Dimanche 20 janvier 7 20 /01 /Jan 16:14
La soirée continue... et j'espère que vous l'appréciez toujours autant !!

Près de nous, Véro savoure les coups de bitte de son mari et gémit sans discontinuer. Rapidement, elle parvient à son tour à l'extase et, dans un dernier long gémissement, elle jouit, les yeux révulsés, les fesses tendues au devant du sexe qui la fouille. Elle s'affale sur le ventre, éjectant en même temps son mari qui, après un coup d' œil circulaire, déclare :


  • - Je vous propose d'arroser cette soirée avec une coupe de Champagne !

  • - À la bonne heure ! Déclare, ravie, sa femme. Je meurs de soif !

  • - Moi aussi ! Ose ma chérie.

  • - Ma petite Catherine, dans ta position, tu n'es guère en mesure de demander quoi que ce soit...

C'est la première fois qu'Yves s'adresse ainsi à elle et je me demande s'il n'est pas allé un peu trop loin. Je suis donc pour le moins surpris d'entendre ma chérie lui répondre :


  • - Pardon... cela ne se reproduira plus...


Véro et Yves me jettent un regard où se mélangent surprise et surtout satisfaction de voir ainsi ma chérie si rapidement obéissante.


  • - Je l'espère bien. En attendant, j'accepte de te détacher mais à la seule condition que tu restes à notre entière disposition, que tu nous obéisses sans rechigner... dans le cas contraire, tes adorables fesses pourraient en souffrir... Alors ?

  • - J'accepte... tout ce que vous voudrez...


Je n'en reviens pas !


Avant de la libérer, Yves lui enserre le coup d'un collier auquel il attache une chaîne. Se tournant vers nous, il demande :


  • - Qui veux en profiter en premier ?

  • - Honneur aux dames !

  • - Soit. Ma chérie, je te confie notre petite esclave...


Nous retournons au salon pour y déguster un verre qui, il est vrai, nous fait un bien fou. Après ce rafraîchissement, Véro se tourne vers ma chérie et lui dit, ou plutôt lui ordonne :


  • - Tu n'es pas parvenue à me faire reluire tout à l'heure... tu as joui trop vite. Termine donc ce que tu as commencé !


Elle s'installe sur la table, sur le dos, jambes largement écartée et, tirant sur la chaîne, attire Catherine tout contre elle.


  • - Tu aimes ça, hein, me bouffer la moule ?

  • - Oui...

  • - Alors, vas-y ! Régale-toi !


Ma puce se penche sur la fourche et sa bouche prend possession de la fente de notre amie, la faisant instantanément gémir.


  • - Oh, putain que tu lèches bien... une vraie petite gouinasse... oui, comme ça... entre ta langue ! Franck, j'ignorais à quel point ta femme était cochonne. Je sens qu'on va rattraper le temps perdu... oh oui... c'est bon... Franck, bouffe-lui le cul pendant qu'elle me broute... il faut le préparer pour tout à l'heure...


Je m'accroupis derrière ma chérie et lui embrasse, d'abord les fesses, puis la raie, la parcourant longuement de la langue, comme je sais qu'elle apprécie.

Yves s'approche et lui masse le cul, assez fermement, écartant parfois les deux globes pour admirer le petit trou fripé.


  • - Regardez-moi cette cochonne ! Elle bois mon jus en offrant son trou de balle à mon mec... t'es vraiment la reine des salopes, ma petite Catherine.


Loin de l'offusquer, le langage pour le moins crû de notre amie émoustille Catherine qui se cambre un peu plus encore.

Mes baisers se concentrent sur le petit œillet que ma chérie offre sans rechigner, bien au contraire. Yves, lui, lui pelote fermement la poitrine, lui tirant parfois un petit cri de douleur. Je parviens, après quelques minutes, à pénétrer son petit cul du bout de la langue, me régalant de cette saveur un peu épicée dont je ne me lasse pas. Yves a abandonne ses caresses et revient bientôt en me tendant un gode dont la taille semble étudiée pour l'apprentissage anal. Je me relève et ponte le bout du joujou contre le petit trou de Catherine. Doucement, je pousse et regarde l'olisbos s'enfoncer, plutôt facilement. Je le fais aller et venir, d'abord lentement puis de plus en plus rapidement, augmentant en même temps la vitesse des vibrations. Ma pauvre chérie a le plus grand mal à rester concentrée sur ses caresses, au plus grand dam de Véro qui me demande de ralentir :


  • - Vas-y doucement mon cher Franck ! J'ai trop envie que ta chérie me fasse jouir ! T'inquiète pas ! Elle aura sa dose tout à l'heure !


Je ralentis donc mes va et vient et, peu après, notre hôtesse, sous les coups de langue de ma chérie, succombe dans un long cri, le visage de Catherine plaqué contre sa fente.


Elle la repousse, devenue trop sensible et, se relevant, déclare :


  • - Jamais on ne m'a aussi bien sucé la chatte ! Ma chère Catherine, viens ici que je t'embrasse !


Elle prend le visage de ma femme entre ses mains, l'attire contre le sien et lui offre sa bouche pour une longue et tendre pelle, qui contraste avec son comportement de tout à l'heure.


Après leur étreinte, Yves reprend la chaîne des mains de sa femme et, attirant Catherine contre lui, déclare :


  • - À mon tour d'en profiter un peu... prends la place de Véro, j'ai envie de te lécher la chatte moi aussi !


Et voici Catherine allongée sur la table, jambes écartées, sexe offert. Yves commence par passer un doigt le long de la fente, du petit bouton au petit trou.


  • - Hum... elle est trempée comme j'aime...


Il enfonce le pouce dans la grotte et l'index entre les fesses, faisant frémir ma chérie qui le regarde faire.


  • - Tu aimes qu'on te branle ainsi, n'est-ce pas ?

  • - Oui...

  • - Dis-le mieux que ça !

  • - Oui... J'aime qu'on me branle comme tu le fais.

  • - Tu vois quand tu veux ! Je vais te mettre un autre doigt dans le cul, tu vas aimer, pas vrai ?

  • - Oui... je vais adorer tes deux doigts dans mes fesses... vas-y !


Le majeur rejoint l'index dans le fondement de Catherine qui gémit un peu plus fort. Puis, Yves se penche sur elle et sa langue remplace ses doigts sur la fente. Il la lèche avec gourmandise, se régalant visiblement de son jus intime.


Mon excitation est à son comble et Véro, me regardant, s'en aperçoit. Aussitôt, elle me fait asseoir sur une chaise et, sans autre forme de procès, vient s'empaler sur moi, dans un long soupir. Les bras autour de mon cou, elle m'embrasse voracement, visiblement bien excitée elle aussi. Je la tiens par les fesses, la faisant monter et descendre le long de ma colonne. Elle m'offre sa bouche, ses seins puis encore sa bouche, comme si sa vie en dépendait.


  • - Jamais je n'ai été aussi excitée ! Jamais je n'ai pris autant de plaisir que ce soir !

  • - C'est pareil pour moi. Je n'aurais jamais imaginé vivre une telle soirée.


Tout près de nous, ma chérie semble être sur le point de connaître un nouvel orgasme.


  • - Yves, continue... oui... j'aime... oh... c'est bon... je... ahhhhh... je jouis...


Dans un long cri, elle succombe au plaisir, le corps tendu, comme pour mieux sentir les doigts qui la fouillent. Yves se relève, le menton luisant du plaisir de ma femme.

Catherine reste elle allongée, inerte, les bras en croix, symbolisant à la perfection ce que certains appellent "la petite mort".

Sur moi, Véro se déchaîne ; les mains sur mes épaules, c'est elle qui imprime le rythme de notre chevauchée. Elle m'offre ses seins, me demandant de les caresser sans ménagement, ce que je fais avec d'abord une légère appréhension puis, devant ses cris de plaisir, plus fermement, n'hésitant pas à tirer sur les tétons, à les pincer entre mes dents. Ses cris emplissent la pièce et bientôt, elle parvient à l'orgasme :


  • - Oh oui... je vais venir... j'aime ta queue Franck... elle me ramone bien... ah... oh... ça y est !! Ouiiiii !!!


Nous faisons une nouvelle pause, buvons une nouvelle coupe et Yves me tend la chaîne :


  • - À ton tour cher ami. As-tu une idée de ce que tu veux faire avec ta charmante et docile épouse ?

  • - Voyons... je crois que son attitude ce soir mérite d'être corrigée... ne m'a t-elle pas trompé avec vous deux ? J'envisage donc de lui donner la fessée à laquelle elle a droit.


Un frémissement parcourt le corps de Catherine mais elle ne dit rien, ne bronche pas.


  • - Si tel est ton désir, je te propose de retourner en bas.

  • - Soit. Allons-y. Avance petite cochonne !


Je ne sais pas ce qui m'a pris de lui parler ainsi. C'est sorti tout naturellement et je lis dans les yeux de ma chérie qu'elle ne s'en fâche pas, au contraire. Les yeux baissés, elle nous suit jusqu'à la salle des tortures. Arrivés là, Yves me reprend la chaîne et installe Catherine contre la croix, dos tourné à nous, fesses exposées, prête à subir sa punition.


Cette histoire vous plait toujours ? Si tel est le cas, dites-le moi que je me penche sur la suite...
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