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Vendredi 29 mai 5 29 /05 /Mai 18:29
Voici donc la suite et la fin de cette histoire. Une nouvelle verra sans doute le jour... bientôt. En l'attendant bonne lecture et, n'oubliez pas ! Je compte sur vos comm !!

Pascal a abandonné les jambes de ma chérie à son ami et, pour sa part, entreprend de déboutonner le chemisier, dévoilant un soutien gorge arachnéen, qui dévoile plus qu'il cache la poitrine lourde mais ferme, aux tétons déjà bien érigés.

Martine et moi regardons le trio, mes doigts lui caressent doucement les cuisses, comme par inadvertance, mais non sans, comme son mari tout à l'heure, remonter lentement vers leur intersection. Elle ne reste pas inactive et passe et repasse la main sur ma braguette, faisant enfler mon sexe prisonnier.

J'ai moi aussi très envie de découvrir la poitrine de ma partenaire et la débarrasse de son chemisier, mettant sa poitrine à nu. Ses tétons sont déjà tout durs  et ses aréoles foncées grumeleuses. Je la pelote un peu, lui tirant quelques soupirs, puis me penche et embrasse les deux petites fraises. Mon autre main ne reste pas inactive ; parvenue à la fourche, elle caresse un slip qui a une fâcheuse mais ô combien excitante tendance à se prendre pour une éponge tant il est trempé !
Je passe et repasse un doigt le long de la fente, faisant gémir Martine et soudain, d'une façon parfaitement imprévisible, elle pousse une cri et jouit sous ma caresse, pourtant pas très appuyée.

Rouvrant les yeux, elle me sourit et dit :

- C'est la première fois que ça m'arrive... aussi vite...
- Il faut croire que l'ambiance y est pour quelque chose...
- Oui, sans doute. À ton tour maintenant !

Sans que j'ai le temps de réagir, elle ouvrte ma braguette, sort, avec quelque difficulté, mon membre tendu et, sans autre forme de procès, le gobe entièrement. Je savoure comme il se doit cette fellation particulièrement gourmande, non sans jeter un œil curieux vers ma femme et ses partenaire. Eux non plus n'ont pas perdu de temps : Pascal, agenouillé sur le canapé, offre son sexe à déguster à Cathy pendant que Serge va et vient dans son vagin à puissants coups de reins.

- Elle a l'air d'aimer ! Je la comprends, moi aussi je raffole de la bitte de mon mari... mais je suis certaine que je vais apprécier la tienne aussi !

Ce disant, elle s'installe sur moi et, pointant mon gland à l'entrée de sa grotte, s'empale dans un râle.

- Hum... j'étais sûre qu'elle était bonne...

Elle monte et descend, variant le rythme de ses va et vient, la profondeur de la pénétration. Ses gémissements vont crescendo et nous échangeons des baisers passionnés, gourmands. Ses seins ballotent au gré de la chevauchée et je ne résiste pas à les embrasser, à pincer les tétons entre mes lèvres.

- Ah oui ! C'est bon ! Vas-y ! Pince-les fort ! AHHHH

Elle jouit pour la seconde fois, et toujours aussi fort. Tout à coté, Cathy atteint elle aussi le nirvana et, dans une longue plainte, le corps tendu, jouit bruyamment.

Ses partenaires ne lui laissent guère le temps de récupérer : Serge la fait s'installer à quatre pattes, les reins cambrées, croupe offerte et, lui écartant les fesses, dit à Pascal :

- Allez mon ami ! À ton tour de la faire reluire !

Quel homme normalement constitué pourrait refuser pareille invitation ? Certainement pas notre ami Pascal ! Il saisit Cathy par les hanches et, d'un puissant coup de boutoir, s'enfonce en elle, lui tirant un cri de plaisir. Il entame une série de puissants va et vient, faisant claquer les fesses de ma chérie contre son bas-ventre.

Serge nous rejoint et Martine, mon sexe toujours fiché en elle, tourne la tête pour s'emparer de son membre turgescent. Elle l'avale puis le fait aller et venir entre ses lèvres gourmandes pour le plus grand plaisir de son homme. En même temps, elle reprend de légers mouvements du bassin, me massant le sexe. Ma main reprend possession de ses seins que je masse, à sa demande fermement, n'hésitant plus à pincer et étirer ses tétons. Son visage n'est qu'à quelques centimètres du mien et, en conséquence, la sexe de son mari guère plus éloigné. De façon parfaitement naturelle, Martine lâche le membre et le présente à mes lèvres. Après une seconde d'hésitation, je devrais plutôt un dixième de seconde, je dépose un baiser sur le gland puis, ouvrant la bouche, le gobe sans autre forme de procès. Martine sourit tout en massant les couilles de son mari, osant parfois un doigt curieux plus bas, entre ses fesses.

Après quelques minutes durant lesquelles Martine et moi partageons le sexe de Serge, ce dernier met fin au trio en déclarant :

- Tu suces très bien Pierre, mais je meurs d'envie de m'enfoncer dans le cul ô combien accueillant de ma chère épouse...
- À ton bon plaisir !

J'attire Martine tout contre moi et, des deux mains, lui écarte les fesses : lui offrant on petit œillet fripé.

- Merci mon cher, me dit-il en appuyant son gland contre l'anneau foncé.

Il s'enfonce lentement en elle et je suis sa progression à travers la fine membrane qui sépare nos deux sexes.
Le visage de Martine trahit le plaisir ressenti par cette double intromission. Les yeux fermés, la bouche entrouverte, un long râle s'échappe d'entre ses lèvres.

Il suffit de quelques aller et retour à Serge pour parvenir au plaisir. D'un dernier coup de rein, il se plante au fond du cul de Martine et, dans un râle, déverse sa semence, déclenchant un nouvel orgasme chez sa femme qui pousse un long cri et jouit, compressant mon sexe entre ses muscles intimes. C'en est trop pour moi et je n'ai que le temps de sortir de son délicieux écrin avant de me répandre à mon tour sur son ventre et le mien.
Notre trio se désunit, une petite pause est la bienvenue. Tout naturellement, nos yeux se tournent vers l'autre couple : Pascal lime Cathy avec une ardeur sans faille, la faisant gémir sans discontinuer.

- Pour une chevauchée fantastique, c'est une chevauchée fantastique ! S'exclame Serge.
- Tu l'as dit ! Et cette petite Cathy semble aimer la bitte, renchérit Martine, une vraie cochonne !

L'entendre parler ainsi de ma femme, loin de m'offusquer, m'excite énormément, au point que j'en remets une couche, m'exprimant moi aussi en des termes que je n'ai pas l'habitude d'employer en évoquant Cathy :

- Tu as raison Martine, elle adore se faire ramoner par une bonne bitte !
- C'est vrai que tu aimes ça, les coups de queue ? Demande t-elle à Cathy
- Oh oui ! C'est bon ! Se contente de répondre ma femme entre deux gémissements.
- Elle est bonne la bitte de Pascal, pas vrai ?
- Hum... si...
- Dis-lui comme tu aimes qu'il te ramone la chatte !
- Oh... oui ! Vas-y Pascal ! Bourre-moi bien ! Baise-moi bien fort ! Ah, oui ! Comme ça ! Ahhh !


Serge se joint à la conversation, dans les mêmes termes :

- Allez Pascal ! Défonce-la comme elle te le demande ! Fais-la reluire ! Montre-lui comme tu aimes son fion !

Pascal accélère un peu plus le rythme de ses va et vient et, après une poignée de secondes, amène une nouvelle fois Cathy au septième ciel.

- Ahhhh ! Salaud ! C'est bon ! Je... je jouis !!!

Dans une longue plainte, ma chérie prend son pied, vaincue par les coups de boutoir de son amant qui, à son tour, atteint le plaisir et lui arrose le dos de ses jets laiteux.
À leur tour, il font une pause et c'est heureux et souriant que, tous les cinq, trinquons à cette
soirée, et surtout à cette "bonne partie de jambes en l'air" comme le précise si poétiquement Martine.
Un quart d'heure se passe, pendant lequel nous parlons de tout et de rien, comme si nous vivions un moment des plus ordinaires, lorsque Martine déclenche à nouveau les hostilités en demandant à Cathy si elle a déjà goûté aux joies de Lesbos.

- Une fois, ado, avec ma meilleure copine, nous avons échangé quelques caresses mais rien de bien méchant : juste quelques bisous sur la bouche et une masturbation réciproque.
- Et tu as aimé ?
- Hum... oui... plutôt...
- Tu aimerais goûter mon petit minou ?
- Pourquoi pas ?
- Allez viens !

Les deux femmes s'enlacent et échangent d'abord un long baiser puis Martine s'allonge sur le dos, les jambes ouvertes et repliées, les genoux sur la poitrine, dans une posture des plus impudiques.

-Viens vite me bouffer la chatte, petite salope !

Docile, mais je la devine également très excitée, ma chérie s'installe à quatre pattes entre les cuisses et commence un cunnilingus qui, rapidement, fait se pâmer sa partenaire.

- Waouh ! Tu es une lécheuse de première ! Ah cochonne, ta langue est délicieuse ! Oui ! C'est bon ! N'arrête pas ! Ah la salope, elle me lèche la rondelle !! Oh ouiiii ! Continue !!

Pascal se penche sur elle et s'empare de ses seins qu'il caresse avec fermeté, étirant les tétons, les pinçant à la limite de la douleur. Martine ne se dérobe pourtant pas, bien au contraire, et l'encourage presque :

- Aïe salaud ! Ça t'excite hein de me peloter comme ça ! De me tirer les bouts !

Serge, pour sa part, ne résiste pas au spectacle des fesses de ma femme ainsi offertes. Il se penche, les écarte viens embrasse avec appétit le petit anneau sombre, pour le plus grand plaisir de Cathy qui écarte un peu plus les jambes.

- Tu as un cul délicieux ma chère Cathy ! Et une paire de fesses à damner un saint ! Un fessier qui appelle la fessée !

Comme pour lui prouver qu'il pense ce qu'il dit, il abat sa main sur le cul de Cathy, lui tirant un léger cri, plus de surprise que de douleur. Un seconde puis une troisème claque font légèrement rosir les fesses de ma chérie qui, loin de s'offusquer de ce traitement, se cambre un peu plus.

- Et en plus, tu aimes ça ! Ajoute Serge en faisant une nouvelle fois claquer sa main sur le postérieur.

Il la fesse ainsi quelques minutes puis cesse et embrasse la peau rosie et chauffée. Ma chérie peut alors se concentrer à nouveau sur ses baisers à Martine et bientôt, cette dernière crie à nouveau, les mains agrippés aux cheveux de Cathy, lui plaquant le visage contre sa fente.
Elle met quelques minutes à reprendre ses esprits puis approche son visage de celui de Cathy et les deux complices échangent un nouveau baiser.

-C'était... for mi da ble ! s'exclame Martine en détachant bien chaque syllabe.

La soirée s'est poursuivie très tard et nos deux adorables garces ont chacune eu droit à une triple pénétration, bouche, sexe et cul, pour leur plus grand bonheur.
Nous nous sommes promis de remettre ça et Cathy comme moi sommes impatients de nos prochaines retrouvailles.
FIN
Pour vous récompenser de votre fidélité, je viens de publier un nouvel photo, uniquement constitué de photo dont je suis l'auteur.
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Lundi 27 avril 1 27 /04 /Avr 18:41
Pleine de surprises...

Ses doigts sur promènent lentement sur son sexe, flattent sa fente, remontent et s'attardent sur le bouton, s'enfoncent dans la grotte. Parfois même, coquins, vont agacer le petit oeil fripé. Les soupirs, légers mais bien réels, nous indiquent que ma petite chérie apprécie de se donner ainsi du bien. Peu à peu, ce charmant spectacle fait son petit effet sur nos virilités qui retrouvent toute leur arrogance.

- Hum... voici deux beaux sucres d'orge bien appétissants ! Approchez donc mes chéris !

Nous nous installons chacun d'un côté et Cathy, abandonnant son sexe, prend les nôtres et les flatte, comme si elle les découvrait. Les doigts de Pascal ont remplacé les siens sur sa fente pendant que, de mon côté, je prends possession de sa poitrine que je pelote amoureusement.
Nous la caressons ainsi quelques minutes puis notre ami s'allonge sur le dos et, attirant Cathy sur lui, la fait s'empaler sur son membre tendu. Il la lime un peu puis lui demande :

- Je suis sûr que tu n'as jamais eu la chatte remplie par deux queues...
- Tu es fou ! Vous allez me déchirer !
- Mais non... tu vas voir... tu vas adorer...

D'un signe, il m'invite à me joindre à eux. J'avoue avoir une légère appréhension mais bon, si jamais, Cathy n'apprécie pas, on arrêtera ! Je pose mon gland tout contre le sexe de Pascal et pousse. Je regarde la chatte de ma chérie qui se distend sous cette double pénétration. Contrairement à mes craintes, je m'enfonce relativement facilement. Cathy, immobile, reçoit ce double hommage sans visiblement en souffrir.

- Oh... oh... c'est... hum... putain... deux bittes dans ma chatte... j'y aurais jamais pensé... ahhhh!!
- Alors ? Tu aimes ? demande Pascal.
- Hum... c'est... comment dire... inracontable...

Nous entamons de lents va et vient. Jamais je n'ai été aussi serré. Sentir la verge de mon ami contre la mienne renforce s'il le fallait mon excitation et les soupirs, de moins en moins discrets de ma petite épouse chérie indiquent que je ne suis pas le seul à apprécier cette nouvelle figure.
Quelques minutes de cette inédite chevauchée suffisent à amener une nouvelle fois Cathy au paradis et c'est dans un véritable hurlement qu'elle jouit, prisonnière de nos deux corps, de nos deux sexes.
Elle met de longues minutes à reprendre conscience et, cette fois, crie grâce. Grâce que nous lui accordons, heureux d'avoir eu assez de forces pour lui offrir ce dernier orgasme.

Après un dernier verre, nous décidons d'aller nous coucher et, nous naturellement, invitons Pascal à partager notre lit, ce qu'il accepte bien volontiers.


Ce la fait déjà quelques semaines que cette soirée a eu lieu. Nous en avons bien entendu reparler, Cathy et moi ; elle craignait que, passée l'excitation du moment, je lui en veuille de s'être ainsi comportée. Je l'ai rassurée : lui redisant combien je l'avais trouvée belle, combien j'avais été excité de la voir se faire baiser par Pascal, combien j'avais aimé qu'elle se laisse aller et prenne le plus de plaisir possible.
Depuis, j'ai l'impression que notre couple a retrouvé une seconde jeunesse. Nous avons toujours eu des rapports réguliers et qui nous donnent chaque fois du plaisir mais il me semble que ma chérie soit devenue un peu plus coquine encore, n'hésitant plus à se promener nue dans la maison, ce qu'elle ne faisait plus depuis des lustres, et, plus surprenant encore, me permettant de la regarder faire pipi, ce qu'elle m'avait toujours refusé. Bref, si la vie était belle, elle est aujourd'hui merveilleuse !
Aussi, lorsque, rentrant du boulot, je trouve ma chérie, particulièrement souriante, vêtue d'un chemisier qui laisse deviner sans mal ses tétons sombres et d'une jupe qui a le plus grand mal à masquer son popotin, je devine qu'elle me réserve une petite surprise des plus agréables. En effet :

- Mon chéri, Pascal a appelé toute à l'heure et nous invite à diner... je n'ai pas osé refuser... conclut-elle avec une moue coquine.
- Tu as bien fait !

Une heure plus tard, nous arrivons chez notre hôte qui nous accueille avec le sourire. Sourire qui s'élargit un peu plus lorsqu'il découvre la tenue de Cathy.

- Humm... tu es... très en beauté... très appétissante !
- Merci. J'espère donc que tu auras très faim.

Le ton est donné ! Si Pascal avait un doute sur l'envie de ma chérie de revivre l'expérience passée, il est fixé ! Son visage s'éclaire et, à la place de la traditionnelle bise, il lui offre un vrai et profond baiser qu'elle ne refuse pas, bien au contraire ! Et c'est en la tenant par la taille qu'il nous invite à entrer.

La surprise arrive quand nous pénétrons au salon. Un des canapés est en effet occupé par un couple et Cathy, en l'apercevant, a comme un mouvement de recul et Pascal qui a senti ce sursaut, s'empresse de faire les présentations :

- Voici mes amis Cathy et Pierre, dont je vous ai parlé. Et voici Martine et Serge, un couple d'amis... intimes eux aussi.

Un silence suit ces présentations. Cathy est sans doute déçue de ne pouvoir profiter d'une nouvelle soirée excitante et, pour ma part, je m'interroge : et si Pascal avait programmé une "petite partouze entre amis" avec nos deux couples ?

C'est donc dans une ambiance quelque peu bizarre que nous nous installons dans le canapé qui leur fait face, Cathy entre Pascal et moi.
Notre hôte nous propose de porter un toast "à l'amitié qui nous lie... et plus si affinité". Mes doutes sur son projet s'estompent un peu et je porte sur l'autre couple un nouveau regard.

Visiblement du même âge que nous, Martine est une jolie rousse aux formes pulpeuses particulièrement mises en valeur par un chemisier assez léger, et quelque peu transparent, et une jupe qui, sans être mini, peine à couvrir ses cuisses. Son mari est assez mince et un visage sympathique. Une petite soirée coquine tous les cinq ne serait donc pas désagréables, loin de là.

Peu à peu, l'ambiance se réchauffe et, tout en parlant de choses futiles, nous faisons connaissance. Le courant passe bien et je ne peux pas ne pas remarquer quelques regards de Serge sur les cuisses de ma chérie. Cathy ne les ignore pas non plus et, à peine surpris, je la vois croiser et décroiser les jambes, les laissant parfois un peu écartées quelques secondes.
Pascal, qui nous a laissé pour mettre la dernière main au repas, nous invite à passer à table.
Le repas est l'occasion d'échanges de plaisanteries qui, après quelques verres de bon vin, ne tournent plus qu'autour du sexe, tout en restant, pour le moment, relativement sages.

Nous retournons au salon pour le café et, cette fois, toute gêne a disparu, au point que Pascal ne se gêne absolument pas pour caresser les cuisses de ma chérie, les offrant ainsi à la vue de nos amies. Cathy ne s'en émeut pas du tout, bien au contraire et, lorsqu'il attire son visage contre le sien, elle répond sans hésitation aucune à son baiser. Serge se lève et vient s'agenouiller face à Cathy. Lentement, il lui écarte les jambes tout en lui caressant les cuisses, remontant centimètre par centimètre. Martine me sourit puis, se levant à son tour, vient s'installer sur mes genoux. Tout naturellement, ma main se retrouve sur sa cuisse à qui j'offre la même caresse. La soirée vient de prendre une tournure des plus excitantes !

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