Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 13:24
La suite de cette soirée... qui devient un peu plus chaude...

Cette question me fait comprendre qu'elle est prête à le faire. Je la rassure donc sur mon accord et nous retournons au salon.

- "Déshabille-toi lentement, d'abord le haut !"


Devant trois paires d'yeux plus que curieux, Véro déboutonne lentement son chemisier. Nous voyons peu à peu apparaître la poitrine. Quand tous les boutons sont ôtés, Véro écarte lentement les pans. Elle fait ensuite tomber le chemiser, nous dévoilant son ventre plat et sa poitrine voilée d'un léger soutien-gorge pêche relativement transparent. Elle tourne sur elle-même et baisse la fermeture éclair de sa jupe, laissant deviner son fin slip de la même couleur que le soutien gorge. Au tour du bouton et plus rien ne retient le vêtement qui se retrouve sur les pieds de ma belle. Elle nous laisse admirer et, pour Marc, photographier, son postérieur avant de nous faire face à nouveau. Véro nous offre alors le spectacle de son minou, à peine caché par le fin slip. Marc ne se prive pas d'immortaliser ce charmant spectacle tandis que sa femme félicite Véro pour son strip-tease :


- "Tu es superbe ma puce ! Tu sais ce que tu devrais faire maintenant ?

- Me rhabiller ?

- Pas du tout ! Au contraire, tu devrais ôter ton soutien-gorge.

- Vous n'êtes jamais content !

- Tu t'es bien déjà mise seins nus à la plage, non ?

- Oui… mais ce n'est pas pareil…

- Pourquoi ça ?

- Ben… à la plage, beaucoup de femmes sont torse nu et… les gens ne les regardent pas plus que cela…

- Que tu dis ! Et puis, même, ça te gêne qu'on admire ta poitrine ?

- Non, quand même pas. Chris, tu en penses quoi ?

- Tu fais comme tu le sens, je te laisse entière liberté de faire ce que tu as envie.

- Tu l'auras voulu !"


Elle passe les mains derrière son dos et dégrafe son soutien-gorge. Les bras croisés le maintiennent en place et, doucement, elle les laisse retomber, libérant du même coup ses charmants seins de leur prison de tissu. À nouveau, trois paires d'yeux fixent son corps, particulièrement sa poitrine dénudée. De nouveaux éclairs de flash et Véro se rassied.


- "Tout cela me donne soif, tu me ressers un petit punch Marc ?

- Avec plaisir !

- Tu t'arrêtes en si bon chemin ? L'interroge de nouveau Muriel.

- Mais ma parole, tu n'es jamais satisfaite ! Que veux-tu de plus ?

- Visiblement, il te reste un vêtement…

- Attends, je ne vais quand même pas me mettre à poil devant vous !"


Je commence à me faire du souci quant à la suite de la soirée. Véro semble énervée, pourtant, elle ne fait rien pour se rhabiller. Elle nous regarde à tour de rôle puis répond à Muriel :


- "Et si te mettais à l'aise comme moi ?

- Chiche !"


Notre hôtesse se retrouve bien vite uniquement vêtue d'un slip arachnéen qui a bien du mal à cacher son sexe.


- "Et maintenant, on fait quoi ? Demande t-elle à ma femme.

- Euh… tu veux faire quoi, toi ?

- On leur montre tout ?

- Tu en as envie ?

- Pas toi ?

- Je ne sais pas… vas-y la première !

- D'accord !"


Muriel se relève et, lentement, fait glisser son slip le long de ses jambes. Elle se redresse ensuite et nous fait admirer sa fente, à peine masquée par sa toison blonde. Elle reste un instant debout au milieu de la pièce, tournant sur elle-même afin de nous exposer ses jolies fesses. Marc n'en perd pas une miette et le flash crépite plusieurs fois. Elle se rassied enfin et fait signe à ma femme que c'est son tour. Marc intervient alors. Il me tend l'appareil et s'adresse à Véro :


- "Je peux te demander une faveur ?

- Quoi encore ?

- J'aimerais enlever ton slip moi-même.

- C'est une blague ?

- Non, j'en ai très envie.

- Chris ?

- Tatata… je te l'ai dit tout à l'heure… tu décides toi-même.

- Tu ne fais qu'enlever le slip, d'accord ?

- Merci, répond Marc, omettant de répondre à la question."


Véro se lève et Marc s'agenouille devant elle. Première photo ! Ses mains se posent sur les hanches de ma femme, y restent quelques instants. Marc saisit enfin l'élastique et le descend très lentement, baissant le slip centimètre par centimètre. Lorsque la fente est dénudée, il interrompt le mouvement et reste sans bouger, le regard fixé sur cette partie du corps de Véro, les yeux à quelques centimètres d'elle. Contrairement à mes craintes, ma chérie ne fait rien pour mettre fin à cette situation, les yeux baissés vers Marc, elle le regarde en souriant. La situation commencerait-elle à l'exciter ? Je ne me prive bien sûr pas de photographier cette scène. Notre ami se décide enfin et, toujours aussi lentement, continue de faire descendre le fin vêtement jusqu'aux pieds. En chemin, il ne se prive pas de caresser les jambes qui; sous les doigts, prennent la chair de poule. Véro totalement nue, Marc se relève et lui dit :


- "Tu es vraiment très belle.

- Merci.

- Ça te fait quoi d'être nue devant nous ?

- Franchement, je dois dire que ce n'est pas désagréable de se faire admirer.

- Tu es excitée ?

- Tu deviens indiscret…

- Tu ne veux pas répondre ?

- Et bien, cette situation ne me laisse pas indifférente. Et toi ? Tu bandes ?

- Euh… Marc, visiblement surpris par la question, hésite un court instant avant de répondre oui.

- Tu sais, je ne crois que ce que je vois !

- Tu veux dire que… ?

- Pourquoi pas ? Après tout, je suis bien nue, moi.

- Soit. Mais tu me déshabilles toi-même.

- D'accord."


Ma chérie m'étonne de plus en plus. Je me tourne vers Muriel et la vois sourire, l'œil pétillant. Véro s'attaque à la chemise de Marc qui se retrouve bien vite torse nu puis au pantalon. Après quelques minutes, seul son slip, qui cache mal son érection, subsiste. Comme lui tout à l'heure, Véro s'agenouille et saisit le slip qu'elle fait descendre. Elle se retrouve alors face à un sexe d'une taille peu commune et ne peut retenir un "oh!" de surprise. Si la nature a été généreuse avec moi, elle a particulièrement gâté notre ami.


- "Je n'en ai jamais vu d'aussi imposant.

- Merci. Tu veux le toucher ?

- Je ne sais pas…"

 

Véro se retourne vers moi, je lis dans son regard qu'elle souhaite que je laisse faire et je lui réponds par un sourire. Rassurée, elle pose la main sur la verge tendue et la flatte délicatement. Elle alterne caresses sur la hampe, le gland, et descend même flatter les bourses gonflées. Marc pose ses mains sur ses cheveux et approche son visage de son bas-ventre. Véro ne résiste pas et ses lèvres ne sont bientôt plus qu'à quelques millimètres du membre de Marc. Il cesse alors ses pressions sur la tête, laissant Véro décider seule de la suite. Celle-ci n'hésite que quelques secondes puis sa langue remplace ses doigts. Elle lèche la hampe sur toute sa longueur, ses lèvres s'entrouvrent et je vois pour la première fois un gland autre que le mien s'enfoncer dans la bouche de ma chérie, moment que j'immortalise. Loin de me rendre jaloux, cette vision m'excite énormément et mon sexe se trouve bien à l'étroit. Sur le canapé, Muriel paraît elle aussi stimulée par le spectacle. Je remarque une main qui caresse sa poitrine, étirant les tétons. Elle tourne les yeux vers moi et, me souriant, me fait signe de la rejoindre, ce que je fais en ne quittant pas du regard l'autre couple. Sitôt assis à ses côtés, je sens sa main se poser sur ma braguette et entreprendre de l'ouvrir. Elle a un peu de mal à libérer mon engin et je l'aide un peu, me débarrassant de mes pantalon et caleçon. Sa main me caresse lentement pendant que je découvre sa fente déjà bien humide. Véro suce toujours le sexe de notre hôte, le sortant parfois de sa bouche pour lécher les couilles. Marc la laisse faire un peu puis décide de changer de position. Il s'allonge par terre et l'attire sur lui en 69. Elle reprend sa fellation et lui, écartant les lèvres de ses deux pouces, plonge la langue dans la fente. Leurs gémissements couvrent les autres bruits. Muriel me fait signe de les photographier et le flash crépite de nouveau plusieurs fois. Je me lève pour m'approcher d'eux et les photographier à tour de rôle en gros plan. Cela me permet d'admirer de près les lèvres de ma chérie déformées par la taille du sexe de Marc qu'elle s'emploie à engloutir le plus loin possible, ses mains flatter les couilles, s'aventurant même jusqu'à la raie sombre dans lequel un doigt s'enfonce insidieusement. Marc, lui, pince le bouton entre ses doigts, sa langue lèche la fente sur toute sa longueur, s'enfonce dans la chatte trempée pour goûter le plaisir de ma femme, remonte embrasser l'œillet, y enfoncer le bout de la langue.

Leur plaisir semble proche, les gémissements s'amplifient et, la première, Véro parvient au nirvana dans un long cri. La bouche de son amant se colle à son sexe afin d'y récolter le fruit de son orgasme. À son tour, son corps se tend et il se répand entre les lèvres de Véro qui le garde et boit toute sa semence.

Je sens alors la main de Muriel se reposer sur mon sexe. Je délaisse l'appareil photo et m'allonge à mon tour. Sa bouche remplace ses doigts et elle m'engloutit jusqu'à la racine. Elle s'allonge tête-bêche à côté de moi, m'offrant son intimité que je m'empresse de déguster. Ma langue va et vient dans son puits trempé. Jamais je n'ai vu une femme autant mouiller ! Je lape sa liqueur à grands coups de langue gourmands, plonge au plus profond de sa grotte. Nos gémissements ont remplacé ceux de Marc et Véro, mes doigts courent de son bouton à son anus dans lequel il s'enfonce sans difficulté. Elle m'applique le même traitement, enfouissant même sa langue dans mon trou. J'ai beaucoup de mal à retenir ma jouissance mais, décidé à la faire jouir en premier, je me force à penser à autre chose. Je n'attends pas très longtemps, je sens les muscles de Muriel se tendre, son ventre s'arquer et bientôt elle me pisse littéralement son plaisir sur le visage. Son jus coule sur ma langue et mon menton et je tente d'en boire le maximum. Sous la jouissance, elle serre un peu plus les lèvres autour de ma colonne et, à mon tour, je sens le plaisir monter. Je ne me retiens plus et lui inonde la bouche de puissants jets qu'elle avale sans rechigner.

Nous reprenons tous les quatre nos esprits. Nous dégustons un nouveau punch, nus comme des vers, l'ambiance est lourde et personne n'ose parler. C'est Marc, qui le premier, ouvre la bouche :

 

- "Je ne sais pas pour vous, mais je suis très heureux des instants que je viens de vivre !

- Moi aussi, répond Muriel. Et vous ?

- J'aurai du mal à prétendre le contraire, et toi ma chérie ?

- Je ne regrette pas non plus, au contraire."


Silence de nouveau. Muriel s'approche alors de ma femme et pose la main sur sa cuisse. Véro ne bouge pas, semblant encourager Muriel à poursuivre, ce dont elle ne se prive pas. La main remonte et atteint très vite la fourche. Les jambes s'écartent et les doigts de Muriel caressent la fente encore gonflée. Marc et moi les regardons en silence. Je remarque que le sexe de notre ami a retrouvé toute sa vigueur. Sa femme le regarde et lui fait signe de les rejoindre. Il s'approche du canapé, elle empoigne sa verge et le dirige vers le sexe de Véro. Elle s'amuse à caresser le sexe de ma chérie avec le gland de son mari puis le pointe à l'entrée du vagin. Véro a comme un sursaut et resserre les jambes.


- "Non…

- Tu n'as pas envie de sentir sa grosse queue en toi ?

- Non… je ne veux pas aller jusque là…

- Mais pourquoi ?

- Je ne sais pas, on peut se caresser, se lécher mais je n'ai pas envie d'aller plus loin."


Muriel s'empare de nouveau du sexe de son mari et reprend ses caresses sur la chatte de Véro.

 

Elle vous plait toujours ? Oui ? Alors, dites-le moi par vos comm !!!

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