauche et j'ai bientôt le bonheur de déguster son puits d'amour et son petit trou, allant de l'un à l'autre, m'enfonçant dans l'un puis dans l'autre.

Mon sexe est désormais tendu et donc prêt à investir les fesses de Marc. Visiblement impatient, il abandonne sa fellation et s'installe, face à Léa. Il prend ma queue et la place à l'entrée de son petit trou puis il descend, s'empalant très lentement. Mon ami n'a pas souvent dû livrer ainsi son cul car je sens ses chairs s'écarteler difficilement.

Pourtant, après de longue minutes, ses couilles sont contre mon ventre, signe que je suis totalement en lui. Ma chérie, qui a subi la lente et délicate pénétration, me le confirme :

- Oh la vache ! Mon chéri, il t'a pris entièrement ! Toute ta bitte est entrée ! J'en reviens pas !

Marc reste quelques instants sans bouger puis, toujours aussi lentement, remonte le long de ma colonne avant de se laisser littéralement tombé, accompagnant cet empalement d'un long gémissement. Il se penche sur ma chérie et mes deux partenaires s'embrassent fougueusement. C'est ensuite le début d'une véritable chevauchée, les mains en appui sur mes cuisses, mon cavalier va et vient de plus en plus rapidement, s'embrochant chaque fois jusqu'à la garde. Au-dessus de mon visage, Léa gémit elle aussi sous mes coups de langue. Sa chatte ruisselle et je me régale de son jus intime, d'une abondance rare.

Elle se penche alors en avant et je devine, aux bruits de succion, qu'elle offre une nouvelle gâterie à notre ami.

Ainsi comblé du côté pile comme du côté face, Marc ne résiste pas bien longtemps. Ses gémissements se font plus puissants et, dans un râle, il jouit, arrosant le visage et le menton de ma douce. À mon tour, je sens le plaisir me submerger, j'en avertis mon partenaire qui n'a que le temps de se relever avant que mes jets fusent.

Cette fois, la fatigue se fait réellement sentir. Nous nous retrouvons sous la douche avant d'aller nous coucher. Rapidement le sommeil s'empare de nous.