En couple


Vendredi 13 juin 5 13 /06 /Juin 15:02
La suite des souvenirs de Jeanne.

Il lui avait appris qu'en amour, rien n'était sale ; que tant que les partenaires étaient consentants, rien n'était interdit. C'est ainsi qu'elle s'était retrouvée, debout sur la terrasse, jambes écartées ; sous elle, allongé sur le dos, son amant, qui attendait qu'elle se décide à se laisser aller, à l'arroser d'une fine pluie dorée. Crispée au début, elle s'était ensuite lâchée et avait longuement uriné sur son torse, ses cuisses, et même son visage. Elle y avait trouvé une certaine forme de plaisir, surtout à la fin, quand il était venu coller sa bouche contre sa fente pour récolter les dernières gouttes.
Elle lui avait offert de nombreuses fois ce genre de douche, y prenant chaque fois un plaisir trouble mais bien réel. Aussi ne fût-elle pas surprise quand Sylvain lui proposa la même chose. À son tour, elle reçut les jets sur son corps, notamment sa poitrine puis, peu à peu, se prenant au jeu, elle fit en sorte de pouvoir à son tour goûter l'urine de son amant, en trouvant le goût pas si repoussant que cela.

C'est avec lui également qu'elle avait découvert l'amour avec d'autres partenaires, y compris féminines.
D'abord chez un couple d'amis, à qui elle s'était donné presque une nuit entière, jouissant jusqu'à l'épuisement. Puis, après avoir refusé quelques semaines, elle s'était laissé convaincre de l'accompagner dans un club échangiste. Cette nuit là avait été celle de toutes les découvertes, de tous les plaisirs. Elle avait été prise par près d'une vingtaine d'hommes qui avaient abusé de tous ses orifices. Sa bouche, son sexe, son cul avaient été honorés, parfois même les trois en même temps. Jamais encore elle n'avait joui autant de fois en aussi peu de temps.
Elle ferme les yeux et se remémore cette soirée, et plus particulièrement un de ses partenaires, grand, noir, au sexe presque double de celui de Pierre, à cette sensation d'être transpercée quand il s'était enfoncé en elle. Jamais elle n'aurait cru son vagin pouvoir accueillir un tel membre, "un véritable anaconda" s'était exclamée une des femmes présentes qui avait après elle subi, ou plutôt savouré, cette présence en elle.
Sylvain l'y avait ramené une petite dizaine de fois, chaque soirée étant riche en orgasmes mais jamais aussi intense que cette première :  sans doute la découverte de ces nouveaux plaisirs et l'impression de braver certains interdits avaient-ils contribué à son intensité.
Elle avait quitté le jeune homme lorsque celui-ci, voulant aller toujours plus loin, lui avait proposé  de jouer le rôle d'un call-girl. Si elle aimait le sexe, il était hors de question pour elle de le faire sur ordre, contre de l'argent. Ils s'étaient donc séparés et, même si une ou deux fois, elle était retourné dans au club, elle ne l'y avait jamais recroisé.

Lentement, sans qu'elle s'en rende compte, sa main a progressé. Un doigt s'est insinué entre ses lèvres et parcourt sa fente qu'elle sait commencer à s'humidifier. Son autre main se pose sur sa poitrine et elle masse ses deux globes de chair, faisant ériger ses bourgeons.
Dans sa tête, des images de ces aventures se bousculent. Elle revoit cette femme, au club, qui prenait un plaisir intense à lui lécher le petit trou tout en lui branlant la chatte de trois doigts. Elle revit sa première double pénétration : chevauchant Sylvain, elle s'était un peu tendue en sentant un sexe pousser contre son œillet puis, encouragée par son amant, rassurée par la patience du nouvel arrivant, elle s'était lentement décontractée, offrant le passage de ses reins à ce partenaire.
Elle abandonne sa poitrine et tend la main vers la table de chevet. Elle s'empare de celui qu'elle appelle "son amant éternel", unique souvenir d'une relation particulièrement brève, et s'en caresse la poitrine avant de l'amener contre son pubis.  Elle rallume la lumière , relève les genoux, écarte les cuisses et installe son autre jouet, un miroir rond qui lui permet de se regarder quand elle le donne du plaisir. Sa chatte est maintenant ouverte, mouillée. Elle introduit lentement le godemiché puis met le moteur en marche, d'abord au minimum puis en augmentant la vitesse. D'un doigt curieux, elle titille son petit bouton et rapidement le plaisir s'empare d'elle. Elle pousse un cri rauque et jouit, l'olisbos fiché au plus profond de son intimité.

@ suivre...
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Mardi 28 août 2 28 /08 /Août 12:55
Et oui ! Une fois de plus, je cède et vous invite à découvrir, et j'espère apprécier, cette nouvelle histoire.
Certes un peu plus 'ordinaire' que certaines autres, je souhaite que vous preniez autant de plaisir à la lire que j'en ai pris à l'écrire !!
Bon, je vous laisse. Bonne lecture !


Pascal et Martine, un couple ordinaire ; 46 ans pour elle, 48 pour lui dont 25 passés en commun. Deux enfants, grands aujourd'hui, quasiment adultes, qui ont quitté le domicile familial qui pour les études, qui pour le travail. Depuis presque deux ans, mari et femme ont donc redécouvert la vie en couple, la flamme de leur jeunesse en moins.


Si Pascal est toujours fou amoureux de sa femme et la désire autant qu'au début de leur relation, pour Martine par contre, la routine a fait son œuvre et la passion s'est peu à peu transformée en une espèce d'amitié amoureuse. Certes, elle aime son mari plus que tout au monde et donnerait tout ce qu'elle a pour lui, y compris sa vie s'il le fallait, mais les folles et fréquentes étreintes du passé ont cédé la place à une relation plus tendre ; les rapports se sont espacés et les fois où elle s'abandonne à Pascal, elle ne prend plus guère d'initiative, même si elle parvient chaque fois au plaisir.


Il y a quelques années, un peu plus de quinze, un ami leur avait prêté un Polaroïd et Martine avait accepté que Pascal fasse quelques photos un peu coquines. Il s'était ainsi régalé à la prendre dans diverses positions : à quatre pattes, une main passée sous elle, se caressant ; sur le dos, jambes écartées, chatte offerte. Malheureusement, quelques années plus tard, les retrouvant, elle les avait déchirées et jetées.

Après l'achat de leur appareil photo numérique, il a bien tenté, une ou deux fois, de la prendre en photo, nue ou en petite tenue. Elle s'y est farouchement opposé et il a dû se résoudre à attendre qu'elle s'endorme pour lui voler quelques photos, en slip, qu'il parvient parfois à baisser, en tee-shirt qu'il arrive des fois à relever, dévoilant soit ses fesses soit ses seins, visions dont il ne parvient pas à se lasser.


Ce soir, il lui a offert un massage des jambes. Ils apprécient tous les deux ces moments de tendresse, même si Martine lui reproche parfois de vouloir en profiter pour, dit-elle, "la tripoter". Aujourd'hui donc, il a pu caresser ses jambes, remonter sur ses cuisses, si douces. Elle lui a même permis de masser ses fesses, ce que d'ordinaire elle n'aime pas trop, la position sur le ventre ne lui étant pas très confortable.

Après cette heure très agréable, elle s'est assoupie. Pascal la laisse et monte lire ses mails et surfer un peu sur le Net. Après une demie heure, il redescend et constate que sa chérie dort désormais plus profondément. Il tient à en profiter et, le plus silencieusement possible, va chercher l'appareil photo. Le tee-shirt de Martine est très légèrement remonté, dévoilant son léger slip. Il prend quelques photos mais soudain, Martine bouge, provoquant son affolement. Il pose promptement l'appareil et se compose une attitude la plus neutre possible mais se rend compte, après quelques secondes, qu'il s'agit d'une fausse alerte. Sa femme est maintenant sur le dos, jambes légèrement ouvertes.

Quelle aubaine ! Il en profite donc avant de voir les cuisses s'écarter plus franchement et une main se poser sur son sexe. Il n'en croit pas ses yeux !

Avec prudence, il fait encore deux ou trois photos et c'est à ce moment que Martine passe les doigts sous son slip. Le flash crépite à nouveau. Pascal a le plus grand mal à maîtriser son excitation, il tremble et, dans son caleçon, son sexe tendu lui fait presque mal. Les jambes désormais complètement ouvertes, elle écarte le tissu, dévoilant sa fente. Cette fois, plus de doute ! elle s'exhibe devant l'objectif. À voix basse, comme s'il craignait de rompre le charme, Pascal murmure à sa femme :


- Tu es belle mon amour... relève ton tee-shirt aussi !


Comme dans un rêve, il voit l'autre main saisir le bas du vêtement et le remonter, dévoilant d'abord le ventre puis la poitrine. Il mitraille sans arrêt, priant pour que la carte mémoire accepte tous ces clichés.


- Enlève-le ! Et ton slip aussi !


Elle se retrouve nue, offerte. L'éclair du flash illumine la pièce de nombreuses fois,


- Caresse-toi encore ! Oui... comme ça... enfonce ton doigt dans ton minou !


Elle obéit, se masturbe plus franchement, laissant échapper quelques gémissements.


- Mets-toi à quatre pattes ma chérie ! J'ai envie de photographier ton cul !


Il y a bien longtemps qu'elle ne s'est ainsi pliée à ces demandes.


- Tu es si belle ! Écarte tes fesses ! Oh oui, ton petit trou est tout mignon... on en mangerait !

- Et tu attends quoi pour le faire ? Pose ton appareil et viens t'occuper un peu de moi...


Comment résister ? Il s'assoit dans le canapé, juste derrière elle, le visage à hauteur de ses fesses. Il commence par les embrasser, les mordiller puis donne quelques coups de langue sur la raie. Ses mains massent les deux globes, parfois fermement. Il les écarte, dévoilant le petit œil sombre sur lequel il a les yeux rivés.


- Petit voyeur ! Rigole Martine.


Il parcourt la raie, qu'il maintient écartée, à grands coups de langue gourmands avant de s'attarder sur le petit trou. Il en embrasse le pourtour, en fouillant le moindre pli puis, de la pointe de langue, appuie contre le muscle, parvient à en forcer l'entrée. Il se régale de son parfum et de son goût, légèrement épicé.


- Hum... c'est bon mon chéri...


Encouragé, il pousse un peu plus et parvient à pénétrer le divin sanctuaire. Il y a des années qu'elle ne l'a pas laissé fouiller ainsi sa partie la plus intime ! Sa langue joue, va et vient, tourne dans l'étroite grotte, tirant à Martine des gémissements qui vont crescendo. Il sort ensuite la langue et dépose un bisou sonore sur le petit œillet.


- Ton cul est toujours aussi délicieux... allonge-toi sur la table !


Pascal lui relève les jambes et les écarte. Dans cette position, des plus impudiques, Martine ne cache absolument rien de son intimité ; sa fente et son cul sont offerts au regard excité de son mari qui reste quelques secondes immobile, se régalant du spectacle, trop rarement offert à son goût. Il se baisse ensuite et embrasse longuement la poitrine avant de remonter et lui offrir un baiser qu'elle ne refuse pas, bien au contraire, lui roulant une pelle des plus gourmandes. Il s'agenouille ensuite face à elle et reprend ses caresses sur son cul, le dégustant une nouvelle fois avec le même plaisir. Il pousse son avantage et remplace sa langue par son index. Doucement, il appuie et, lentement, le doigt s'enfonce dans les reins de sa femme tout en léchant la fente trempée. Un second doigt rejoint le premier, sans rencontrer de refus.


Pascal branle ainsi le cul de sa femme de longues minutes tout en léchant sa chatte. Les gémissements cèdent parfois la place à de petits cris, signes d'un plaisir non feint.

Soudain, le corps de Martine se tend, elle pousse un long râle et jouit, abreuvant son mari de sa liqueur intime dont il se régale, plongeant la langue dans sa grotte pour n'en perdre aucune goutte. Lentement, il sort ses doigts et reste quelques minutes les yeux fixés sur elle, la regardant, l'admirant plutôt, savourer son orgasme.

Quand elle rouvre les yeux, elle lui sourit et, tendant les bras, l'attire contre elle pour un long et passionné baiser.


- C'était délicieux mon amour !

- Je me suis régalé moi aussi...

- À mon tour de te donner du plaisir. Allonge-toi !


Elle le déshabille et, comme lui tout à l'heure, parcourt son torse puis son ventre avec la bouche, y déposant de délicats bisous.

Parvenu à son sexe, elle commence par embrasser la tige puis les couilles avant de remonter et de refermer ses lèvres sur le gland.

Durant quelques minutes, elle ne va pas plus loin, se contentant de l'embrasser délicatement, entretenant une excitation extrême. Puis, enfin, elle le laisse coulisser entre ses lèvres et l'avale le plus loin qu'elle peut, presque entièrement. D'un doigt curieux, elle caresse cet endroit si sensible entre les bourses et l'anus, le faisant tressaillir de plaisir.

Jamais, même au début de leur relation, Martine ne l'a sucé ainsi, semblant y trouver un plaisir insoupçonné à entendre les "hum" étouffés par le membre. Le doigt pèse maintenant contre son muscle intime et se fraye bientôt un chemin entre ses reins. Pascal y trouve un nouveau plaisir, plaisir de s'offrir totalement à celle qu'il aime, plaisir de découvrir sa femme sous ce jour pour le moins inattendu. Elle va et vient en lui au même rythme que sa bouche sur son sexe et Pascal se retrouve rapidement au bord de l'orgasme.

Sachant qu'elle n'apprécie que très modérément le goût du sperme, il la prévient de son plaisir tout proche. Contre toute attente, et à sa grande surprise, sa femme ne le lâche pas ; bien au contraire, elle serre un peu plus les lèvres autour de sa hampe et, quand il jouit, prend bien soin de ne laisser perdre aucune goutte du précieux nectar. Pour la première fois de sa vie, Martine avale du sperme, se surprenant à en trouver le goût plutôt agréable.

Ils échangent un nouveau baiser puis Martine file dans la cuisine et revient après quelques minutes, une bouteille de Champagne et deux flûtes à la main. Son mari en profite pour refaire quelques photos, encouragé par les poses qu'elle prend en riant.


- J'ai envie de fêter cette soirée comme il se doit !


Les deux époux trinquent donc, assis côte à côte, serré l'un contre l'autre. Après avoir vidé son verre, Martine, de façon presque innocente pose une main sur la cuisse de son mari et la caresse, remontant lentement mais sûrement vers son sexe, encore au repos.



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Y a-t'il a une suite ? Oui, et  elle est écrite mais ne sera publiée que si vos comm m'y encouragent. Vous savez donc ce qu'ils vous reste à faire...
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