Lundi 31 décembre 1 31 /12 /Déc 16:30
Chères lectrices et chers lecteur,

Afin de terminer l'année 2007 en beauté et de vous souhaiter dès aujourd'hui une excellente année 2008, pleine de plaisirs, en particulier celui de me lire ;-), je vous livre le début de cette nouvelle histoire. J'espère qu'elle vous plaira tout autant que les précédentes.
Encore une fois, bonne et heureuse année 2008 !!

Il y a bien longtemps que je fantasme sur le fait de voir ma femme offerte, soumise, à un ou plusieurs hommes ou femme. Il m'est arrivé plusieurs fois de lui faire part de ce vœu, lors de nos ébats. Si, au début, elle y paraissait farouchement opposée, l'idée semblait, avec le temps, avoir fait son chemin et son refus s'était fait moins franc, moins catégorique. Je ne désespérais donc pas de parvenir un jour à mes fins.


L'occasion s'est présentée il y a peu, d'un façon tout à fait inattendue. Je discutais de tout et n'importe quoi avec un de nos meilleurs potes, très branché vieilles pierres et qui, avec sa femme, est en train de terminer la restauration d'un ancien château. Il m'a fait visiter les lieux et en particulier, au sous-sol, une pièce qui avait dû servir jadis de salle des tortures. Des chaînes pendaient encore aux murs et le mobilier se réduisait à une table pourvue de liens qui devaient être utilisés, cela ne fait aucun doute, pour maintenir le supplicié en place et un croix, fixée contre un mur, elle aussi pourvue de chaînes.

  • - Après quelques travaux d'aménagement, je suis certain qu'on pourra bien s'amuser ici, déclare Yves.

  • - Ne me dis pas que tu es branché sado-maso ?

  • - Pas vraiment SM, non ! Par contre, je ne suis pas contre un peu de soumission, ni quelques petites fessées, tant que cela se fait entre adultes consentants...

Mon air étonné le fait sourire et il poursuit :

  • - Tu n'a donc jamais eu envie de donner quelques petites claques sur les fesses de Catherine ?

  • - Euh... si... c'est vrai... mais vous ? Enfin, toi et Véronique... vous... tu la fesses ?

  • - Ça nous arrive... et ma chérie n'est pas contre une petite correction de temps en temps... à condition que cela reste raisonnable, bien sûr. Hors de question d'abîmer son petit popotin et nous avons eu par le passé une expérience de soumission qui nous a laissé un excellent souvenir.

  • - Ah Bon !?

  • - Une amie de Véro avait souhaiter être, l'espace d'un week-end, notre... disons... bonne à tout faire... et elle a vraiment TOUT fait, obéi à nos demandes, celles de Véro comme les miennes. Une vraie perle !

  • - Ça alors ! Je n'aurais pas cru ça de vous... surtout de ta femme. Elle paraît si douce...

  • - Elle l'est, crois-moi ! Mais elle peut aussi se montrer beaucoup plus autoritaire. Enfin, c'était le cas cette fois là.

Si je suis surpris, et c'est le moins que je puisse dire, je suis également très intéressé par cette révélation. Je sais que ma chérie trouve notre couple d'amis très sympa mais aussi très attirant. Nous n'avons jamais vécu d'expérience à plusieurs mais je suis persuadé que Véro et Yves seraient, pour Catherine, des partenaires tout à fait envisageables. Je meurs d'envie de révéler mon fantasme à mon ami mais, avant que j'ai pu dire un mot, il me demande :

  • - Tu t'imagines Catherine attachée à cette table ? Livrée à notre bon vouloir ?

Ce diable d'Yves est-il devin ? Comment a t-il pu deviner ? Ou est-ce un pur hasard ? Toujours est-il que je n'ai plus aucune raison de taire ce dont je rêve depuis si longtemps.

  • - J'avoue que ce que tu viens de me révéler me trouble énormément. J'adorerais offrir Catherine à un homme, ou un couple, la voir soumise à leurs envies, la voir jouir sous leurs caresses, sans pouvoir s'y dérober.

  • - Si tu le veux, on pourrait tenter de l'y amener. Je te rassure tout de suite, pas question de la forcer à quoi que ce soit ni d'insister si elle ne veut pas. Rien n'est plus précieux que notre amitié et je n'envisage pas de la perdre pour une bête histoire de cul.

  • - C'est bien comme ça que je l'entends...

  • - Dans ce cas, dès que l'aménagement le permet, on tente le coup !

Cette conversation s'est déroulée il y a presque trois mois et ce soir, en reconnaissant la voix de notre ami au téléphone, elle me revient immédiatement à l'esprit. Je me tourne vers ma chérie :

  • - Puce ! Véronique et Yves nous invitent à passer le week-end en quinze chez eux.

  • - Génial ! Depuis le temps qu'on ne s'est pas vu !

Yves ne fait aucune allusion à notre discussion et je me demande s'il ne l'a pas tout simplement oublié. Peu importe, passer deux jours avec eux me réjouit beaucoup.


Jour J. Sitôt mon dernier client expédié, je quitte le bureau, direction la maison pour une bonne douche avant de filer chez nos amis.

La circulation, dense en ce vendredi soir, nous retarde et c'est vers vingt heures seulement que nous parvenons au château. À peine ai-je sonné que Véro nous ouvre, comme si elle attendait derrière la porte. Je lui offre le bouquet de roses et, après nous avoir fait entrer, nous nous embrassons, rejoints par Yves à qui je tends la bouteille de Champagne.

Nous leur présentons nos excuses pour ce retard, leur expliquant qu'il n'est en aucun cas notre fait. Yves ne me laisse pas terminer ma phrase et dit :

  • - Ce n'est pas bien grave... même si vous mériteriez d'être punis...

Il a dit cela avec un grand sourire rassurant mais en me faisant un clin d'œil discret. Je sais à ce moment là qu'il n'a rien oublié !


La soirée se passe dans une ambiance comme d'habitude excellente, les discussions essentiellement axées sur les travaux entrepris par nos amis pour Yves et moi et les sempiternelles questions de fringues pour nos épouses.


Après le café, notre hôte nous invite à découvrir les pièces pour lesquelles les travaux sont définitivement terminés. Nous découvrons ainsi quelques pièces aux dimensions impressionnantes et dont la décoration est sans aucune faute de goût.

  • - Nous allons maintenant vous faire découvrir un des endroits les plus singuliers de cet endroit... sans doute celui dont nous sommes les plus satisfaits du résultat.

Nouveau signe de sa part et je comprends le but de notre visite. Un sentiment étrange s'empare de moi : mélange d'excitation à la pensée de voir se réaliser mon fantasme et inquiétude quant à la réaction de Catherine. Yves ouvre la porte de la pièce en question ; les dés sont jetés !

  • - Oh, la, la ! C'est quoi cet endroit ?

  • - L'ancienne salle des tortures du château ma chère

  • - Ancienne mais totalement refaite... ne me dites pas que vous l'utilisez... pour torturer vos invités...

  • - Torturer ! Voilà un mot un peu trop fort ! Pas question de faire souffrir qui que ce soit ! Ici tout est fait, ou plutôt sera fait, pour le plaisir de nos visiteurs !

  • - Tout sera ? Ainsi donc, elle n'a jamais servie ?

  • - À part à nous deux, jamais en effet... pour l'instant...

Yves ne semble pas encore prêt à aller plus loin et sa femme en profite pour nous montrer ce que renferme l'armoire imposante. L'ouvrant, elle dévoile à nos yeux curieux des étagères sur lesquelles trônent martinets, menottes, godemichés et autres instruments dont il n'en nul besoin de nous en préciser l'usage.

Pour l'instant, Catherine ne semble pas offusquée par cet étalage ; elle me paraît même quelque peu troublée en prenant en mains divers joujoux que lui tend notre amie.


Vient le moment où Véro l'amène face à la fameuse table :

  • - Elle est d'origine, vous savez ! On l'a juste rendue un peu moins inconfortable et rajouter cela, dit-elle en posant la main sur un des deux étriers.

  • - Ça alors ! Elle a dû en voir passer des souffrances !

  • - Je n'en doute pas... désormais, elle ne connaîtra plus que des jouissances, ce qui, reconnaissons-le, est bien plus intéressant !

  • - Je suis d'accord avec toi...


Ma chérie semble avoir les plus grandes difficultés à trouver ses mots dans ses étrange endroit, visiblement plus émue qu'elle ne le paraît.

  • - Tu veux être la première à l'essayer ?

Ça y est ! L'instant à la fois espéré et redouté est arrivé. Véro, en posant cette question, vient de faire basculer la soirée ! De quel côté, nous ne le savons pas encore, suspendus aux lèvres de Catherine. Dans un premier temps, elle ne répond pas, comme déroutée par la proposition qui vient de lui être faite.

  • - Tu... tu... tu veux que je m'installe là-dedans ? Mais... pourquoi ?

  • - Pourquoi ? Tu le verras bien ! Alors ?

Ma chérie se tourne vers moi. Je lis dans ses yeux un mélange d'envie et de peur. Je ne dis rien, me contentant de lui sourire. Jamais je ne l’ai vu aussi hésitante, presque perdue par ce qui lui est proposé ! Puis, elle s’approche de la table, à la toucher, avant de s’immobiliser à nouveau. Nous la sentons prête à se décider, à se lancer malgré son appréhension. Véro décide de tenter le tout pour le tout. Elle s'approche de son amie et, posant ses mains sur sa taille, lui murmure :

  • - Je suis sûre que tu as envie de te laisser tenter... sûre aussi que tu devines tout le plaisir que tu peux en tirer...

Elle embrasse tendrement ma femme dans le cou, tandis que ses mains lui caressent les hanches.

  • - Tu n'as pas peur quand même ? Tu nous fais confiance ?

  • - Euh... oui...

Cette fois, Yves me lance un grand sourire, certain de la suite de la soirée. Une excitation monte en moi et je sens mon sexe se raidir. Lentement, comme pour ne pas l’effaroucher, Véro déboutonne le chemisier de Brigitte, fait glisser la jupe au sol. Ma chérie se retrouve alors, pour la première, en dessous sexy devant quelqu’un d’autre que moi, et bientôt totalement nue quand Véro entreprend d'ôter ses deux derniers remparts de dentelle. Elle l’aide enfin à s’allonger et à s’installer, les pieds dans les étriers. Puis elle l'enchaîne, ne rencontrant aucune résistance, aucun refus quand elle referme les menottes sur les poignets. Seul un frémissement secoue son corps au moment où elle se rend enfin compte qu'elle se retrouve ainsi totalement privée de liberté.

  • - Maintenant, ma chérie, te voilà à notre merci, ton corps offert à nos caresses, à nos baisers.

Sa phrase à peine terminée, elle pose une main sur le ventre de ma chérie, lui donnant la chair de poule. Doucement, ses doigts caressent la peau nue, d’abord le ventre, comme pour ne pas effaroucher Catherine.


Les yeux mi-clos, ma chérie savourent ces doigts sur elles, je remarque que sa poitrine se soulève un peu plus fort, un peu plus rapidement.

@ suivre...
J'espère que vous avez pris plaisir à découvrir cette nouvelle histoire.
Ecrire un commentaire
Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Flux

  • Flux RSS des articles

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés