Vendredi 19 mars 5 19 /03 /Mars 16:08
Un agréable moment pour ce couple et leur ami...

-
Tu me trouves beau mec ?
- Euh... oui... bien sûr ! T'es plutôt mignon...
- Et t'aimerais baiser avec moi ?

Sylvie est à deux doigts de s'étrangler en entendant la question. Elle lui lance un regard où se mêlent étonnement et colère.

- T'en as de ces questions ! T'entends ça mon chéri ?

Son mari, visiblement aussi interloqué qu'elle, ne sait que dire. Pierrick est leur ami depuis bien longtemps et jamais il ne s'est comporté ainsi. Pourtant, loin de le mettre en colère, la question attise sa curiosité. Il sait que Sylvie trouve leur ami bel homme, il vient d'ailleurs d'en avoir confirmation, et il devine qu'elle ne dédaignerait pas une partie de jambes en l'air avec un mâle de ce gabarit. Ce qu'il ignore, c'est si elle est capable de réaliser cette envie ou si la pudeur l'en retient.

- De toute façon, avec ton physique, tu as largement le choix de gonzesses... plus jeunes et moins moches que moi !
- Deux choses : primo : tu n'es ni vieille ni encore moins moche et deuxio... tu n'as pas répondu à ma question !
- T'es têtu, toi ! Et tu sembles tout bêtement oublier que je suis mariée...
- Je n'oublies pas, non. Mais je sais, tout comme toi, que ton mec n'est absolument pas jaloux...

Il a décidément réponse à tout le bougre ! Connaissant le caractère plutôt vif de Sylvie, Pascal se dit que tout cela pourrait très mal se terminer.

- Tu n'aimerais pas ou tu as peur de l'avouer ?

Sylvie regarde son époux et demande :

- Ça te ferait quoi si je le faisais ?
- Ne l'ayant pas vécu, je n'en suis pas sûr à 100%... mais... je crois que ça m'exciterait assez.

Même si elle s'y attendait un peu, cet accord tacite de son mari met Sylvie dans une position plutôt inconfortable. Tant qu'elle pouvait se réfugier derrière sa fidélité, elle pouvait s'en sortir mais maintenant ! Répondre qu'elle n'en a pas envie ? Ce serait mentir et les deux hommes s'en doutent, son mari le sait même puisqu'elle le lui a révélé... Elle tente une pirouette :

- Avec mon rondeurs, ça m'étonnerait que je puisse t'exciter...

Hélas, sa remarque ne tire qu'un sourire à leur invité qui comprend qu'elle ne lui oppose guère d'arguments.

- Tu te trompes ! J'ai toujours adoré les femmes avec des formes et... je l'avoue aujourd'hui, il y a longtemps que tu me fais fantasmer...
- Menteur ! Mais charmeur, il faut le reconnaitre...
- Lève-toi et mets-toi devant moi, dos tourné !

Le ton de
Pierrick a changé. C'est pratiquement un ordre qu'il vient de lancer à Sylvie qui reste quelques secondes sans réaction, surprise de ce changement.

- Allez ! Dépêche-toi !

Ça passe ou ça casse ! Ou Pierrick se prend une baffe ou Sylvie lui est définitivement acquise. Juste un peu étonné, Pascal regarde sa chère et tendre se lever et s'installer comme demandé.
Pierrick remonte le chemisier au dessus des fesses de Sylvie et regarde son postérieur.

- Un cul comme je les aime ! Bien rond ! Tiens ton chemisier !

Obéissante, elle maintient le vêtement levé et, les mains ainsi libérées, Pierrick caresse les rondeurs, descend sur les cuisses par l'extérieur, remonte vers l'intérieur, sans rencontrer la moindre objection. Visiblement rassuré, il concentre ses caresses sur les deux globes et Sylvie subit un pelotage fessier en règle, sans chercher à s'esquiver.

- Voyons voir de plus près !

Ses doigts agrippent l'élastique du fuseau et, lentement, dévoile les fesses de la belle.

- Euh... tu ne trouves pas que ça suffit ? Proteste Sylvie sans réelle conviction.
- Tss... Tss... le meilleur est à venir...

Il fait glisser le vêtement jusqu'aux genoux et Sylvie se retrouve en slip, sous-vêtement on ne peut plus classique qu'elle apprécie, au grand désespoire son mari qui aimerait la voir en shorty, en string.

Pierrick cesse ses caresses et s'allume une cigarette, il en allume une seconde, qu'il tend à la jeune femme, tout en l'invitant à s'installer sur ses genoux.

- Alors ? Tu vois que ce n'est pas si dur de s'exhiber. Tu aimes ?
- Oui, répond-elle d'une petite voix.
- Donne ta main !

Elle lui tend une main qu'il guide sa sa braguette, lui faisant sentir son érection.

- Tu crois toujours que tu ne peux pas me faire bander ?

Pour toute réponse, elle sourit, visiblement heureuse d'avoir déclenché son désir. Quand il lui demande de se débarrasser de son pantalon, tout naturellement, elle le fait glisser. Leur cigarette terminée, il lui fait reprendre la pose puis poursuit son exploration. Il joue à suivre la raie par dessus le tissu, descendant un peu plus à chaque fois, jusqu'à effleurer son sexe.

- Si je ne m'abuse, l'endroit me semble bien humide...

Certain maintenant qu'il peut aller jusqu'où il veut, Pierrick baisse le sous-vêtement, dévoilant le cul désiré.

- Waouh ! Comme je l'imaginais ! Avec une raie bien profonde ! Un cul à faire bander un mort !

Il dépose deux bisous sonores sur chaque fesse puis lèche la raie culière de haut en bas. Cette fois, Sylvie ne retient plus quelques soupirs et je vois sa poitrine se soulever plus rapidement.

- Hum... délicieux ce cul ! Écarte les jambes et penche-toi !

Sylvie pose les mains sur la table basse et écarte largement les jambes, offrant une vue imprenable de son intimité à leur ami. Des pouces, ils écarte les globes, dévoilant le petit œil plissé. Il le flatte puis sa langue en prend possession, en léchant le pourtour, en s'y enfonçant, la faisant rapidement gémir de bonheur.

Pascal regarde le couple, bien plus excité de voir sa femme se laisser ainsi caresser qu'il ne l'aurait cru. Il aimerait les rejoindre, finir de déshabiller son épouse, la caresser, l'embrasser lui aussi mais il ne fait aucun mouvement, comme s'il attendait que Pierrick le lui autorise. Comme s'il lisait dans pensées, Pierrick appelle son ami :

- Pascal, ta femme m'a offert son cul et j'ai envie que ce soit toi qui m'offre ses nichons. Viens donc la débarrasser de ces derniers bouts de tissu inutiles !

Il rejoint le duo avec joie. Sylvie s'est redressée, bombant la poitrine presque comme un défi. Un à un les boutons sautent, dévoilant le soutien-gorge puis le ventre de sa femme. Il ôte le vêtement puis le sous-vêtement. Ça y est ! Sa femme, cette épouse si sage jusqu'à présent est maintenant totalement nue ! Il lui prend les épaules pour la faire se retourner tout en déclamant, très théâtral :

- Pierrick, mon ami, je te prie d'accepter cette femme, ma femme. Fais-la jouir comme elle en a envie et prend toi aussi un plaisir maximum !
- Je te remercie, cher Pascal. Sois assuré que je ferais de mon mieux pour la combler !

Les trois amis ne peuvent retenir leur rire suite à ces tirades. Puis, reprenant la direction de la soirée. Pierrick empaume les seins, les soupèse, les caresse :

- Ils sont comme ton cul, ma chère, divinement beaux et doux... et tout aussi sensibles on dirait.

En effet, sous les caresses, les tétons pointent fièrement, petites fraises posées sur les aréoles grumeleuses qui foncent de plaisir.

- Tu sembles aimer ça, te faire peloter les nichons, je me trompe ?
- Non... tu ne te trompes pas... j'adore cela.

Pierrick se penche vers la poitrine et embrasse un téton puis l'autre, tirant un gémissement à sa partenaire.

- En fait, sous tes allures d'épouse sage, tu es une belle coquine, pas vrai ?
- Si...
- Une belle salope, même !
- Oui
- Alors, dis-le !
- Je suis une...
- Allez ! Vas-y !
- ... une salope, lâche t-elle d'un petite voix
- Oui, une fieffée salope qui se fait tripoter par son pote devant son mari... et qui vas se faire baiser par deux mecs ensuite, n'est-ce pas ?
- Oui... je vais me faire baiser par vous deux.
- À la bonne heure. Je suis cûr que t'es toute trempée. Plonge tes doigts dans ta chatte et fais-les moi sentir.

Elle obéit et présente son doigt sous le nez de Pierrick.

- Hum... délicieuse cette odeur... et très excitante ! Tu aimes te toucher ? Tu te branles des fois ?
- Ça m'arrive...
- Montre-moi cela !

Elle hésite quelques secondes puis sa main se pose sur son sexe qu'elle caresse doucement avant de plonger un doigt dans sa grotte et de le faire aller et venir sous les yeux ô combien interessés de son partenaire.

- Tu es belle ! Mais il n'est pas encore temps de jouir ma petite ! C'est à ton tour de vérifier si tu m'excites ou pas.

Il se lève et l'invite à prendre sa place. Elle déboutonne la braguette et fait descendre le pantalon, caressant les cuisses de Pierrick. Quand elle relève la tête, elle a sous les yeux le caleçon déformé de son ami. Excitée par cette vision, tout autant que par les caresses précédentes, elle flatte longuement la bosse, la faisant grossir encore un peu plus. Si son mari est plutôt gâté de ce côté, Pierrick semble avoir un sexe hors du commun : long et large, impressionnant.
Elle le caresse ainsi quelques secondes puis descend le caleçon. Le membre lui saute littéralement à la figure.

- Oh !
- Elle te plait !
- Oui. Elle est grosse !
- Fais sa connaissance !  Caresse la bien ! Oui... comme ça...

Pascal regarde, subjugué la main de sa femme autour de la queue de son ami, qui va et vient, lentement. L'autre main flatte les couilles, gonflées, les fait rouler avant de s'aventurer plus bas. Il apprécie quand Sylvie lui offre ce genre de caresse anale mais est surpris de la voir faire aussi rapidement sur Pierrick. Ce dernier semble d'ailleurs apprécier l'initiative à sa juste valeur :

- Oh la cochonne, elle me flatte le fion... Ah oui ! Enfonce doucement ton doigt... ah... un pur délice. Pascal, mon ami, je ne pensais pas que ta chère et tendre était aussi salope... une vraie petite cochonne excitée !

Sylvie embrasse ensuite le gland puis, ouvrant les lèvres, avale, non sans difficulté, le sexe, enfin, une partie seulement, à peine la moitié.
Pierrick apprécie comme il se doit cette fellation, l'encourageant en des termes que d'ordinaire elle ne supporterait pas mais qui, ce soir, semblent l'exciter encore plus :

- Ah oui, salope ! Pompe-moi bien ! Bouffe ma bitte ! T'es une suceuse de première, tu sais ! Pascal, approche-toi et donne-lui ta bitte à bouffer à cette gourmande !

Ni une ni deux, Pascal se met nu et vient s'installer à côté de son ami, la queue au garde à vous, à portée de bouche de sa femme qui abandonne celle de Pierrick pour s'en emparer.
Pierrick en profite pour s'agenouiller entre les cuisses et sa bouche s'empare de la chatte de Sylvie. Il la lèche longuement, titille le clito gorgé de sang, s'enfonce dans la grotte trempée, se régalant de son jus d'amour, descend vers le petit trou sombre, remonte lécher les lèvres. Sylvie sent le plaisir monter en elle ; elle a de plus en plus de mal à se concentrer sur la pipe qu'elle offre à son mari. Elle le lâche quand, d'une caresse un peu plus appuyée sur son bouton, Pierrick déclenche un premier orgasme. Elle pousse un long cri ; sa chatte coule en abondance, régalant son amant qui ne perd pas une goutte du précieux nectar.
Elle se laisse retomber dans le canapé, le souffle court, les yeux clos. Pascal regarde sa femme, amoureux, presque surpris par la force de cette jouissance. Pierrick se relève, le menton luisant, souriant.

- Elle a pas été longue à partir, hein ? Dit-il à Pascal
- Sûr ! Je ne l'ai jamais vu jouir aussi vite... ni aussi fort !
- Ça va ma chère ?
- Oh... oui... c'était... extra !
- J'suis sûr t'as envie d'un bon coup de bitte maintenant, je me goure ?
- À ton avis...
- Installe-toi les fesses sur l'accoudoir du canapé.

Sylvie se met en position, visiblement impatiente de recevoir ce sexe en elle. Elle écarte les jambes, s'offrant sans aucune retenue. Pierrick s'installe entre ses cuisses et caresse la fente du bout du gland, la faisant tressaillir quand il effleure le bouton encore sensible. Après quelques secondes qui lui semblent interminables, il se décide enfin à la pénétrer. Lentement, il glisse en elle, écartelant ses chairs. Sylvie ferme les yeux, comme pour mieux sentir la progression de ce mandrin. Pascal admire la scène tout en caressant le ventre et la poitrine de sa chérie.
Pierrick prend tout son temps. Les yeux rivés sur le visage de sa maitresse, il prend possession de son con centimètre par centimètre, observant les grimaces de plaisir. Après de longues minutes, enfin, ça y est ! Leur deux corps ne font plus qu'un. Pierrick lui demande si ça va et Sylvie répond :

- Oh oui ! Tu es gros ! Tu me remplis complètement
- Toi aussi tu es bonne ! Prête pour la chevauchée fantastique !
- Oui. Vas-y ! Lâche-toi et défonce-moi !
- J'aime te l'entendre dire, sourit-il. Je vais te bourrer la chatte sou sles yeux de ton mari, c'est bien ça que tu veux ?
- Oh oui. Mon amour, regarde-nous ! Pierrick va me baiser. Il va baiser ta grosse salope de femme et ça te fait bander salaud !
- Oui je bande de voir la grosse bitte de Pierrick dans ta moule. Je bande te voir comme tu prends ton pied ce soir. Allez-y ! Baise-la bien Pierrick ! Fais-la hurler cette cochonne !

Pierrick se retire presque en entier puis, quand seul le gland est encore en elle, il donne un puissant coup de rein qui le propulse au fond du vagin de Sylvie, lui tirant un cri de plaisir. il entame une série de va et vient, s'enfonçant chaque fois le plus loin possible. Sous ces coups de boutoir, Sylvie ne résiste guère et, pour la deuxième fois, elle atteint le nirvana, les bras noués autour du coupe de son ami. Son plaisir déclenche celui de Pierrick qui n'a que le temps de sortir avant de se répandre en longs jets sur son ventre, l'aspergeant jusqu'au menton. Les deux amants échangent un long baiser puis Pascal s'installe face à sa femme.

- Oui mon chéri... à ton tour de prendre ton plaisir... viens me baiser... vite...
- Oh que oui, je vais te baiser ! Mets-toi à quatre pattes, comme une chienne !

Elle s'exécute et Pascal l'enfile d'un puissant coup de rein, la faisant crier de bonheur.

- Ah salope, t'es trempée et toute chaude ! J't'ai jamais vue aussi mouillée !
- C'est de votre faute mes deux salauds chéris ! Allez vite, ramone-moi mon amour ! Fais-moi jouir de ta queue ! Ahhhh ! Oui ! Comme ça !!!

À grands coups de reins, Pascal laboure sa femme, la faisant gémir sans discontinuer. Écartant ses fesses, il regarde le petit œil sombre qui palpite, comme si lui aussi réclamait sa part d'attention.

- Admire ce petit trou de balle Pierrick ! Il attend un doigt j'en suis sûr !

Leur ami appuie l'index au centre du cratère et le caresse, accentuant petit à petit la pression sur le muscle qui, rapidement, se détend, permettant au doigt de poursuivre son exploration.
Cette nouvelle intrusion ravit Sylvie qui tend son cul au devant de l'intrus.

- Vas-y ! Masse-moi le fion ! Ramone mon boyau ! Deux trous pris en même temps... hum... c'est si bon !

Les deux amis s'en donnent à cœur joie, qui à grands de bitte dans la chatte maritale, qui deux doigts allant et venant dans l'étroit conduit. Leur partenaire ne résiste guère à ce double assaut et, une nouvelle fois, ouvre la bouche sur une longue plainte.

@ suivre???




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