Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 10:48
Dernière ligne droite avant leur première soirée en club...

Le lendemain matin, après une bonne douche, je monte dire au revoir à ma chérie. J'entre dans la chambre et la découvre, endormie, sur le dos, nue, le corps offert. Je saisis l'appareil photo et fait quelques clichés. Je dépose un léger baiser sur son front puis m'apprête à quitter la chambre sur la pointe des pieds quand je l'entends me demander :


- C'est déjà l'heure que tu partes ?

- Hélas oui...

- J'avais envie de prendre le café au lit... tu ne peux vraiment pas rester juste une petite demie-heure ?


Comment résister ?


- Je t'amène ton café... et je m'en ressers un. Tu veux une biscotte ?

- Avec plaisir ! Je ne sais pas ce que j'ai, je meurs de faim !


À mon retour, Catherine est assise en tailleur. Je pose le plateau à côté d'elle mais elle le prend et l'installe sur ses genoux.


- Viens à côté, j'ai envie de te sentir contre moi ! Et déshabille-toi, tu vas froisser tes vêtements !

- Oh, toi, je te vois venir...

- Qu'est-ce que tu vas imaginer ? J'ai juste envie de commencer la journée avec toi près de moi.

- J'adore ce genre de déclaration.


Je dépose un baiser sur le coin de ses lèvres puis nous dégustons notre café, Catherine avalant trois biscottes en moins de temps qu'il en faut pour le dire ; une vraie affamée !


Ma tasse vide, je la repose et ma main, tout naturellement, trouve la cuisse de ma chérie. Je la caresse doucement, tout en la regardant avaler son café. Peu à peu, je remonte et retrouve son minou encore endormi.


- Et c'est à moi qu'on prêtait des intentions salaces !!

- C'est de ma faute si je ne peux pas te résister ?


Mes doigts parcourent les grandes lèvres, encore closes, remontent masser le pubis. Catherine, les yeux mi-clos, savoure ces attentions, heureuse de ce réveil. Remarquant le gode sur la table de nuit, je le prends et le fait aller et venir le long de la fente, maintenant ouverte. Quelques soupirs confirment le bien-être de ma belle et j'ai alors envie de jouer les voyeurs. Je cesse mes caresses ; Catherine ouvre les yeux et me lance un regard interrogateur :


- Ne me dis pas que tu vas me laisser comme ça ?

- Non, tout simplement, j'ai envie de te regarder faire...

- Tu veux que je me... masturbe ? Avec ça ?

- Et oui ! Je veux que tu te branles devant moi.


Hésitante, elle ne bouge plus. Je lui mets le joujou en main et m'installe face à elle. Je n'attends pas longtemps avant de la voir diriger le faux sexe sur sa chatte. Elle le passe et repasse sur sa fente, s'attarde sur son bouton qu'elle titille, augmentant peu à peu la vitesse des vibrations.

Peu à peu, le gode la pénètre, d'abord le gland puis lentement, comme pour faire durer au maximum le plaisir, le reste de la hampe. Catherine entame de lents va et vient, s'amusant à varier la vitesse. Son autre main ne reste pas inactive et ses doigts se referment sur ses tétons, les pinçant, parfois assez fortement, parcourant ces deux globes.


- Mon chéri... c'est bon... je vais jouir...

- Caresse-toi le petit trou... oui... voilà... enfonce un peu ton doigt !


Devant mes yeux ébahis, Catherine, suit mes demandes à la lettre, pénétrant son cul. Je suis comme fou de la voir aussi obéissante, elle qui d'ordinaire, n'aime guère que je lui donne des ordres. Autant en profiter !


- Sors le gode de ta chatte et mets-le dans ton cul !


Elle relève les jambes, les écarte au maximum, m'offrant une vue imprenable sur son petit œillet. Je la regarde appuyer doucement le gland contre sa rondelle et fais quelques photos. Mon sexe est tendu comme jamais et j'ai le plus grand mal à me retenir de me jeter sur ma chérie pour la baiser.

Le gode va et vient en elle, de plus en plus rapidement. La bouche ouverte, Catherine savoure cette sodomie, faisant varier la fréquence des aller et retour, l'autre main titillant son bouton ou branlant sa chatte.

J'ai l'impression que ma chérie n'est pas loin de connaître son premier orgasme anal. Soudain, elle pousse un cri rauque ; trois doigts enfoncés dans sa chatte et le gode totalement fiché dans son cul, elle jouit longuement, les yeux révulsés, le souffle court, le corps tendu. Je ne me souviens pas l'avoir vu avoir un orgasme aussi puissant. J'immortalise la scène puis, ouvrant les yeux, Catherine me sourit et dit :


- Mon chéri, viens vite ! Donne moi ta queue ! Je veux boire ton jus !


Je lui donne mon sexe qu'elle s'empresse d'avaler. Je regarde ses lèvres arrondies autour de ma hampe, ses joues déformées par mon gland. Elle caresse mes couilles d'une main puis, soudain, je sens quelque chose peser contre ma rondelle. Elle me lâche et, souriante, me dit :


- Tu as le droit d'y goûter toi aussi !


Sans plus attendre, elle appuie le gode contre mon muscle et viole mon cul. Je suis surpris de ne pas ressentir un douleur plus forte, bien au contraire, mon cul gobe cet intrus sans trop de résistance et le plaisir cède vite la place à la gêne.

Sous les caresses buccales de ma chérie et cette pénétration, je ne résiste guère et quelques minutes suffisent pour que, dans un râle, je jouisse à mon tour. Comme hier soir, Catherine ne me lâche pas et je me vide à longs jets dans sa bouche.


Cela fait des lustres que nous n'avions vécu un réveil de la sorte ! Ce n'est pas tout mais il est plus que temps pour moi d'abandonner, à regret, ma petite chérie, pour aller au bureau. Un dernier baiser, un passage express à la salle d'eau et je file.


Dans la matinée, je reçois un coup de fil de Pierrick. Mon ami me propose de déjeuner ensemble ce midi, ce que j'accepte volontiers.

À table, il aborde bien évidemment la visite de sa femme chez nous et sa proposition, insistant sur le fait que rien ne nous oblige à participer à d'éventuels ébats.


- Rassure-toi, nous l'avons bien compris... en plus, vous me donnez l'occasion de réaliser un fantasme de jeunesse que je croyais enfoui à jamais...

- Je voulais aussi te demander...

- Oui ?

- Comment dire ? Voilà ! Si jamais... je... enfin... si Catherine...

- Pour faire bref, tu veux savoir comment je réagirais si Catherine et toi baisiez ensemble, c'est ça ?

- Si j'accepte qu'elle le fasse avec des inconnus, ce n'est pas pour refuser qu'elle et toi en fassiez autant... mais toi, si Guéna et moi...

- Aucun problème, je te rassure.


Rassuré, Pierrick me raconte alors quelques bribes de leurs soirées au Must. Il met l'accent, comme s'il avait encore un doute sur notre venue, sur le plaisir qu'il a pris à voir sa femme dans les bras d'autres partenaires, hommes et femmes. Je lui demande alors :


- Et toi ?

- Moi quoi ?

- Tu l'as fait avec d'autres mecs ?

- Pas vraiment... en fait, une fois, je me suis retrouvé avec une queue appuyée contre mes lèvres. Il s'agissait de celle du mari de la femme que j'étais en train de baiser...

- Et ?

- Je ne sais pas ce qui m'a pris... l'ambiance, l'excitation... toujours est-il que mes lèvres se sont ouvertes et que j'ai fait ma première pipe.

- Tu as aimé ?

- À vrai dire, je n'ai pas détesté... il faut tout de même signaler que j'étais plus concentré sur la femme que sur le mari. Tu aimerais toi ?

- Quoi ? Sucer un mec ? Je n'y ai jamais pensé... je ne sais pas.. peut-être que, comme toi, pris dans l'ambiance...


Le repas se termine sur une conversation plus conventionnelle et nous nous quittons en nous donnant rendez-vous chez nous samedi soir.


Samedi 19h30

Depuis hier matin, je ne peux m'empêcher de penser à notre soirée. Hier soir, comme la veille, notre libido était au zénith et nous avons fait l'amour une bonne partie de la nuit. Ce n'est que vers trois heures du matin que le sommeil s'est emparé de nous deux. Heureusement, nous avons pu récupérer et nous sommes levés à onze heures.

La journée est passée bien vite et maintenant, un peu tendus, mais surtout très excités, nous attendons nos amis à qui nous avons proposé de prendre l'apéritif avant d'aller diner. Je regarde ma chérie ; vêtue d'un léger chemisier, somme toute assez sage, et d'un jupe qui dévoile à peine son genou. Comme Guéna la lui a dit, les hommes du club ne détestent, loin s'en faut, découvrir le corps du femme, mis en valeur par une tenue pas trop légère. Le plaisir de dévoiler fait partie du jeu de la séduction.


Coup de sonnette. Nos amis nous rejoignent au salon. Je remarque que la tenue de Guéna ne diffère guère de celle de Catherine, si ce n'est qu'on peut deviner l'absence de soutien-gorge.

Alors que nos deux chéries nous laissent quelques minutes pour, selon Guéna, "se rafraîchir un brun", Pierrick me dit :


- Alors voilà ! Nous y sommes ! Toujours décidés ?

- Plus que jamais... même si je ne peux nier une légère appréhension...

- Sois tranquille ! Comme je t'ai dit, il s'agit d'un endroit où la valeur première est le respectde l'autre. Nul ne force personne à quoi que ce soit !

- Ce n'est pas pour cela... disons que j'appréhende un peu la réaction de Catherine quand elle se retrouvera dans les bras d'un autre... ou d'une autre...

- Je comprends. Mais si elle ne veut pas, elle n'aura pas à le faire.


Le retour de nos épouses interrompt la conversation. Je sers l'apéritif et nous trinquons à notre soirée.



@ suivre ? Cela dépend de vous...
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