Lundi 30 juillet 1 30 /07 /Juil 13:47
Fin de cette soirée... et donc de cette histoire.

Nous nous relevons à notre tour. À côté de nous, Guéna subit les assauts de Michel tout en suçant, comme elle peut, un sexe passé par un trou de la cloison. Pierrick, pour sa part, et à ma grande surprise, est lui aussi à quatre pattes et suce une autre sexe masculin, sous les yeux de sa femme. Catherine me regarde en souriant et me demande :


- Tu le savais bi ?

- Pas du tout ! Je n'en reviens pas !

- Tu veux essayer ?

- Quoi ? Tu veux que je suce une bitte d'homme ?

- Une bitte de femme, ça risque d'être plus compliqué, répond ma chérie en riant.


Voir le sexe de Franck tout à l'heure aller et venir dans la chatte de ma chérie m'a troublé plus que je ne l'aurais pensé. Pourtant, de là à en prendre un en bouche... j'avoue hésiter beaucoup.

À ce moment, un individu s'installe à son tour et un sexe de taille très moyenne passe par un trou, semblant quémander des caresses.


- On le fait tous les deux, d'accord ?

- D'accord. Celui-là, le nouveau... il n'a pas l'air trop gros...

- C'est parti !


On s'approche et d'une main hésitante, je m'empare du membre encore flasque. Je le caresse un peu et, sous mes doigts, il grossit et se redresse. À genoux tout contre moi, ma chérie me regarde faire, un sourire aux lèvres. À son tour, elle caresse la tige maintenant bien dure puis, peu à peu, la dirige vers mon visage, ma bouche. Sans réelle hésitation, je l'embrasse. Ma langue pour la première lèche un sexe masculin et je n'en éprouve aucune répulsion, aucun dégout. Je le relâche et le donne à ma chérie qui, sans hésiter, l'engloutit, le faisant coulisser entre ses lèvres gourmandes.

Nous nous passons cette queue inconnue, la suçant à tour de rôle, la caressant, en flattant les bourses. De l'autre côté du mur, les gémissements de son propriétaire nous indiquent qu'il apprécie notre traitement. Ma main libre flatte l'entrejambe de ma chérie, la faisant parfois sursauter lorsqu'une caresse se fait trop précise sur son bouton. Ses doigts vagabondent aux aussi sur moi, titillant agréablement mon membre tendu, mes cuisses, s'insinuant même parfois entre mes fesses pour agacer mon petit œillet.

Franck nous rejoint alors après une douche. Il nous regarde faire quelques minutes et je vois son sexe se redresser lentement. Qu'est-ce qui me prend à ce moment précis ? J'ai l'impression d'être hypnotisé par cette tige noire. Il semble s'apercevoir de mon trouble, s'approche et son gland effleure ma joue. Tournant à peine la tête, je gobe cette friandise et, comme si je l'avais fait depuis toujours, j'avale son membre le plus loin possible, à la limite de la suffocation. D'une main, je lui caresse les couilles, encore lourdes, que je devine pleines de jus d'amour. Il écarte un peu les jambes, comme pour m'autoriser une caresse un peu plus précise et je titille bientôt son petit trou, lui tirant quelques soupirs de plaisir.

J'ai totalement abandonné ma puce et me concentre sur ma fellation, y découvrant un plaisir insoupçonné. Un râle un peu plus fort me fait tout de même me tourner. Catherine vient de se faire asperger la poitrine par quelques jets particulièrement copieux. Le sexe disparaît du trou et ma belle se masse les seins, y étalant le jus. Elle me regarde, sourit et se joint à moi, désireuse de partager mon sucre d'orge. Je lui abandonne, presque à regret, la bitte de Franck et décide d'aller à mon tour prendre une douche.


Après cet intermède qui me fait le plus grand bien, je reviens dans la salle. Je suis surpris, et quelque peu inquiet de ne plus y trouver Catherine ni nos complices. Je poursuis donc mon exploration des lieux et les retrouve, sagement installés dans une salle de projection, en train de regarder un film X. Les deux copines sont allongées sur une banquette, côte à côte, et se caressent mutuellement, presque paresseusement. Les hommes sont eux aussi allongés, sur un matelas par terre, regardent d'un œil distrait l'écran, et un peu plus attentivement nos chéries. Je m'installe à mon tour et, à peine allongé, Franck se rapproche de moi. Ma main, tout naturellement trouve son sexe, pas encore en érection, et le caresse lentement. Il appuie un peu sur ma tête et, sans hésiter, je me penche en l'embouche à nouveau, retrouvant le plaisir de tout à l'heure. Je le suce doucement, comme je dégusterais une confiserie rare et délicieuse, comme pour faire durer ce bonheur de le sentir gonfler entre mes lèvres. Un gémissement tout près de moi me fait tourner les yeux. Pierrick est en train d'offrir la même gâterie à Michel, pour le plus grand bonheur de ce dernier. Nos chéries, amusées par le spectacle le commente dans le bonne humeur :


- Regarde un peu nos hommes ! On dirait de vrais petits homos !

- Oui. En plus, ils ont l'air de faire ça bien...

- Ça me donne envie de me faire bouffer la chatte... pas toi ?

- Hum... viens sur moi ma petite garce adorée !


Catherine s'allonge sur le dos, Guéna par dessus elle. Les bruits de succion et les soupirs résonnent au point de couvrir le son du film. Entre mes lèvres, la verge de Franck tressaute, signe avant-coureur d'un plaisir imminent. Effectivement, mon partenaire râle un peu plus fort et me préviens qu'il va venir. Je sors son sexe et le branle. Quelques va et vient suffisent pour l'amener à l'orgasme et ses jets s'écrasent sur son ventre. Je continue à le caresser doucement, jusqu'à ce qu'il débande. Michel, à son tour, éjacule, arrosant le torse de Pierrick qui étale le sperme sur sa poitrine. À côté, Guéna pousse un long feulement et succombe à son tour aux caresses et baisers de Catherine.

Ma femme, comme Pierrick et moi, n'a pas joui. Elle se relève, vient vers moi, me pousse sur le dos et s'empale sur ma queue dressée. Elle se penche sur moi et me roule un pelle particulièrement gourmande. Sa position donne des envies à notre ami ; il s'agenouille derrière elle, lui écarte les fesses et, lentement, prend possession de son cul qui est décidément à la fête ce soir. Ma chérie connait sa première double pénétration et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle l'apprécie ! Ses gémissements emplissent les lieux et elle ne se prive pas de commenter notre étreinte :


- Oh oui... c'est bon... j'aime vos deux bittes... allez-y ! Plus fort !


Pierrick et moi nous en donnons à cœur joie, la baisant à grands coups de reins, la faisant crier, hurler même parfois.


Ses cris attirent d'ailleurs un couple de curieux dont la femme ne parvient pas à détacher les yeux de ma chérie subissant ce double assaut. Son mari la fait mettre à quatre pattes à côté de notre trio et, d'un puissant coup de queue, l'embroche littéralement, lui tirant un long cri.


Catherine succombe une nouvelle fois ; se redressant, elle éjecte Pierrick de son cul et pousse presque un hurlement en jouissant. Puis elle s'effondre sur moi, le souffle court, les yeux révulsés. Je couvre son visage de baisers, lui caresse le dos, les fesses, mon sexe toujours en elle. Lentement, elle refait surface et par de légers mouvements du bassin et contractions de ses muscles intimes, masse ma verge. Je ne cherche pas à résister et, après quelques minutes, je jouis à mon tour, me déversant en elle. Nous échangeons un nouveau baiser et nous séparons, nous rasseyant sagement sur la banquette.


Le couple qui nous a rejoint s'est transformé en trio : Michel a en effet pris place face à la femme et celle-ci lui offre une fellation qui, à entendre les gémissements de notre ami, semble particulièrement agréable. Guéna, pour sa part, est assise entre son mari et Franck dont elle caresse les verges doucement. La femme du couple parvient à l'orgasme ; elle lâche le sexe de Michel et jouit, s'affalant sur le ventre, expulsant son mari. Ce dernier fait un signe à notre ami qui saisit la femme par les hanches et s'enfonce en elle sans hésiter. Ses coups de reins amènent rapidement sa partenaire au plaisir et c'est dans un véritable cri qu'elle jouit à nouveau. La maintenant fermement, Michel ne cesse pas pour autant ses va et vient et on a l'impression qu'il lui offre orgasme sur orgasme tant elle ne cesse de crier.

Vers quatre heures du matin, totalement vidés, au sens propre comme au sens figuré, nous quittons le Must. Je sais déjà que cette première soirée sera suivie d'autres, pour notre plus grand plaisir.

FIN

Ecrire un commentaire
Voir les 3 commentaires
Retour à l'accueil

Commentaires

jador tes histoir surtou celle ou tu suce un homme moi osi jpratique et jador,tu devrai essayer de te faaire gicler dessu c tro bon;.continu t histoir stp

commentaire n° :1 posté par : Anubis le: 24/08/2007 à 15h32
Merci pour ce com sympa. Encore quelques uns comme celui-là et j'aurais sans doute de nouveau envie de publier...

@miiiés
réponse de : Chris le: 25/08/2007 à 11h28
plus nous lisons vos histoires et plus nous les aimons,elles sont vraiment excitantes et bien ecrites,un episode uro nous comblerais ,merci et continuer
commentaire n° :2 posté par : jean e louise le: 11/12/2007 à 21h22
Bonjour et merci pour ce comm sympa.

Uro... pourquoi pas en introduire un peu ? Voilà une idée que je devrais reprendre très bientôt...

Bien amicalement,
Chris
réponse de : Chris le: 12/12/2007 à 11h15

Le texte est très prenant. Merci

commentaire n° :3 posté par : Candaul 84 le: 15/07/2011 à 11h00

Flux

  • Flux RSS des articles

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés