Deux couples


Jeudi 31 janvier 4 31 /01 /Jan 09:19
Fin de cette soirée... et de cette histoire.

  • - Je te propose le martinet, à moins que tu ne préfères à main nues.

  • - Hum... le martinet me semble parfait !


J'empoigne l'engin et fais courir les lanières sur le dos de Catherine, la faisant frissonner. Puis, me mettant un peu de côté, je lui en donne un premier coup, très léger mais qui la fait frémir. Un second, un peu plus appuyé puis un troisième. Je cesse alors et parcours sa fente avec le manche. Nouvelle série, cette fois d'une dizaine de coups, jamais très fort. Cette fois, ses fesses ont pris une jolie teinte rose. Je pose une main dessus et en apprécie la chaleur. J'en profite pour glisser un doigt entre ses cuisses et découvrir son sexe complètement trempé.


  • - La petite garce ! Elle aime ça ! Elle ruisselle !


Encouragé par cette réaction, je repars pour une série de dix, certains un peu plus appuyés. Le rose a viré au presque rouge et je me dis que pour une première cela suffit. Je pose donc le martinet et entreprend une nouvelle visite de sa fente. À peine ai-je effleuré son bouton que Catherine, dans un soupir rauque, jouit une nouvelle fois, à la surprise générale.


  • - Ça alors ! Je n'aurais pas cru cela possible. Prendre ainsi son pied avec une fessée. Ma petite Catherine, tu nous surprend d'heure en heure.


Comme sa femme, Yves n'en revient pas :


  • - Nous somme vraiment tombés sur une jouisseuse de grande classe. Franck, mon cher, en as-tu terminé ? J'ai terriblement envie de goûter le côté pile de cette chère Catherine.

  • - Elle est à ta disposition.


Il la libère de la croix et, l'espace d'un instant, la soutient, tant ses jambes sont flageolantes. Il l'installe sur la table, cette fois à plat ventre, après avoir glissé un coussin sous son ventre. Ma chérie, dans cette position, offre son intimité dans sa totalité. Nous restons d'ailleurs quelques minutes à admirer cette fente aux lèvres gonflées par le plaisir. Enfin, Yves pose la bouche sur son derrière et l'embrasse avec une grande délicatesse. Peu à peu, ma chérie se détend totalement et cambre, au moins autant qu'elle puisse le faire avec ses liens, allant au devant des baisers de son amant. La bouche se concentre bientôt sur la petite rondelle puis est remplacée par deux doigts.

Yves se relève alors et s'installe contre les fesses de Catherine, le gland tout contre la pastille. Il pousse un peu et, sans réelle difficulté, s'enfonce dans le cul de ma femme, sous mes yeux excités.


  • - Oh qu'elle est bonne de ce côté aussi ! Elle est toute serrée ! T'aime ma bitte dans ton cul ?

  • - Hum... oui... elle est bonne... vas-y ! encule-moi ! Ah, oui ! Comme ça !

  • - Franck, viens donc devant lui offrir ton gourdin à déguster !


Je me retrouve face à Catherine, ses yeux brillent d'une lueur inconnue, son front brille de sueur. Sans hésiter, je pousse mon gland contre ses lèvres qui s'ouvrent pour m'avaler. Sa langue parcourt ma hampe, s'attarde sur mon gland, agace mon méat. Je crois bien que c'est la première fois qu'elle me taille une pipe de façon aussi gourmande, aussi érotique. Mes mains caressent ses cheveux, son dos. Je regarde ses fesses auxquelles est fermement agrippé Yves, entre lesquelles il va et vient, maintenant sans ménagement.


Après quelques minutes, dans un dernier coup de boutoir, il se fiche au plus profond d'elle et jouit dans un long râle, se vidant longuement dans son anus.


Alors qu'il se retire, Véro, harnachée d'un gode ceinture, s'allonge sur un tapis et me demande de délivrer Catherine.


  • - Viens ma belle ! Viens sur moi ! On va finir la soirée en beauté !!


J'amène ma chérie sur Véro et, le plus naturellement du monde, elle guide le faux membre à l'entrée de sa grotte et descend, s'empalant sur la colonne. Lorsque ses fesses touchent les cuisses de Véro, celle-ci l'attire contre elle et lui roule une pelle. Tout en l'embrassant, elle empoigne ses fesses et les masse sans douceur. À la fin de leur étreinte, elle me regarde en souriant et me dit :


  • - Allez, mon cher ! Viens donc prendre possession de son petit trou ! Viens lui montrer le plaisir qu'on prend avec deux bittes en soi !


Je ne traîne pas et, m'agenouillant derrière ma chérie, m'enfonce avec délice dans son cul, bien accueillant. Catherine, ainsi prise par ses deux orifices, ne cesse plus dès lors de gémir et même crier son plaisir. Rapidement, un énième orgasme la terrasse sans pour autant faire cesser nos va et vient.


Après de longues minutes, je succombe à mon tour et jouis dans un râle, arrosant à mon tour le cul de ma chérie.

Je me relève et regarde ce couple de femmes dont l'une s'est transformée en mâle et possède la seconde de façon pour le moins efficace, à en juger par ce qu'en dit ma chérie, qui se lâche désormais, visiblement tout proche d'un nouvel orgasme.


  • - Vas-y Véro ! Oh que tu me tronches bien ! Qu'elle es bonne ta grosse bitte dans ma moule !! Oui... encore ! C'est bon !


Elle s'affale contre elle et leurs bouches se cherchent, se trouvent pour un baiser des plus enflammés, des plus voraces.

Ma chérie jouit une nouvelle fois, dans un cri, presque un hurlement. Elle reste inerte, vautrée sur sa partenaire. Les yeux fermés, la respiration courte, en nage, elle est d'une beauté saisissante.


Après quelques minutes, elle se relève enfin, a du mal à tenir sur ses jambes au point qu'elle doit s'appuyer sur la table pour ne pas retomber. Elle nous regarde tour à tour puis dit :


  • - Oh putain ! Quelle soirée !


Sa remarque déclenche un éclat de rire général. J'aide Véronique à se relever ; elle se débarrasse de son harnachement et nous retournons au salon nous rafraîchir.


Yves libère Catherine de son collier et déclare :


  • - Très chère, cette soirée de soumission est maintenant terminée. J'espère que tu a pris autant plaisir que nous...

  • - Oh ça oui !

  • - Parfait ! C'était le but recherché. Tu seras toujours la bienvenue pour revivre pareils moments. Nous allons maintenant aller nous reposer car la journée de demain risque elle aussi d'être longue, notamment pour une certaine personne ici présente qui aura l'honneur de te remplacer.


Ce disant, il referme le collier sur le cou de sa femme, nous promettant d'ores et déjà un lendemain des plus torrides !


Après une douche bienfaitrice, nous nous couchons, très sagement par couple et le sommeil s'empare très rapidement de nous.

FIN

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Dimanche 20 janvier 7 20 /01 /Jan 16:14
La soirée continue... et j'espère que vous l'appréciez toujours autant !!

Près de nous, Véro savoure les coups de bitte de son mari et gémit sans discontinuer. Rapidement, elle parvient à son tour à l'extase et, dans un dernier long gémissement, elle jouit, les yeux révulsés, les fesses tendues au devant du sexe qui la fouille. Elle s'affale sur le ventre, éjectant en même temps son mari qui, après un coup d' œil circulaire, déclare :


  • - Je vous propose d'arroser cette soirée avec une coupe de Champagne !

  • - À la bonne heure ! Déclare, ravie, sa femme. Je meurs de soif !

  • - Moi aussi ! Ose ma chérie.

  • - Ma petite Catherine, dans ta position, tu n'es guère en mesure de demander quoi que ce soit...

C'est la première fois qu'Yves s'adresse ainsi à elle et je me demande s'il n'est pas allé un peu trop loin. Je suis donc pour le moins surpris d'entendre ma chérie lui répondre :


  • - Pardon... cela ne se reproduira plus...


Véro et Yves me jettent un regard où se mélangent surprise et surtout satisfaction de voir ainsi ma chérie si rapidement obéissante.


  • - Je l'espère bien. En attendant, j'accepte de te détacher mais à la seule condition que tu restes à notre entière disposition, que tu nous obéisses sans rechigner... dans le cas contraire, tes adorables fesses pourraient en souffrir... Alors ?

  • - J'accepte... tout ce que vous voudrez...


Je n'en reviens pas !


Avant de la libérer, Yves lui enserre le coup d'un collier auquel il attache une chaîne. Se tournant vers nous, il demande :


  • - Qui veux en profiter en premier ?

  • - Honneur aux dames !

  • - Soit. Ma chérie, je te confie notre petite esclave...


Nous retournons au salon pour y déguster un verre qui, il est vrai, nous fait un bien fou. Après ce rafraîchissement, Véro se tourne vers ma chérie et lui dit, ou plutôt lui ordonne :


  • - Tu n'es pas parvenue à me faire reluire tout à l'heure... tu as joui trop vite. Termine donc ce que tu as commencé !


Elle s'installe sur la table, sur le dos, jambes largement écartée et, tirant sur la chaîne, attire Catherine tout contre elle.


  • - Tu aimes ça, hein, me bouffer la moule ?

  • - Oui...

  • - Alors, vas-y ! Régale-toi !


Ma puce se penche sur la fourche et sa bouche prend possession de la fente de notre amie, la faisant instantanément gémir.


  • - Oh, putain que tu lèches bien... une vraie petite gouinasse... oui, comme ça... entre ta langue ! Franck, j'ignorais à quel point ta femme était cochonne. Je sens qu'on va rattraper le temps perdu... oh oui... c'est bon... Franck, bouffe-lui le cul pendant qu'elle me broute... il faut le préparer pour tout à l'heure...


Je m'accroupis derrière ma chérie et lui embrasse, d'abord les fesses, puis la raie, la parcourant longuement de la langue, comme je sais qu'elle apprécie.

Yves s'approche et lui masse le cul, assez fermement, écartant parfois les deux globes pour admirer le petit trou fripé.


  • - Regardez-moi cette cochonne ! Elle bois mon jus en offrant son trou de balle à mon mec... t'es vraiment la reine des salopes, ma petite Catherine.


Loin de l'offusquer, le langage pour le moins crû de notre amie émoustille Catherine qui se cambre un peu plus encore.

Mes baisers se concentrent sur le petit œillet que ma chérie offre sans rechigner, bien au contraire. Yves, lui, lui pelote fermement la poitrine, lui tirant parfois un petit cri de douleur. Je parviens, après quelques minutes, à pénétrer son petit cul du bout de la langue, me régalant de cette saveur un peu épicée dont je ne me lasse pas. Yves a abandonne ses caresses et revient bientôt en me tendant un gode dont la taille semble étudiée pour l'apprentissage anal. Je me relève et ponte le bout du joujou contre le petit trou de Catherine. Doucement, je pousse et regarde l'olisbos s'enfoncer, plutôt facilement. Je le fais aller et venir, d'abord lentement puis de plus en plus rapidement, augmentant en même temps la vitesse des vibrations. Ma pauvre chérie a le plus grand mal à rester concentrée sur ses caresses, au plus grand dam de Véro qui me demande de ralentir :


  • - Vas-y doucement mon cher Franck ! J'ai trop envie que ta chérie me fasse jouir ! T'inquiète pas ! Elle aura sa dose tout à l'heure !


Je ralentis donc mes va et vient et, peu après, notre hôtesse, sous les coups de langue de ma chérie, succombe dans un long cri, le visage de Catherine plaqué contre sa fente.


Elle la repousse, devenue trop sensible et, se relevant, déclare :


  • - Jamais on ne m'a aussi bien sucé la chatte ! Ma chère Catherine, viens ici que je t'embrasse !


Elle prend le visage de ma femme entre ses mains, l'attire contre le sien et lui offre sa bouche pour une longue et tendre pelle, qui contraste avec son comportement de tout à l'heure.


Après leur étreinte, Yves reprend la chaîne des mains de sa femme et, attirant Catherine contre lui, déclare :


  • - À mon tour d'en profiter un peu... prends la place de Véro, j'ai envie de te lécher la chatte moi aussi !


Et voici Catherine allongée sur la table, jambes écartées, sexe offert. Yves commence par passer un doigt le long de la fente, du petit bouton au petit trou.


  • - Hum... elle est trempée comme j'aime...


Il enfonce le pouce dans la grotte et l'index entre les fesses, faisant frémir ma chérie qui le regarde faire.


  • - Tu aimes qu'on te branle ainsi, n'est-ce pas ?

  • - Oui...

  • - Dis-le mieux que ça !

  • - Oui... J'aime qu'on me branle comme tu le fais.

  • - Tu vois quand tu veux ! Je vais te mettre un autre doigt dans le cul, tu vas aimer, pas vrai ?

  • - Oui... je vais adorer tes deux doigts dans mes fesses... vas-y !


Le majeur rejoint l'index dans le fondement de Catherine qui gémit un peu plus fort. Puis, Yves se penche sur elle et sa langue remplace ses doigts sur la fente. Il la lèche avec gourmandise, se régalant visiblement de son jus intime.


Mon excitation est à son comble et Véro, me regardant, s'en aperçoit. Aussitôt, elle me fait asseoir sur une chaise et, sans autre forme de procès, vient s'empaler sur moi, dans un long soupir. Les bras autour de mon cou, elle m'embrasse voracement, visiblement bien excitée elle aussi. Je la tiens par les fesses, la faisant monter et descendre le long de ma colonne. Elle m'offre sa bouche, ses seins puis encore sa bouche, comme si sa vie en dépendait.


  • - Jamais je n'ai été aussi excitée ! Jamais je n'ai pris autant de plaisir que ce soir !

  • - C'est pareil pour moi. Je n'aurais jamais imaginé vivre une telle soirée.


Tout près de nous, ma chérie semble être sur le point de connaître un nouvel orgasme.


  • - Yves, continue... oui... j'aime... oh... c'est bon... je... ahhhhh... je jouis...


Dans un long cri, elle succombe au plaisir, le corps tendu, comme pour mieux sentir les doigts qui la fouillent. Yves se relève, le menton luisant du plaisir de ma femme.

Catherine reste elle allongée, inerte, les bras en croix, symbolisant à la perfection ce que certains appellent "la petite mort".

Sur moi, Véro se déchaîne ; les mains sur mes épaules, c'est elle qui imprime le rythme de notre chevauchée. Elle m'offre ses seins, me demandant de les caresser sans ménagement, ce que je fais avec d'abord une légère appréhension puis, devant ses cris de plaisir, plus fermement, n'hésitant pas à tirer sur les tétons, à les pincer entre mes dents. Ses cris emplissent la pièce et bientôt, elle parvient à l'orgasme :


  • - Oh oui... je vais venir... j'aime ta queue Franck... elle me ramone bien... ah... oh... ça y est !! Ouiiiii !!!


Nous faisons une nouvelle pause, buvons une nouvelle coupe et Yves me tend la chaîne :


  • - À ton tour cher ami. As-tu une idée de ce que tu veux faire avec ta charmante et docile épouse ?

  • - Voyons... je crois que son attitude ce soir mérite d'être corrigée... ne m'a t-elle pas trompé avec vous deux ? J'envisage donc de lui donner la fessée à laquelle elle a droit.


Un frémissement parcourt le corps de Catherine mais elle ne dit rien, ne bronche pas.


  • - Si tel est ton désir, je te propose de retourner en bas.

  • - Soit. Allons-y. Avance petite cochonne !


Je ne sais pas ce qui m'a pris de lui parler ainsi. C'est sorti tout naturellement et je lis dans les yeux de ma chérie qu'elle ne s'en fâche pas, au contraire. Les yeux baissés, elle nous suit jusqu'à la salle des tortures. Arrivés là, Yves me reprend la chaîne et installe Catherine contre la croix, dos tourné à nous, fesses exposées, prête à subir sa punition.


Cette histoire vous plait toujours ? Si tel est le cas, dites-le moi que je me penche sur la suite...
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