Jeudi 12 avril 4 12 /04 /Avr 11:46
Voici, enfin, la suite des aventures De Véro et Jacques. Bonne lecture !

Le lendemain, à peine arrivé au bureau, Jacques reçoit un appel de Bernard :


- Salut, Anne m'a dit que tu étais passé voir l'ordi hier. Ça a été ?

- Oui, très bien.

- Et... tu as réussi à...

- À le réparer ? Oui, bien sûr, il n'avait rien de grave.

- Idiot ! Ne te fous pas de moi ! Alors ?

- Alors, oui.

- Oui... tu l'as... vous avez...

- Fait l'amour, oui.

- Génial !


C'est la première que Jacques entend un homme se réjouir ainsi qu'être cocu ! À sa demande, il lui raconte comment cela s'est passé, sans toutefois lui donner tous les détails. Pas la peine de lui dire que Anne ne semble pas réellement épanouie, ni même qu'elle a accepté de le boire, ce qu'elle n'avait accordé à son mari. En plus, garder quelques secrets, juste entre Anne et lui, renforce, du moins le croit-il, leur complicité.


- Et tu en as parlé à Véro ?

- Non. Il ne me semble pas qu'elle m'avait parlé de vos rapports...

- Tu lui en veux encore ?

- À vrai dire, non... je suis même content quelque part qu'elle l'ait fait.

- Vous devez vous revoir Anne et toi ?

- Sans doute mais je en sais pas quand...

- Je dois partir deux jours, mardi et mercredi, la semaine prochaine, tu pourrais en profiter pour lui proposer un rendez-vous...

- Pourquoi pas ? Et tu comptes t'y prendre comment pour la confondre ?

- En fait, je serai de retour mercredi dans la matinée. Je pensais donc rentrer à l'improviste et vous surprendre...

- L'idée est bonne mais comment feras-tu pour entrer si Anne à tout fermé à clé ?

- c'est là que tu interviens ! Il faut que tu te débrouilles pour déverrouiller la porte fenêtre du salon et que tu l'emmènes dans la chambre...

- Je vois... mais... tu n'as pas peur de sa réaction... surtout si elle comprend que je lui ai tendu un piège...

- Je ne pense pas qu'elle aura le temps de beaucoup réfléchir...

- Soit !


Le téléphone raccroché, Jacques reste quelques instants songeur ; cette idée de trahir sa maitresse ne lui est pas des plus agréables et il n'est plus si à l'aise qu'il l'a laissé paraître à Bernard. Il se fait une raison en se disant que les conséquences de ce piège ne sont que libertines et qu'après tout, Anne y trouvera sans doute beaucoup de plaisir.


C'est donc rassuré qu'il l'appelle et lui demande si elle a envie de le revoir :


- Bien sûr ! Comment peux-tu en douter ? Justement, Bernard est en déplacement la semaine prochaine, pour deux jours... on pourrait en profiter !

- Super ! On se voit quand alors ?

- Mardi ?

- Non, je ne pourrais pas. Mercredi ?

- D'accord pour mercredi.

- Je dois te laisser. Je t'embrasse.

- Moi aussi, je t'embrasse... partout...

- Coquine...

- Tu n'aimes pas ?

- Devine ! Allez à mercredi alors... vers midi ?

- Vers midi.


Tout est en place !


Le soir, en rentrant chez lui, il découvre Véro, allongée sur la terrasse, dans le plus simple appareil.


- La vie est belle !

- Hum... j'avais envie de profiter du soleil... ça te gêne de me voir nue ?

- Idiote !

- Sers-nous un petit verre et rejoins-moi !


Depuis la découverte de son infidélité et les deux expériences vécues, Véro s'est totalement transformée. Elle n'hésite plus à sortir sans culotte, à arborer de profonds décolletés et, à la maison, elle chaque chaque jour un peu plus chatte, un peu plus aguicheuse. Rien que pour cela, Jacques ne regrette pas ce qui s'est passé !


Il la rejoint donc, avec deux verres de vin cuit, se met lui aussi nu et s'assied en tailleur à côté d'elle. Il se penche, dépose un bisou sur ses lèvres puis ils trinquent. Tout naturellement, il poste un main sur la jambe et la caresse, du mollet au genou puis à la cuisse. Ils discutent de la journée passée ; Jacques ne lui demande pas si elle a revu son amant et c'est elle qui, après une légère hésitation, lui demande :


- Bernard a appelé ce matin... il voudrait savoir si on peut se revoir...

- Et ? Tu lui as dit quoi ?

- Qu'il fallait que je t'en parle avant...


Il ne le montre pas mais Jacques est heureux, et quelque peu rassuré il faut bien l'admettre, d'apprendre qu'elle attend son aval pour avoir de nouvelles relations avec Bernard.


- Tu en as envie ?

- En fait, je ne sais pas... depuis l'autre soir, notre couple a retrouvé un nouvel élan et je suis largement satisfaite avec toi...

- J'avoue que cette étincelle est arrivée à point nommée... mais ça ne me dit pas si tu as encore envie de lui.

- Et toi ? Tu as envie que je le refasse ?

- Pour tout te dire, en lisant ton récit, j'ai eu très peur que tu ne m'aimes plus. Depuis, je crois savoir que ce n'est pas le cas, que tu as toujours des sentiments pour moi et te savoir en train de baiser avec un autre type m'excite plus que me dérange... alors, si tu en as envie, tu as mon accord. Aux seules conditions que je le sache avant et que tu me racontes après.

- Tu es adorable. Je te jure que je respecterai à la lettre ces deux conditions...


Durant leur conversation, la main de Jacques est remontée et ses doigts caressent maintenant doucement le mont de Vénus. Véro apprécie ces effleurements et écarte un peu plus les jambes.


- Hum... j'adore quand tu me caresses comme ça...


Vu la moiteur de l'endroit, Jacques l'avait deviné ! Il poursuit et s'attarde un peu plus sur le clitoris, déjà dressé, tirant quelques gémissements à son épouse.


- Fais-le toi ! J'ai envie de te regarder te branler...


Véro remplace la main de son mari par la sienne et se masturbe, alternant caresses sur son bouton et pénétration par un puis deux doigts. Il la regarde, admirant son visage qui, au gré de ses caresses, trahit le plaisir ressenti. Il ne résiste pas à se masturber lui aussi, lentement, amenant son érection au maximum. Sa femme le regarde faire avant de lui dire :


- Mon chéri... viens... j'ai envie de toi...


Elle s'installe à quatre pattes, les reins cambrés, les cuisses écartées, offerte. Jacques s'installe derrière elle, l'empoigne par les hanches et, d'un puissant coup de reins, investit son sexe. Véro l'accueille par un long râle, tendant un peu plus encore ses fesses au devant de cette barre qui la pourfend, pour son plus grand bonheur.

Jacques la baise ainsi un bon moment, parvenant à se retenir avec difficulté, puis, sentant que la jouissance est toute proche, il sort de la chatte de son épouse, pose son gland contre son petit trou et pousse, s'enfonçant lentement. L'étroitesse du cul de Véro vient à bout de sa résistance et, avant même d'avoir réussi à la pénétrer complètement, son orgasme survient et, dans un cri, il se déverse en elle, ses jets fusant dans les reins de sa chérie.

Son éjaculation déclenche l'orgasme de Véro qui, à son tour, pousse un long râle et jouit, la queue de son mari fichée au plus profond de son cul.


Vous aimez toujours ? J'attends vos comm pour écrire la suite... si vous en avez envie, bien sûr !
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