Dimanche 3 octobre 7 03 /10 /Oct 15:10
- C'est une blague, hein ?
- Pas du tout !
- Mais... pourquoi dis-tu ça ?
- Tu ne vois pas ? Vraiment ?
- Je... non...
- Je n'en suis pas si sûr...


À cet instant, elle se doute qu'il sait.
A t-il fouillé ses affaires ? Quelqu'un qu'ils connaissent l'a t-elle vue et lui a t-il dit ?
À cette minute, elle s'en veut. Avoir ainsi mis en danger 20 ans de vie commune.

D'accord, elle y a pris un plaisir particulièrement fort.
D'accord, elle a découvert le bonheur de se sentir encore désirée comme elle a découvert également qu'on pouvait jouir en se faisant prendre par derrière.

Mais enfin ? Le jeu en valait-il la chandelle ?
Et puis zut ! C'est fait, c'est fait ! Il va lui falloir en payer les conséquences. Quel va en être le prix ? C'est bien là l'inconnue !

Elle croyait que Jacques, son cher et tendre, n'était pas jaloux. Ne lui avait-il pas, il y a déjà quelques années c'est vrai, proposé de passer une soirée dans un club échangiste ? Et une autre fois : n'avait-il pas monter, avec un de ses collègues, un plan pour qu'ils passent la nuit à trois ? Certes, elle avait refusé, assez énergiquement d'ailleurs, ces expériences et il avait renoncé depuis à toute tentative pour l'amener à connaître une sexualité plus débridée.

Depuis, leur couple, toujours aussi solide, n'avait plus cette fougue de leur jeunesse et, depuis quelques années, leurs rapports étaient tout ce qu'il y a de plus "ordinaire", sans grande fantaisie.
C'est sans doute ce manque de piment qui avait entraîné Martine à succomber aux avances de Marc, son chef de service. Elle avait pourtant résisté longtemps, refusant de voir les petites attentions, comme ces croissants qu'il amenait parfois, ces fleurs qui décoraient souvent son bureau, autrement que comme des marques d'une réelle mais simple amitié.

Et puis était arrivé ce fameux weekend à Paris !
Cette soirée où elle avait bu quelques coupes de Champagne, où elle s'était laissée entrainer dans cette boite.
Cette soirée où, depuis bien longtemps, un autre homme que son mari l'avait prise dans ses bras, lui avaient dit qu'elle était belle, désirable.
Cette soirée enfin où elle avait embrassé amoureusement quelqu'un d'autre que Jacques, sans en éprouver le moindre remords, tant cette étreinte l'avait emplie de joie.

Lorsque, de retour à l'hôtel, Marc, la tenant par la main, l'avait attirer dans sa chambre, elle n'avait pas refusé, rien fait ni dit qui aurait pu, si c'était encore possible, lui faire faire marche arrière.
Quand, tout en l'embrassant, il avait descendu la fermeture éclair de sa robe, elle n'avait pas  plus protesté. Elle ne s'était pas plus rebiffée quand l'agrafe de son soutien-gorge avait sauté, libérant sa poitrine aux bouts déjà dressés. Enfin, elle l'avait laissé glisser son dernier sous-vêtement, le long de ses cuisses.
Elle était alors nue, offerte. Et quand il l'avait allongée sur le lit, avait ouvert le compas de ses jambes et que sa bouche s'était posé sur son sexe, qu'elle savait déjà trempé, elle s'était complètement abandonnée.

Il lui avait offert des caresses à la fois douces et gourmandes, embrassant ses lèvres, enfonçant sa langue dans sa grotte, titillant son bouton. Des caresses que son mari avait depuis longtemps oubliées, se contenant de la caresser rapidement avant de la prendre et, bien souvent, de ne se préoccuper que de son propre plaisir.
Rapidement, sous la langue et les doigts de Marc, elle avait connu un premier orgasme, intense. Elle avait joui dans une longue plainte, maintenant plaqué le visage de son amant contre son intimité. Elle a eu besoin de longues minutes pour se remettre de cet orgasme dévastateur, peinant à reprendre son souffle, à retrouver un rythme cardiaque normal.
Marc s'était relevé et la regardait avec tendresse. Il lui avait déposé pleins de bisous sur le front, les joues, les lèvres.
Martine s'étonnait de ne ressentir aucun sentiment de culpabilité. Elle était simplement heureuse du plaisir ressenti, sans honte aucune. Elle comptait bien ne pas en rester là et, attirant son amant contre elle, avait entrepris de le mettre nu à son tour. Elle avait découvert un sexe plus large et surtout bien plus long que celui de son mari. Excitée, elle y avait envoyé la main et l'avait caressé doucement, en appréciant la douceur et la raideur.

- Allonge-toi sur le dos !


Elle s'était penchée sur lui, lui avait embrassé le visage, la poitrine, s'attardant sur les petits tétons qu'elle s'employait à faire se dresser. Enfin, elle était parvenue à l'objet de son désir. Quelques légers coups de langue avant d'ouvrir les lèvres pour le faire coulisser. Elle n'avait jamais été une fervente adepte de la fellation mais ce soir-là, elle avait pris un plaisir immense à déguster ce sexe. Les lèvres serrées, le faisant aller et venir ; du bout de la langue, titillant le méat. Ses doigts ne restaient pas inactifs et caressaient tendrement les bourses, osant quelques incursions vers le scrotum, pour le plus grand plaisir de Marc.

- Ta bouche est délicieuse Martine !


Encouragée, la jeune femme avait redoublé d'efforts et, après de longues minutes, son amant l'avait prévenue qu'il n'allait plus pouvoir se retenir.
Jamais encore elle n'avait goûté, malgré les demandes répétées de son chéri dans leur jeunesse, la liqueur masculine. Ce soir là pourtant, elle avait gardé le sexe de son amant en bouche et, quand était survenu l'orgasme, avait avalé son sperme sans hésiter et en avait même trouvé le goût plutôt agréable.

Le couple avait ensuite pris une douche, propice à de multiples effleurements, de nombreuses caresses, qui avaient rapidement fait remonter leur excitation. Comme deux adolescents, il avaient couru vers le lit, encore mouillés et Martine avait reçu le sexe de Marc en elle avec un plaisir insoupçonné.
Les jambes passées sur les épaules de son amant, totalement offerte, elle s'était  donnée à lui. Marc l'avait besognée longuement, alternant coups de reins rapides et courts et coups de boutoir plus profonds, plus puissants. Jamais encore elle n'avait connu une telle étreinte ! Après la position classique du missionnaire, et un nouvel orgasme ravageur, Marc l'avait fait mettre à quatre pattes et réinvestie, s'enfonçant toujours plus loin en elle.

La bouche grande ouverte, les cheveux collés au front par la transpiration, elle n'avait pas retenu ses gémissements, ses cris quand il venait buter au fond de son vagin. Rapidement, elle avait connu une nouvelle fois le plaisir. Jamais encore elle n'avait joui trois fois dans un aussi court délai ! Et quand Marc lui avait dit qu'il venait à son tour, elle l'avait fait sortir et, le prenant à nouveau en bouche, avait dégusté à nouveau son sperme, ne le relâchant que quand il eût complètement débandé.
Ils s'étaient retrouvés, sur le dos, en nage. Un nouveau baiser et ils s'étaient endormis, tendrement enlacés.

C'était il y a trois mois.
Depuis, les amants se retrouvaient, à l'heure du déjeuner, chez Marc qui vivait seul, pour deux heures d'étreintes torrides.
Il lui avait fait fait découvrir les multiples facettes du plaisir, lui avait fait oublier les tabous, souvenirs d'une éducation religieuse stricte.
Elle avait ainsi fait connaissance avec les plaisirs de la masturbation mêlés à ceux de l'exhibition quand, à la demande de Marc, elle se caressait devant lui.
Il était parvenu à lui faire accepter ces caresses dont jamais elle n'aurait cru tiré un plaisir quelconque : coups de langue sur son anus, doigt qui pénètre l'endroit tabou.
Avec beaucoup de tendresse et de patience, il lui avait fait découvrir la sodomie et, même si ce n'était pas ce qu'elle préférait, elle ne se dérobait plus quand, à quatre pattes sur la moquette du salon, les reins cambrés, elle recevait le membre de Marc entre ses fesses.

Aujourd'hui, tout cela est bien loin ! Face à elle, les mains sur les hanches, Jacques semble décidé à obtenir l'aveu de son infidélité.

- Alors ?
- OK. Je t'ai trompé... avec un collègue... je ne sais pas ce qui m'a pris...
- Ça dure depuis longtemps ?


Martine hésite. La durée de cette relation exclut tout "coup de canif" plus ou moins inconscient. Lui mentir est également risqué s'il sait que Marc et elle se voient régulièrement.

- C'est arrivé il y a trois mois...
- C'est arrivé ? Et ça continue ?
- ... oui. Répond-elle d'une petite voix.
- Tu sais ce que tu es ?
- ...
- J'attends !
- Je te demande pardon...
- Ce n'est pas ce que je te demande ! Dis-moi ce que tu es !


Le ton est sévère, la voix forte. Jamais elle n'a encore vu son mari dans un tel état !

- Je suis... une... salope...
- Et oui ! Et moi ? Je suis quoi maintenant ? Un cocu ! Martine et son cocu ! Tu parles d'un joli couple !


Martine ne sait quoi dire. Elle aimerait autant lui demander pardon que de tenter de lui expliquer les raisons de cet écart. C'est une troisième solution qu'elle choisit, non sans en mesurer les risques :

- Tu  désires qu'on se quitte ? Qu'on divorce ?


Elle a posé cette question d'une voix parfaitement assurée, déterminée. Et c'est Jacques qui, ne s'attendant visiblement pas à cette réaction, reste sans voix.

- Et toi ? Tu veux partir ? Pour vivre avec lui ?
- Non... Sauf si je me retrouvais seule...


Les deux époux se toisent. Martine, tout à l'heure effondrée, au bord des larmes, a repris quelque assurance :

- On fait quoi alors ? Tu veux que je me mette à genoux et que je demande pardon ?
- Tu pourrais te mettre à genoux... oui... mais pour autre chose que demander pardon... si tu veux de quoi je veux parler...


Martine regarde son mari. Il y a des lustres qu'il a perdu l'habitude de proposer une quelconque galipette ailleurs qu'au lit le soir. Après tout ? Pourquoi pas ?

Sans mot dire, elle s'agenouille, défait la ceinture, descend la fermeture éclair et extirpe un membre déjà à moitié raide. Elle le caresse un peu, achevant de lui donner toute sa raideur. Elle baisse le pantalon, le slip puis reprend ses caresses avant d'ouvrir la bouche et d'engloutir la hampe.
La dernière fois que Martine a accepté d'offrir à son mari une fellation remonte à quelques mois déjà et elle semble redécouvrir ce sexe qui, s'il est moins imposant que celui de son amant n'en est pas moins d'une taille tout à fait honorable. Elle s'applique et prend rapidement plaisir à le sucer. Plaisir semble t-il partagé par Jacques :

- Oh... c'est délicieux... ça fait longtemps que tu ne m'as pas sucé comme ça... continue... sois cochonne ! Pompe-moi bien à fond !


Ses mains massent les fesses de son mari et Martine tente une intrusion en direction de son petit trou, caresse que Marc lui a fait découvrir également. Cette initiative, si elle surprend Jacques, ne lui déplait pas :

- Ah salope ! Tu veux me faire le cul ? Je suis sûr qu'il aime ça ton mec, se faire doigter l'oignon, j'ai pas raison ?
- Humm... oui... parvient à bafouiller Martine, la voix étouffée par le sexe qui lui emplit la bouche.


Les soubresauts du sexe contre son palais indiquent à Martine que son époux est proche de l'orgasme. Elle accélère ses va et vient et, après quelques secondes, les premiers jets lui arrosent la bouche. Pour la première fois, elle boit le sperme de son mari, pour le plus grand plaisir de celui-ci.

- Oh c'est bon ! Quelle pipe ! Bois tout ! Tu vois qu'il est bon mon jus !


Martine se relève, s'essuie le menton.

- Je ne savais pas si douée... Fout-toi à poil ! J'ai envie de te voir !


Elle se déshabille, lentement.

- C'est vrai que t'es canon ! Hum.. épilée en plus... c'est lui qui te l'a demandé ?
- Oui.


Il pose une main sur ses fesses, les triture, appuie un doigt contre le petit œillet :

- Il t'a baisée par là aussi ?
- ... oui...
- Dis-le moi ! Je veux t'entendre me dire ce qu'il t'a fait !
- Il m'a enculée !


Il ne répond pas, pose un doigt sur sa fente.

- Cochonne, tu mouilles... t'a aimé ça sucer ma bitte et boire mon jus, pas vrai ?
- Oui. J'ai adoré te pomper !


Martine est entrée dans le jeu de son mari et prend plaisir à employer ces termes crus. Jacques retire son doigt et le pose contre les lèvres de Martine.

- Tiens ! Suce ! Goute ton jus !


Avec un moue coquine, elle lèche le doigt avec un long 'hum'. Jacques sourit puis reprend ses caresses, enfonçant cette fois son doigt dans la grotte trempée. Il la branle ainsi quelques minutes puis, la sentant au bord de l'orgasme, cesse ses caresses et lui dit :

- Maintenant, tu vas l'appeler et lui dire de venir.
- Pardon ?
- T'as bien compris ! Et inutile de lui dire que je suis là.
- Mais...
- Quoi ? J'ai depuis longtemps envie de te voir baiser avec un autre. Il me semble que le moment est on ne peut mieux choisi pour réaliser mon rêve.
- Jacques... tu n'y penses pas ?
- Je ne pense qu'à ça depuis une semaine. Depuis que je vous ai surpris à la sortie de ton bureau, enlacés comme deux tourtereaux.


C'était donc tout bêtement ça ! Il est vrai qu'à force, leur vigilance s'était quelque peu relâchée.

- Quand je pense que je venais t'inviter au restaurant pour fêter ma promotion...
- Oh, mon chéri.. pardon.
- Ce qui est fait est fait ! Maintenant, je préfère y voir les côtés positifs... dont celui de réaliser mon vieux fantasme. Allez ! Dépêche-toi !

Martine est hésitante. Jacques ne risque t-il pas de péter les plombs en voyant Marc et de vouloir se venger en lui mettant une raclée ?
Comme s'il devinait sa pensée, il précise :

- Rassure-toi ! Je n'ai pas l'intention de lui péter la gueule. Si j'avais voulu le faire, je n'aurais pas attendu, crois-moi !


Presque rassurée, Martine commence à  juger la situation pour le moins excitante. Les caresses de son mari l'ont énervée et elle a très envie de ne pas s'arrêter en si bon chemin. Elle appelle donc Marc et lui demande de la rejoindre. Après quelques minutes, elle raccroche :

- Il sera là d'ici une heure... j'ai dit que tu étais en déplacement.
- C'est parfait ! Suis-moi !


Il l'emmène dans leur chambre, la fait s'allonger, bras derrière la tête, jambes écartées, et lui attache chevilles et poignets aux barreaux du lit, à l'aide de foulards.

- Te voici à ma merci... avant d'être à NOTRE merci... au fait il s'appelle comment l'heureux élu ?
- Marc.
- En l'attendant, on va s'amuser un peu...


Il revient bientôt, un vibromasseur à la main. Il met le moteur en marche à vitesse réduite et parcourt le corps de Martine, du front aux pieds. Rapidement, la peau de la femme se hérisse de chair de poule. Jacques sourit tout en poursuivant ses caresses. Il s'attarde un peu sur les seins, faisant durcir et grossir les tétons, se rétrécir les aréoles. Il descend ensuite sur la fente, titille le bouton, enfonce l'engin dans la grotte. Il le fait aller et venir, en augmente la vitesse. Martine n'en peut plus, Elle se tortille pour échapper à cette torture mais en vain, les liens sont solides. Jacques la laisse une nouvelle fois juste au bord du plaisir. Il sort le gode et le présente à sa bouche.

- Allez petite cochonne, suce-moi cette queue !


Elle obéit et donne de grands coups de langue, nettoyant l'engin de sa mouille. À ce moment, la sonnette de la porte d'entrée retentit. Jacques abandonne sa femme, après l'avoir rassurée une dernière fois sur ses intentions.

Il ouvre la porte et échange une poignée de main des plus amicales avec l'arrivant.

- Alors ? Tout va bien ?
- À la perfection. Elle a tout avoué. Elle vient de me sucer à fond pour la première fois.
- Je t'avais dit que sous ses airs de sainte Nitouche, tu avais un vrai volcan dans ton lit. Il m'a fallu à peine un mois pour lui faire adorer toutes les choses du sexe.
- Et je t'en remercie. Jamais je n'aurais pensé qu'elle te cèderait, aussi largement.
- Et si on montait profiter de cet apprentissage ?
- J'allais te le proposer.


Quand Martine voit entrer dans la chambre son mari et son amant, nus, la bitte au garde à vous, elle ne comprend pas très bien ce qui se passe.

- Ma chérie, permets-moi de te présenter Marc, mon ami d'enfance, que j'ai retrouvé par hasard il y a six mois.
- Mais ? Ça veut dire que ?
- Que j'étais au courant de votre relation dès le début... et que j'ai suivi tes progrès pas à pas...
- Vous êtes deux beaux salauds ! Libère-moi ! Je n'ai plus envie de jouer !
- Calme-toi ma chérie. J'avais parlé à Marc de la routine qui s'était installée entre nous, de notre libido que je croyais à jamais perdue. Il m'a suggéré de tenter de  te séduire et réveiller en toi l'amante ardente qui avait laissé la place à l'épouse trop sage. Au lieu de nous en vouloir, nous devrais plutôt nous remercier, surtout Marc qui a mis toute son énergie à te redonner envie à l'amour.
- Ben tiens donc ! Vous ne manquez pas de toupet !
- Marc, mon ami. Je suis sûr que tu sauras calmer notre chère Martine.
- Avec plaisir.


Marc s'allonge sur la jeune femme qui ne peut rien pour l'en empêcher. Il s'empare de son sexe, pose son gland à l'entrée du vagin de sa maitresse et, d'une poussée, l'investit. Après seulement quelques va et vient, il a partie gagnée :

- Ah ! Salaud ! C'est bon ! Continue ! Baise-moi bien ! J'aime ta bitte ! Et toi, Jacques, viens me donner la tienne à bouffer ! Je vous veux tous les deux ! Je veux que vous me baisiez partout à fond ! OUIIII ! Comme ça !

Il est trois heures du matin quand, épuisés, les trois amants sombrent dans les bras de Morphée. Martine a été comblée au-delà de ses espérances. Les deux hommes l'ont prises par tous ses orifices, en même temps, l'un après l'autre. Jamais elle n'a connu un tel plaisir. Avant de sombrer, Jacques lui a murmuré un doux "je t'aime" à l'oreille gauche et Marc un "moi aussi" à l'oreille droite.
Elle les a embrassés tous les deux, ravie de leur vie à trois à venir.


FIN

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